 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1819 - 516 pagina’s
...les esprits s'aigrissent par de mutuelles injures. , « Maillard étoit déjà venu, et partageoit avec ces fidèles les périls et « l'honneur. Les..., « on se frappe en tumulte. Le peuple attroupé poussoit des cris con« fus : A mon, à mort; tuez, tuez le prévât et set alliés; car ils sont «... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 486 pagina’s
...: les esprits s'aigrissent par de mutuelles injures. « Maillard étoit déjà venu , et partageoit avec ces fidèles les périls et « l'honneur. Les...mêle, « on se frappe en tumulte. Le peuple attroupé poussoit des cris « confus : A mort, à mort ; liiez , tuez le prévôt et ses alliés , car ils sont... | |
 | B. Du Guesclin - 1824 - 490 pagina’s
...: les esprits s'aigrissent par de mutuelles injures. « Maillard étoit déjà venu , et partageoit avec ces fidèles les périls et • l'honneur. Les...mêle, « on se frappe en tumulte. Le peuple attroupé poussoit des cris « confus : A mort, à mort ; tuez , tuez le prévôt et ses alliés , car ils sont... | |
 | Joseph Claude F. Bousquet - 1854 - 894 pagina’s
...mains les clefs de Paris, et l'interpellent vivement. La querelle s'échauffe ; les amis du prévôt se mettent en défense ; on se mêle, on se frappe en tumulte, pendant que le peuple attroupé criait de tous côtés : A mort! à mort ! tuez, tuez le prévôt et... | |
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... porte Saint-Antoine; ils surprennent « Marcel tenant dans ses mains les clefs de Paris, et l'interpellent « brusquement. Là , comme à la bastille de Saint-Denis, commencent « de violens débats : les esprits s'aigrissent par de mutuelles injures.... 