LITTÉRAIRE ANNÉE M. DCC. LXXXVI. Parcere perfonis,dicere de vitiis. Mart. A PARIS, Chez MÉRIGOT, le jeune, Libraire; M. DCC. LXXXVL L'ANNÉE LITTÉRAIRE; LETTRE I LETTRE au Rédacteur de l'Année Littéraire, relativement à un endroit des Satyres de M. Clement. J 'AI lu, Monfieur, les fatyres de M. Clement, avec tout le plaifir que doit infpirer à un homme qui aime les bons principes, la lecture d'un ouvrage où ils font confacrés & embellis par les charmes de la poefie. J'ai fur-tout admiré le courage de l'Auteur qui, feul, ofe lutter contre fon fiècle, & foutenir hautement la caufe de la morale & du goût dans un temps où l'on ne peut plus s'en No. 26. 11 Juillet 1786. A ij |