 | Charlotte Rose de Caumont de La Force - 1725 - 542 pagina’s
...paroît difficile en amour., il alloit jour &; nuit autour des murs de ce jardinpour tâcher d'y monter j mais ils étoient d'une hauteur qui rendoit la chofe impoffible. : Enfin un foiril apperçut une des portes du jardin ouverte. Il s'y glifla doucement 3 §L il fut fi heureux... | |
 | 1785 - 458 pagina’s
...mal-aifée à fatisfaire : néanmoins , comme rien ne paroît difficile en amour, il alloit jour ôc nuit autour des murs de ce jardin pour tâcher d'y...mais ils étoient d'une hauteur qui rendoit la chofe impoflîble. Enfin , un foir il apperçut une des portes du jardin ouverte. Il s'y glifla doucement... | |
 | Buford Norman - 2000 - 268 pagina’s
...point d'entrée. [. . .] pensa mourir de douleur" (7: 40), the protagonist's lather "allait jour et nuit autour des murs de ce jardin pour tâcher d'y monter: mais ils étaient d'une hauteur qui rendait la chose impossible" (7: 37). The father similarly enters the garden... | |
 | Holly Tucker - 2003 - 244 pagina’s
...et n'y voyant point d'entrée, il pensa mourir de douleur" (La Force, Contes, 7:40); "allait jour et nuit autour des murs de ce jardin pour tâcher d'y monter; mais ils étaient d'une hauteur qui rendoit la chose impossible" (La Force, Contes, 7:37). 30. "la laissait... | |
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... dans fon efprit , auffi bien que fur fon corps ; & après lui avoir trop réfifté , fa femme lui avoua enfin qu'elle voudroit bien manger du perfil. Le mari foupira , & fe troubla pour une envie fi mal-aifée à fatisfaire~: néanmoins , comme rien... 