Mercure de France au dix-neuvième siècle1779 |
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... ; mais pour l'homme inf truit , c'eft voir d'autres hommes , d'autres mœurs , d'autres formes politiques & reli- gieufes , c'eft fe défaite des préjugés nation- * naux , perfectionner fon goût , étendre la fphère de 32 MERCURE.
... ; mais pour l'homme inf truit , c'eft voir d'autres hommes , d'autres mœurs , d'autres formes politiques & reli- gieufes , c'eft fe défaite des préjugés nation- * naux , perfectionner fon goût , étendre la fphère de 32 MERCURE.
Pagina 67
... Nation n'en a donné encore l'exem- ple , mais l'Europe a droit de l'attendre du Grand - Duc . AUX MANES DE VOLTAIRE , par un Citoyen de l'Univers . + Nulli flebilior quàm mihi . A Paris , chez Demonville , Imprimeur- Libraire de l ...
... Nation n'en a donné encore l'exem- ple , mais l'Europe a droit de l'attendre du Grand - Duc . AUX MANES DE VOLTAIRE , par un Citoyen de l'Univers . + Nulli flebilior quàm mihi . A Paris , chez Demonville , Imprimeur- Libraire de l ...
Pagina 68
... Nation une très - grande in- juftice , contre laquelle nous oferions récla- mer en qualité de Citoyens de la France , Nous croyons plus fimplement que cette qualificatron eft une fuite de cette manie , aujourd'hui trop repandue , de ...
... Nation une très - grande in- juftice , contre laquelle nous oferions récla- mer en qualité de Citoyens de la France , Nous croyons plus fimplement que cette qualificatron eft une fuite de cette manie , aujourd'hui trop repandue , de ...
Pagina 81
... nations fuivant des yeux les mânes de Voltaire , & lui faifant de longs adieux ; enfin l'on n'oferoit pas dire que le Poëte qui a fait ces beaux vers , & fur - tout celui - ci , ( Annonce un jour de deuilà la terre alarmée , femble n ...
... nations fuivant des yeux les mânes de Voltaire , & lui faifant de longs adieux ; enfin l'on n'oferoit pas dire que le Poëte qui a fait ces beaux vers , & fur - tout celui - ci , ( Annonce un jour de deuilà la terre alarmée , femble n ...
Pagina 112
... Nation Françoife . M. Dufaulx remonte à l'origine du jeu ; il Je fuit dans tous les lieux , dans tous les fiécles , le découvre chez les Sauvages & les peuples barbares , comme au fein des nations civilifees & corrompues ; mais il ne ...
... Nation Françoife . M. Dufaulx remonte à l'origine du jeu ; il Je fuit dans tous les lieux , dans tous les fiécles , le découvre chez les Sauvages & les peuples barbares , comme au fein des nations civilifees & corrompues ; mais il ne ...
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abfolument affez affure ainfi Anglois auffi auroit avoient avoit bâtimens bleffés Breft c'eft c'eſt canons Capitaine caufe ceffe chofes Comte Comte d'Estaing Confeil conféquence conferver confidérable connoiffance d'Estaing deftinée devoit Difcours diftingué écrit-on efcadre eft arrivé ennemis eſt étoient étoit fans doute fe font fecond fecours femble fent fera feroit fervice fervir feul fiècle flotte foin foit fommes fous fouvent François frégate fuccès fuis fuivant fujets fur-tout Gibraltar Grenade guerre habitans hommes Ifle Jamaïque jour jufqu'à jufte juftice l'Amiral Byron l'armée l'Auteur l'efcadre laiffé lefquels lettres Logogryphe Lord lorfque Minif Miniftre Mohilow mois dernier Monfieur n'avoit n'eft Narciffe Nation navire néceffaires obfervations Officiers ordre Ordre de Cîteaux Ordre de Saint-Benoît paffe paroît penfer perfonnes plaifir plufieurs Poëte poffible pofition porte pouvoit préfent prife Prince puiffe raifon refpectable refte Royale rue du Fouarre Ruffie s'eft s'étoit Septembre Suger tems tion troupes vaiffeaux Voltaire دو رو
Populaire passages
Pagina 23 - J'ai vécu plus que toi; mes vers dureront moins. Mais au bord du tombeau je mettrai tous mes soins A suivre les leçons de ta philosophie, A mépriser la mort en savourant la vie, A lire tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on boit d'un vin vieux qui rajeunit les sens.
Pagina 231 - Je défends le jeu. Si quelqu'un brave mes ordres, il bravera la providence , qui n'admet rien de fortuit ; il contredira le vœu de la nature, qui nous crie : Efpérez, mais travaillez ; les plus actifs seront les mieux traités.
Pagina 7 - D'un Dieu juste et clément est l'immortel ouvrage ; Vous avez tous les biens , ils ont tous les travaux ; Vous avez les remords , ils ont le doux repos. Rois qui nous gouvernez , portez mieux vos couronnes; Que les honnêtes gens soient vos seuls favoris ; Et , pour mieux dormir dans vos lits , Dormez un peu moins sur vos trônes.
Pagina 207 - Les calamités de la guerre se sont multipliées ; mais la cour de Versailles ne doit pas jusqu'à présent se vanter du succès de ses opérations militaires ; et l'Europe sait apprécier ces victoires navales, qui n'existent que dans les gazettes et dans les manifestes des vainqueurs prétendus.
Pagina 127 - Roquefcuil abandonna le cutter qu'il combattoit , ayant déjà perdu 50 hommes dans l'action , & vint au fecours de la Surveillante , pour la prendre à la remorque. M. Dufréneau , Officier auxiliaire , fut chargé...
Pagina 75 - LL. MM. & la Famille Royale ont figné le Contrat de Mariage du Comte de Ligniville , Comte du St- Empire , ancien Capitaine de vaifleau , avec Mlle.
Pagina 32 - Italie , contenant les dérails de la pofition des lieux, de leurs dirtances , des routes de communication , du nombre & du prix des portes , des curiofités qui fe trouvent dans chaque ville, comme les tableaux les plus célèbres, les plus beaux morceaux de fculptures, les antiquités, les cabinets, bibliothèques, &c. avec des cartes particulières des principales routes. Paris, veuve Duchefne , 1778, in-12.
Pagina 207 - ... réglent les obligations et les procédés de l'amitié nationale. L'adresse de la cour de Versailles à brouiller sans cesse deux suppositions, qui n'ont rien de commun, est la conséquence naturelle d'une politique fausse et insidieuse, incapable de soutenir la lumière du grand jour. Les sentiments et les démarches du roi, qui n'ont point à redouter l'examen le plus sévère, l'invitent au contraire à distinguer clairement ce que ses ennemis ont confondu avec tant d'artifice. 11 n'appartient...
Pagina 23 - Aussi, lorsque mon pouls, inégal et pressé, Faisait peur à Tronchin, près de mon lit placé, Quand la vieille Atropos, aux humains si sévère, Approchait ses ciseaux de ma trame légère, II a vu de quel air je prenais mon congé ; II sait si mon esprit, mon cœur, était changé.
Pagina 141 - Se fes expériences fur les effets de la chaleur artificielle fur les animaux des climats dont la température diffère du nôtre , a eu le même fuccès cette année que l'année dernière , dont je rendis compte de fa part à l'Académie ; ainfi cette dernière expérience confirme parfaitement la première , & ne...