| 1720 - 682 pagina’s
...recevoir par les yeux. Il ne tiroit pas même de la comparaifon de ces idées tout ce qu'il fernble qu'il en auroit pu tirer. Ce n'eft pas qu'il n'eût naturellement de l'efpnt , mais l'efprie d'un homme privé du commerce des autres eft Ci peu exercé , & fi peu cultivé... | |
| 1743 - 504 pagina’s
...du peu d'idées qu'il recevoit par les yeux. Il ne droit pas même de la comparaifon de ces idée» tout ce qu'il femble qu'il en auroit pu tirer. Ce...n'eft pas qu'il n'eût naturellement de l'efprit, mais l'efprk d'un Homme , privé du commerce des autres , eft (i peu exercé , & fi peu cultivé, «ju'il... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1749 - 584 pagina’s
...« raifon de ces idées tout ce qu'il femble qu'il en auroit pu c< tirer, ce n'efl pas qu'il n'eut naturellement de l'efprit , « mais l'efprit d'un homme privé du commerce des autres « efl fi peu exercé & fi peu cultivé , qu'il ne penfc qu'autant « qu'il y efl indifpenfablement... | |
| Julien Offray de La Mettrie - 1751 - 438 pagina’s
...yeux. Il ne droit pas même de la comparaifon de ces «idées, tout ce qu'il femble qu'il auroit pu en tirer. Ce n'eft «pas qu'il n'eût naturellement de...«homme privé du commerce des autres, eft fi peu cultivé, fi «peu exercé, qu'il ne penfoit qu'autant qu'il y étoit indifpen«fablement forcé par... | |
| Julien Offray de La Mettrie, Julien Offray de La-Mettrie - 1751 - 432 pagina’s
...yeux. Il ne tiroit pas même de la comparaifon de ces , idées, tout ce qu'il femble qu'il auroit pu en tirer. Ce n'eft ,pas qu'il n'eût naturellement de...l'efprit d'un , homme privé du commerce des autres, ert fi peu cultivé, fi ,peu exercé, qu'il ne penfoit qu'autant qu'il y étoit indifpenjfablement... | |
| David Hartley, abbé Henri Jurain - 1755 - 546 pagina’s
...pas même de la comparaifon de ces idées tout ce qu'il femble qu'il en auroit pu tirer : ce n'elt pas qu'il n'eût naturellement de l'efprit , mais l'efprit d'un homme privé du commerce des autres elt fi peu exercé Se fi peu cultivé , qu'il ne pcnfe qu'autant qu'il y eft indifpenfabicment fotcé... | |
| Julien Jan Offray de la Mettrie - 1764 - 400 pagina’s
...de „ la comparaifon de ces idées , ,, tout ce qu'il femble qu'il auroit „ pu en tirer. Ce n'elt pas qu'il ,, n'eût naturellement de l'efprit , *...l'efprit d'un homme privé du „ commerce des autres, elt fi peu „ cultivé , fi peu exercé , qu'il ne „ pcnfoit qu'autant qu'il y étoit in„ difpenfablement... | |
| 1777 - 92 pagina’s
...la comparaifon de ces idées tout ce qu'il femble qu'il aurait pu en tirer, ce n'elt pas qu'il n'eut naturellement de l'efprit; mais l'efprit d'un homme privé du commerce des autres e(l fi peu cultivé , fî peu exercé, qu'il ne penfe jamais d'après lui même , & qu'il n'eft forcé... | |
| Etienne Bonnot de Condillac - 1780 - 442 pagina’s
...du peu » d'idées qu'il recevoit par les yeux. 11 ne ti» roit pas même de la comparaifon de fes idées » tout ce qu'il femble qu'il en auroit pu...tirer. » ce n'eft pas qu'il n'eût naturellement de l'ef» prit : mais l'efprit d'un homme privé ducom» merce des autres , eft fi peu exerce & fi peu... | |
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