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APPENDICE.

SCIENCES.

Pour la plupart des formules trigonométriques que renferme cet écrit, on a suivi les formes de calculs indiquées, en France, dans les traités de trigonométrie, sans se préoccuper de l'inexactitude que peut produire, dans certains cas, la détermination d'un angle par son sinus ou par son cosinus. Ici, cette inexactitude était, en général, sans importance, à cause du peu de précision des observations. Les astronomes substitueront facilement, à ces formules, celles dont ils font habituellement usage.

Dans les chapitres I et III, pour éviter les fautes nombreuses, auxquelles sont exposées, quand elles ne sont pas rompues aux calculs trigonométriques, les personnes qui ont à considérer des côtés ou des angles de triangles variant de 0 à 360°, on a parfois supposé que le calculateur se guiderait par des figures. C'est ainsi que, au no 29, page 39, on a compté l'angle horaire P vers l'est, parce que l'on appliquait tacitement la question au cas traité aux nos 44 à 47. Si le point de radiation était à l'ouest, ou même si l'on voulait compter toujours l'angle P vers l'ouest, comme cela se fait habituellement, et par suite faire varier P et Ř de zéro à 360o, il faudrait faire les corrections suivantes :

Page 39, ligne 9, écrire : horaire compté vers l'ouest, P=15ts—R.
Page 39, ligne 24, page 40, ligne 6 et formule (36), écrire: -dR
Page 40, formule (38), écrire: '=R—ZPR'+P.
Page 55, ligne 13, écrire :

=

(vers l'ouest)=3600+77°18′-149°30' P=287°48'. Page 55, ligne 24, écrire: angle de variation...... R=314045'.

Enfin page 57, formule (34) et (36), écrire: Æ'=R

Voici quelques corrections indispensables :

i' sin R

cos D

Page 24, ligne 5 en remontant, écrivez : =25′R(1+2).

Page 55, ligne 9, écrivez : Temps sidéral à midi moyen de Metz, le 13. Page 55, lignes 10 à 15, écrivez, en avant de l'accolade: Pour l'époque de l'observation, à Metz.

Page 77, ligne 7, écrivez : ou, en mettant la valeur de dH —— - Mm'. Planche I, figure 6, au lieu de λ,, écrivez : c.

Planche I, figure 14, au lieu de (no 40), écrivez (nos 35 et 40); au lieu de Ln, écrivez : Ls; et faites un pointillé pour indiquer que Lp se rapporte à la somme des angles YS+QSA. Planche I, figure 18, la ligne ME', au lieu d'être le prolongement de la corde IM, doit être une tangente en M à la courbe IME. Cette tangente sera presque parallèle à IE.

M. Schiaparelli a publié récemment des « notes et réflexions sur les étoiles filantes », dans lesquelles il traite, avec une grande supériorité, plusieurs des questions que nous étudions dans notre travail. Nous regrettons vivement de n'avoir eu en communication le mémoire du savant astronome de Milan qu'après l'impression du présent écrit.

SUR LES

ÉTOILES FILANTES

PAR M. C. M. GOULIER.

INTRODUCTION.

On admet généralement que les météores filants sont les manifestations lumineuses de corpuscules cosmiques, qui circulent autour du Soleil et qui s'enflamment aux approches de la Terre. On distingue parmi eux les météores sporadiques et les averses périodiques d'étoiles filantes, telles que celles du 10 août et du mois de novembre; nous nous occuperons surtout de ces dernières.

On a remarqué, pour celles-ci, que les prolongements des trajectoires de chaque groupe passent par un point du ciel d'où toutes semblent émaner, et que l'on a nommé le point de radiation. On a expliqué ces phénomènes et leur périodicité, par le passage de la Terre à travers des essaims de corpuscules qui circuleraient autour du Soleil groupés en anneaux plus ou moins incomplets. Ce serait alors, par un effet de perspective, que les trajectoires de ces corpuscules sembleraient diverger du point de radiation, quoique en réalité elles fussent parallèles au rayon visuel aboutissant à ce point, rayon qui donne la direction de leur mouvement relatif.

Nous acceptons ces hypothèses, et nous allons développer quelques-unes de leurs conséquences géométriques, se rapportant: 1o aux lois du mouvement des corpuscules, en tenant compte des perturbations qu'ils

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