Mélanges de poésie et de littérature. Nouveaux mélanges de poésie et de littératureChez Ant. Aug. Renouard, 1812 |
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... j'ai mal loué Louis XII mais enfin j'ai parlé de lui , et son nom seul doit rendre mon pu- vrage intéressant pour tout lecteur sensible et français . ÉLOGE DE LOUIS DOUZE , PÈRE DU PEUPLE . LOUIS AVANT - PROPOS . 3.
... j'ai mal loué Louis XII mais enfin j'ai parlé de lui , et son nom seul doit rendre mon pu- vrage intéressant pour tout lecteur sensible et français . ÉLOGE DE LOUIS DOUZE , PÈRE DU PEUPLE . LOUIS AVANT - PROPOS . 3.
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... j'ai commises , les maux que je me suis attirés , peuvent vous en éviter de semblables , je ne me plaindrai point d'avoir souffert pour vous instruire , et d'avoir acheté de mon infortune le bonheur dont vous ferez jouir les Français ...
... j'ai commises , les maux que je me suis attirés , peuvent vous en éviter de semblables , je ne me plaindrai point d'avoir souffert pour vous instruire , et d'avoir acheté de mon infortune le bonheur dont vous ferez jouir les Français ...
Pagina 21
... j'ai tant pleuré , toi dont la France chérira toujours la mé- moire , tu m'as fait commettre des fautes ; tu signas le traité de Blois qui assurait à l'empereur la plus belle moitié du royaume ; tu te laissas tromper souvent , et tu fus ...
... j'ai tant pleuré , toi dont la France chérira toujours la mé- moire , tu m'as fait commettre des fautes ; tu signas le traité de Blois qui assurait à l'empereur la plus belle moitié du royaume ; tu te laissas tromper souvent , et tu fus ...
Pagina 28
... J'ai arrosé de mes pleurs les lauriers cueillis à Agnadel : je détruisais moi - même le seul peuple d'Italie qui devait être mon allié . Quelques légères injures des Vénitiens me firent oublier que mon intérêt et le leur nous ...
... J'ai arrosé de mes pleurs les lauriers cueillis à Agnadel : je détruisais moi - même le seul peuple d'Italie qui devait être mon allié . Quelques légères injures des Vénitiens me firent oublier que mon intérêt et le leur nous ...
Pagina 33
... J'ai vu dans nos guerres du Milanez , quand nous étions vain- queurs de nos ennemis , observateurs religieux des traités , protecteurs des faibles et l'effroi des méchans , j'ai vu la cour d'Alexandre VI , où chaque jour était marqué ...
... J'ai vu dans nos guerres du Milanez , quand nous étions vain- queurs de nos ennemis , observateurs religieux des traités , protecteurs des faibles et l'effroi des méchans , j'ai vu la cour d'Alexandre VI , où chaque jour était marqué ...
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Populaire passages
Pagina 94 - Queria perdoar-lhe o Rei benino, Movido das palavras, que o magoam; Mas o pertinaz povo e seu destino (Que desta sorte o quiz) lhe não perdoam. Arrancam das espadas de aço fino Os que por bom tal feito ali apregoam.
Pagina 96 - Qual contra a linda moça Policena, Consolação extrema da mãe velha, Porque a sombra de Aquiles a condena, Co ferro o duro Pirro se aparelha; Mas ela, os olhos, com que o ar serena (Bem como paciente e mansa ovelha), Na mísera mãe postos, que endoudece, Ao duro sacrifício se oferece...
Pagina 92 - Traziam-na os horríficos algozes Ante o Rei, já movido a piedade; Mas o povo, com falsas e ferozes Razões, à morte crua o persuade.
Pagina 90 - Nos saudosos campos do Mondego, De teus formosos olhos nunca enxuito, Aos montes ensinando e às ervinhas O nome que no peito escrito tinhas. 44 Do teu príncipe ali te respondiam As lembranças que na alma lhe moravam, Que sempre ante seus olhos te traziam, Quando dos teus formosos se apartavam; De noite, em doces sonhos que mentiam, De dia, em pensamentos que voavam.
Pagina 94 - Põe-me, onde se use toda a feridade, Entre leões e tigres ; e verei, Se nelles achar posso a piedade, Que entre peitos humanos não achei : Alli co'o amor intrínseco, e vontade Naquelle, por quem mouro, criarei Estas reliquias suas, que aqui viste ; Que refrigerio sejam da mãi triste.
Pagina 52 - Et, l'œil en feu, les naseaux tout fumans, Fixe, immobile, écoute la trompette : Puis tout à coup, frappant la terre et l'air, II bondit, vole à travers la prairie, Arrive auprès de la cavalerie, S'ébroue, hennit, et, jetant un œil fier Sur ces guerriers, enfans de la victoire, II semble dire : Et j'aime aussi la gloire.
Pagina 105 - Et tout à coup sa voix commence Ce chant d'amour et de douleurs : AH ! qu'une chaîne glorieuse Nous prépare de cruels maux, La villageoise est plus heureuse, Son époux n'est point un héros : Si, pour aller au labourage, Cet époux la quitte au matin, Au moins le soir, après l'ouvrage, l!
Pagina 54 - Disant ces mots, il perd tout sentiment: Et l'ennemi , vainqueur dans ce moment . Bien résolu de n'épargner personne , Le glaive au poing poursuivant les fuyards Pille, massacre, et bientôt abandonne Ce champ couvert de cadavres épars. Le lendemain de cet affreux carnage , Certain meunier, dans la plaine passant „ Vit Favori sur la terre gisant.
Pagina 88 - Naquele engano da alma, ledo e cego, Que a Fortuna não deixa durar muito, Nos saudosos campos do Mondego, De teus formosos olhos nunca enxuito, Aos montes ensinando e às ervinhas O nome que no peito escrito tinhas.
Pagina 112 - Dans le palais d'Auet habitent en silence : Les vains plaisirs ont fui, mais non pas le bonheur. Bourbon n'invite pas les folâtres bergères A s'assembler sous les ormeaux ; II ne se mêle point à leurs danses légères ; Mais il leur donne des troupeaux.