| G CHARPENTIER - 1884 - 526 pagina’s
...hantait aussi les maisons des prétendus philosophes, mais sans avoir jamais adopté leurs opinion». était l'histoire de la grande intrigue d'Erfurth,...l'arrivée de Ferdinand et de son frère à Valençay. Lesdétails de leur séjour, les traits ridicules de leur ignorance de toutes choses, fruits d'une... | |
| Emile Ollivier - 1895 - 540 pagina’s
...machination comme l'un des plus beaux traits de sa carrière. « Vous le savez, disait-il à Vitrolles, tout le monde a sauvé la France, puisqu'on la sauve trois ou quatre fois par an; mais, croyez-le bien, à Erfurt j'ai sauvé l'Europe d'un complet bouleversement 1. » Pas quier, l'ayant... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1894 - 1178 pagina’s
...machination comme l'un des plus beaux traits de sa carrière. « Vous le savez, disait-il à Vitrolles, tout le monde a sauvé la France, puisqu'on la sauve trois ou quatre fois par an, mais croyez-le bien, à Erfurt, j'ai sauvé l'Europe d'un complet bouleversement (1). » Pasquier, l'ayant... | |
| |