| 1744 - 504 pagina’s
...un meilleur fervice, OH du Soldat levé dans la Camfagne, ou de celui qu'on prend dans la Ville ? Jl paroit qu'il donne entièrement la préférence aux...propres à porter les armes : ils font déjà faits „ aux injures de l'air, & nourris dans la-pei„ ne : ils favent fuporter les ardeurs du So„ leil,... | |
| Pons Augustin Alletz - 1771 - 530 pagina’s
...& dégagé. Lequel vaut mieux du. Bourgeois ou du Payfan ? Végece répond : » Je ne » crois pas qu'on ait jamais pu douter » que les gens de la campagne ne foienc » les plus propres à porter les armes. » Ils fçavent fuporter les ardeurs du » foleil .... | |
| comte Lancelot Turpin de Crissé - 1779 - 506 pagina’s
...fervice, ou du Soldat levé dans la Campagne, ou de celui que l'on prend dans les Villes ? Je ne crois pas qu'on ait jamais pu douter que les gens de la Campagne ne foient plus propres à porter les armes : Ils font déjà faits aux injures de l'air, ôc nourris D dans dans... | |
| Gabriel Grégoire Lafont-Gouzi - 1811 - 114 pagina’s
...; la ville ne fournit » que des soldats efféminés » . La pré«Je ne crois pas, dit Végèce , qu'on » ait jamais pu douter que les gens de » la campagne ne soient les plus pro»pres à porter les armes. Ils sont déjà » laits aux injures de l'air, et nourris... | |
| 1854 - 1026 pagina’s
...ou du soldat levé dans la campagne , ou de celui que l'on prend dans les ville»? Je ne crois pas qu'on ait jamais pu douter que les gens de la campagne ne soient plus propres à porter les armes. Ils sont déjà faits aux injures de l'air, et nourris dans... | |
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