Revue encyclopédique, Volume 46

Voorkant
1830
 

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Pagina 327 - Je voyais donc cette capitale du Soudan, qui depuis si longtemps était le but de tous mes désirs. En entrant dans cette cité mystérieuse, objet des recherches des nations civilisées de l'Europe, je fus saisi d'un sentiment inexprimable de satisfaction ; je n'avais jamais éprouvé une sensation pareille et ma joie était extrême.
Pagina 591 - ... elle-même, passe inaperçue dans les profondeurs de la conscience, mais y est la base véritable de ce qui , plus tard , sous une forme logique et entre les mains de la réflexion , devient une conception nécessaire. Toute subjectivité...
Pagina 591 - Nous admettons pleinement avec Bacon que tout ce que nous pouvons connaître de la réalité se réduit à des faits que nous observons, et à des inductions tirées de ces faits sur la partie de la réalité qui échappe à notre observation. Nous ajouterons même, pour être plus complets, que nous tirons ces inductions au moyen d'un certain nombre de vérités ou axiomes primitifs qui nous révèlent ce que nous ne voyons pas dans ce que nous voyons , et sans lesquels nous n'irions jamais au-delà...
Pagina 598 - ... dans l'homme pour le gouverner. Ce qui était vrai dans la raison humainement considérée subsiste dans la raison considérée en soi ; ce qui faisait le fond de notre raison fait le fond de la raison éternelle, c'està-dire une triplicité qui se résout en unité, et une unité qui se développe en triplicité. L'unité de cette triplicité est seule réelle, et...
Pagina 327 - ... dans toutes les directions, on ne voit que des plaines immenses de sable mouvant, d'un blanc tirant sur le jaune, et de la plus grande aridité. Le ciel à l'horizon est d'un rouge pâle; tout est triste dans la nature; le plus grand silence y règne; on n'entend pas le chant d'un seul oiseau. Cependant, il ya je ne sais quoi d'imposant à voir une grande ville élevée au milieu des sables, et l'on admire les efforts qu'ont eu à faire ses fondateurs.
Pagina 321 - ... sans personne pour me soigner que la bonne vieille mère de Baba , qui, deux fois par jour, m'apportait un peu d'eau de riz qu'elle me forçait de boire , car je ne pouvais rien manger; je devins bientôt un véritable squelette...
Pagina 8 - ... vertébrés. Allant même beaucoup plus loin que les auteurs du Mémoire , il en a conclu que la zoologie n'a eu, jusqu'à présent, aucune base solide ; qu'elle n'a été qu'un édifice construit sur le sable, et que sa seule base, désormais indestructible, est un certain principe qu'il appelle d'unité de composition, et dont il assure pouvoir faire une application universelle. « Je vais examiner la question dans son rapport particulier avec les mollusques ; dans une suite d'autres Mémoires,...
Pagina 247 - ... et c'est l'expiration. Tous ces mouvemens ne sont qu'un moyen qui a pour but le développement des branchies ou de l'organe respiratoire lui-même. La détermination du mode selon lequel se développent les branchies étant le point important et le point jusqu'ici négligé du mécanisme respiratoire...
Pagina 598 - L'unité de cette triplicité est seule réelle, et en même temps cette unité périrait tout entière dans un seul des trois éléments qui lui sont nécessaires ; ils ont donc tous la même valeur logique, et constituent une unité indécomposable. Quelle est cette unité? L'Intelligence divine elle-même.
Pagina 22 - Premièrement. MM. Laurencet et Meyranx avaient - ils devancé de beaucoup l'heure propice pour ramener les mollusques aux faits généraux de la science? Par leur idée nouvelle et ingénieuse, comprennent -ils mieux, en effet, que leurs prédécesseurs, doivent-ils faire mieux comprendre l'organisation de ces animaux? Ce soin les regarde, et je leur laisse toute cette responsabilité , c'est-à-dire tous les devoirs, les dangers, mais aussi la gloire d'une réplique à produire. Quant à moi, je...

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