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retons et les pionniers, « lesquels meurete, de jour à autre, et

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en chemin, de fayn et pure povreté, et qu'il lui soit envoyé des chevaux et des chariots pour le service de l'artillerie.

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Arch. du roy. : États généraux, t. II, fol. 51.

1555. Anvers, 14 septembre 1578. Lettre des états généraux au prélat de Maroilles. Quoique, à son départ, ils l'aient chargé d'accompagner le duc d'Arschot et le seigneur de Fresin dans les villes de Landrecies, du Quesnoy et de Bavay, ils ont trouvé convenable depuis, pour de bonnes raisons, que ces deux seigneurs ne s'y transportent pas, et qu'il y aille accompagné de «< ceulx que M. le comte de Lalaing dénommera, les plus aggréables au peuple qu'il pourra adviser. »

Arch. de la Haye: reg. France, 1578, fol. 52 vo.

1334. Anvers, 14 septembre 1578. Lettre des états généraux au duc d'Arschot et au seigneur de Fresin. Ils les prient de ne pas trouver mauvais qu'ils les déchargent de la commission qu'ils leur avaient donnée dans les villes de Landrecies, du Quesnoy et de Bavay.

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1355. Anvers, 14 septembre 1578. Lettre des états généraux au comte de Lalaing. Ils le requièrent instamment de dénommer les personnages les plus agréables aux villes de Landrecies, du Quesnoy et de Bavay qu'il pourra aviser, pour accompagner le prélat de Maroilles, et induire, de main conjointe, les magistrats et commune desdites villes d'effectuer le traité fait avec le duc d'Anjou.

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Arch. de la Haye: reg. France, 1578, fol. 52, et Acta statuum Belgii, t. III, pièce 89.

1556. Anvers, 14 septembre 1578. Lettres des états généraux aux magistrats des villes du Quesnoy, de Landrecies et

de Bavay, pour les prier d'ajouter foi et créance à ce que le prélat de Maroilles et autres qui seront dénommés par le comte de Lalaing, leur gouverneur, leur diront de la part des états généraux.

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Arch. de la Haye: reg. France, 1578, fol. 53.

1357. Sans date (Anvers, . septembre 1578). Articles pour induire ceux de Landrecics et du Quesnoy à recevoir les gens du duc d'Anjou. (Titre textuel.) C'est une longue déduction qui se résume en ceci : que les villes de Landrecies et du Quesnoy doivent se soumettre à la loi de la nécessité; qu'il ne s'agit pas d'ailleurs de les remettre entre les mains des Français, lesquelz, presque de toute ancienneté de temps, ont » esté ennemys des pays de par deçà.» Dans leurs représentations aux états, elles avaient dit que, plutôt que de recevoir les Français, elles retourneraient sous l'autorité des Espagnols; on leur répond ici : « Ce seroit, comme l'on dict en proverbe, >> tomber de fiebvre en chaud mal, et, en lieu d'amoindrir, ce >> seroit augmenter le danger, veu que premièrement ilz seroient » foullez des garnisons des Espaignolz, et puis subjectz à toutes » invasions et hostilitez, tant du costé dudict seigneur duc que » des estatz. >>

Bibl. roy. MSS. 7199, fol. 169, et 9238, p. 341.

1358. Anvers, 14 septembre 1578. Lettre des états généraux au duc d'Anjou. Ils ont reçu sa lettre du 9 et les actes y joints; ils l'en remercient bien humblement. Pour, de leur part, lui donner satisfaction, ils ont requis le comte de Lalaing de « députer telz et plus aggréables au peuple des villes de » Quesnoy et aultres qu'il trouvera mieulx convenir, » pour accompagner le prélat de Maroilles, chargé de traiter avec lesdites villes. Quant à sa proposition d'avoir près de lui un ou deux députés des états, et réciproquement d'avoir près d'eux un ou deux membres de son conseil, comme ce point n'est pas

exprimé dans le contrat, ils ont dû en communiquer avec messieurs du camp et avec les états des provinces.

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1559. Mons, 14 septembre 1578. Lettre du duc d'Arschot, du prélat de Maroilles et du seigneur de Fresin aux états généraux. Ils attendent la réponse des états « en grande dévo» tion. >> Ceux du Quesnoy « selon ce qu'ils ont appris, ne sont » délibérez de leur donner audience ou entrée. »

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Arch. de la Haye : reg. France, 1578, fol. 55.

1540. Anvers, 14 septembre 1578. Lettre des états généraux aux avoué, échevins et conseil de la ville d'Ypres. L'archiduc, de l'avis des états, envoie vers eux les sieurs de Becelaere, avoué, et Pierre Ymelot, seigneur d'Allègre, premier échevin de la châtellenie, avec la mission d'induire les habitants de leur ville « les plus riches et souffisans » à avancer de suite la plus grande somme possible, laquelle on leur convertira en rente héritière au denier douze, ou sur une vie au denier six, et sur deux au denier huit. Les états les requièrent de donner à ces députés toute aide et assistance, et de leur faire spéciale déclaration » de toutes les personnes qu'ils estimeront en état d'avancer promptement de l'argent.

«

Arch, d'Ypres.

1541. Sans date (Anvers, 14 septembre 1578). État à combien revient le mois de gages pour les reitres, piétons et autres de l'armée de messieurs les états généraux. (Titre textuel.) Le total s'élève à fl. 911,574-7-6.

Arch. d'Ypres.

1542. Anvers, 15 septembre 1578 Lettre des états généraux aux états de Hainaut, les informant qu'ils ont résolu de

faire continuer la levée de deux patards par tonneau de bière, pour le produit en être employé à l'achat des munitions de guerre, et les requérant de donner des ordres en conséquence dans leur province.

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Actes des états de Hainaut, t. VI, fol. 164-165.

1345. Anvers, 15 septembre 1578. - Lettre des états généraux aux avoué, échevins et conseil de la ville d'Ypres. Dans une lettre du 2 août, ils les avaient informés de la continuation de l'impôt de deux sous par aime de bière, desquels un demi-sou devait être au profit des villes où cet impôt serait levé. Depuis, ils ont jugé nécessaire que le produit tout entier de l'impôt, destiné à l'achat des munitions de guerre, soit au profit de la généralité. Ils prient les avoué et échevins d'Ypres de consentir à cet arrangement.

Arch. d'Ypres.

1544. Mons, 16 septembre 1578. Lettre du duc d'Arschot aux états généraux. Le prélat de Maroilles est parti la veille pour le Quesnoy et Landrecies. Le comte de Lalaing n'a jugé nécessaire d'envoyer personne avec lui. Le duc, ainsi que M. de Fresin, remercient les états de les avoir déchargés de cette commission. Il serait retourné à Anvers, si une très-griève maladie n'était survenue à son fils.

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Arch. de la Haye reg. France, 1578, fol. 59.

1545. Anvers, 16 septembre 1578. Lettre des états généraux au comte de Boussu, général de leur armée. Après mûre délibération, en présence de Son Excellence, ils ont résolu, « pour n'estre informez des occurrences qui se présen» tent au camp », qu'ils s'en remettent à sa discrétion et de ceux qui l'assistent au conseil, du soin de juger s'il est nécessaire que le due d'Anjou se trouve avec ses forces au camp.

Arch, de la Haye: reg. France, 1578, fol. 54.

1346.

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Anvers, 16 septembre 1578. Lettre des états généraux au duc d'Anjou, pour le prévenir qu'ils s'en sont remis au comte de Boussu du soin de requérir l'assistance de son armée, en tout ou en partie.

Arch. de la Haye : reg. France, 1578, fol. 54.

1547. Anvers, 17 septembre 1578. Articles exhibés aux états généraux par le sieur Davison, ambassadeur de la reine d'Angleterre, avec les apostilles des états, en date du 25 sep tembre. Lesdits articles portent en substance: 1o Les états remettront à la reine, outre leurs obligations générales et particulières, pour assurance du remboursement des deniers qu'elle leur prêtera, la quantité d'argenteric, bagues et joyaux que ses députés trouveront suffisante; 2° dans leur négociation avec le roi, ils ne demanderont rien de déraisonnable; ils suivront à cet égard les conseils des ministres de la reine et donneront assurance, par écrit, « qu'en tout et partout ils se confor» meront au bon plaisir de Sa Majesté; » 5o ils ne permettront pas que le duc d'Anjou se fasse maître du pays, et à cette fin, de temps à autre,« ils prendront avis et conseil de Sa Majesté » ou de ses ambassadeurs. » Sans accueillir absolument ces prétentions excessives, les états y font des réponses de nature à satisfaire la reine.

Arch. de l'État à Bruges, reg. no 9, pièce 26. Rec.

de la Ch des représent., t. II, fol. 215.

1548. Anvers, 17 septembre 1578. Instruction de l'archiduc Matthias et des états généraux pour Louis de Sommain, chevalier, seigneur de Louvignies, et Frédéric Van Boymaer, docteur és lois, envoyés par eux au duc Jean-Casimir. Ces députés devaient lui demander: 4° qu'il voulût « accommoder de >> traitement » sa personne, ses domestiques, les ducs, comtes, barons et autres personnages de sa suite, ainsi que ses colonels et hauts officiers, au moyen de la somme de 25,000 livres Artois; 2o qu'il voulût « accommoder » ses colonels et hauts

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