... près dans un puits fort profond, les toits d'un certain nombre de petites maisons qui nous parurent pour des poupées, et environnées de tous côtés de rochers affreux par leur hauteur et par leur couleur : ils paroissent de fer et sont tout... Het Leeskabinet - Pagina 341880Volledige weergave - Over dit boek
| Françoise d' Aubigné (marquise de Maintenon.) - 1856 - 550 pagina’s
...couleur : ils paroissent de fer et sont tout à fait escarpés; il faut descendre dans cette horrible habitation par un chemin plus rude que je ne puis dire ; tous les 1 « Cette Dame, qui commençoit à donner dans le quiétisme, sans que Mm>' de Maintcnon s'en aperçût,... | |
| Madame de Maintenon - 1856 - 550 pagina’s
...couleur : ils paroissent de fer et sont tout à fait escarpés; il faut descendre dans cette horrible habitation par un chemin plus rude que je ne puis dire ; tous les 1 « Cette Dame, qui commençoit à donner dans le quiétisme, sans que Mmc de Maintenon s'en aperçût,... | |
| Madame de Maintenon - 1856 - 556 pagina’s
...couleur : ils paroissent de fer et sont tout à fait escarpés; il faut descendre dans cette horrible habitation par un chemin plus rude que je ne puis dire ; tous les 1 • Cette Dame, qui commençoit à donner dans le quiétisme, sans que M"'e de Maintenon s'en aperçût,... | |
| Eugène Crépet - 1865 - 616 pagina’s
...couleur : ils paroissent de fer et sont tout A fait escarpés ; il faut descendre dans cette horrible habitation par un chemin plus rude que je ne puis dire; tous les carrosses faisoient des sauts à rompre tons les ressorts, et les dames se tenoient à tout ce qu'elles pouvoient.... | |
| Henri Hachez - 1896 - 282 pagina’s
...couleur; ils paroissent de fer et sont tout-a-fait escarpés. Il faut descendre dans cette horrible habitation par un chemin plus rude que je ne puis dire : tous les carrosses faisoient des sauts à rompre tous les ressorts, et les Dames se tenoient à tout ce qu'elles ponvoient.... | |
| Auguste de Caumont duc de La Force - 1922 - 362 pagina’s
...poupées et environnées de tous côtés de rochers affreux... Il faut descendre dans cette horrible habitation par un chemin plus rude que je ne puis dire. Tous les carrosses faisaient des sauts à rompre les ressorts, et les dames se tenaient à tout ce qu'elles pouvaient... Nous nous trouvâmes... | |
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