Revue historique, Volume 1 |
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Populaire passages
Pagina 69 - M.Castan, qui ne peut être suspect de sympathie à l'égard des évangéliques: « Les abus contre lesquels s'insurgeait Luther, écrit-il, existaient en Franche-Comté au même degré que sur les bords du Rhin. Ici comme à peu près partout, l'archevêque menait une vie de grand seigneur, faisant remplir ses fonctions religieuses par un vicaire revêtu du caractère épiscopal. Sur cinquante-quatre chanoines du grand chapitre une quinzaine à peine assistaient au chœur: les autres se bornaient...
Pagina 295 - ... qu'elle l'a été en d'autres pays. Les munera étaient le devoir accepté par les citoyens riches de veiller sur une foule de services publics et de contribuer à la dépense qu'ils entraînaient : ainsi un curator ludorum complétait la somme insuffisante inscrite par la ville à son budget pour la célébration d'une fête religieuse ou de jeux publics; v.
Pagina 299 - Qu'allèguent donc ceux qui veulent faire passer les corporations romaines pour des sociétés de secours mutuels? Les uns se fondent sur l'analogie des collèges militaires de Lambèse : « Ces collèges, dit Duruy, avaient institué avec les cotisations de leurs membres de véritables caisses de secours, et il n'est pas téméraire de conclure de ce fait que des corporations civiles avaient imaginé de semblables institutions...
Pagina 135 - C'est le plus grand guerrier et le plus grand politique de l'Europe que le duc de Brunswick; il est très instruit, très aimable : il ne lui manque peut-être qu'une couronne, je ne dis pas pour être le plus grand roi de la terre, mais pour être le véritable restaurateur de la liberté de l'Europe. S'il arrive à Paris, je gage que sa première démarche sera de venir aux Jacobins et d'y mettre le bonnet rouge.
Pagina 229 - Avènement des Bourbons au trône d'Espagne. Correspondance inédite du marquis d'Harcourt, ambassadeur de France auprès des rois Charles II et Philippe V, tirée des archives du château d'Harcourt et des archives du ministère des affaires étrangères, publiée avec une introduction historique et des notes. T. II. In-8°, 580 p. et portr. Paris, imp. Viéville et Capiomont; lib. Didier et C«.
Pagina 211 - J'avais vu que tout était prêt pour l'explosion... Les paysans accouraient au-devant de moi ; ils me suivaient avec leurs femmes, leurs enfants, tous chantant des rimes, improvisées pour la circonstance, dans lesquelles ils traitaient assez mal le Sénat. A Digne, la municipalité, peu favorable, eut peur et se conduisit bien. Du reste, je n'avais eu qu'à paraître; maître absolu de la ville, j'y pouvais faire pendre cent personnes si c'eût été mon bon plaisir.
Pagina 27 - On a senti que l'histoire doit être l'objet d'une investigation lente et méthodique où l'on avance graduellement du particulier au général, du détail à l'ensemble ; où l'on...
Pagina 295 - Nerva les engageant à la munificence 1 ; et, pour que les villes ne fussent pas trompées dans leurs espérances, comme l'étaient souvent les captateurs de testament, Trajan établit que toute promesse faite à une cité serait exécutoire pour celui qui avait promis ou pour son héritier. Il ne voulait pas qu'on pût jouer avec le patriotisme municipal et que la vanité d'un avare exploitât la crédulité d'une curie 2.
Pagina 65 - CASTAN (Auguste). Les sceaux de la commune, l'Hôtel de ville et le Palais de justice à Besançon. M CR Soc. Emul. Doubs, 4
Pagina 284 - ... nos grandes sociétés modernes ont détruit le patriotisme local. Dans le municipe des Flaviens et des Antonins, il conservait son ancienne énergie. On aimait sa ville; on la voulait heureuse et belle, et beaucoup pensaient, comme César, que mieux valait être le premier chez soi que le second ailleurs. Aussi ces charges qu'un siècle plus tard on fuira avec effroi, elles sont, à l'époque où nous nous tenons, recherchées avec ardeur. C'est le regret de les quitter qui afflige le plus l'exilé...