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Je regrette vraiment d'être si bavard, je me hâte de finir. On me reproche mon scepticisme en fait d'étymologies. Il est des étymologies tirées du latin en vertu de lois bien établies, celles-là je les respecte, et ce ne sont pas les seules. Mais comment n'être pas pris de scepticisme lorsqu'en feuilletant les Dictionnaires les plus autorisés, on se trouve en face, pour le même mot, d'étymologies complètement différentes, quand on voit les auteurs, après avoir adopté une étymologie, l'abandonner pour s'attacher à une autre? Voyez plutôt les travaux de M. Joret. Quant à celles qu'on trouve dans mon livre, il y en a que je donne pour exactes, d'autres pour douteuses, pour très douteuses, etc. Celles-ci ne sont qu'une suggestion et l'on n'a pas le droit de me les imputer au même titre que les autres.

Entre celles que M. X. conteste, il en est bon nombre que je pourrais défendre. Loces se rattache incontestablement à loqui 2; enniei est in hodie, et la nuit n'a rien à faire ici 3; qu'naille, enfant, ne peut se rattacher à canaille, ital. canaglia, et il est plus raisonnable de rattacher ce mot à knabe, dont la signification est la même ; salire signifie frapper aussi bien que salaé 5; plleissiei, plleichiei peuvent aussi bien dériver de plectere, que fléchir de flectere 6; peisson peut aussi bien venir de piscionem que poisson, puisque ei haguais égale oi français 7. Je pourrais ajouter que ne donnant que la racine, il m'était indifférent d'écrire spicus ou spica 3, triflium ou trifolium 9. Quant à pulsus pour puls, c'est un lapsus pluma 10. J'arrive à quelques erreurs matérielles de mon contradicteur ".

parce que M. F. a mis dans son Dictionnaire des mots purement français et qui n'avaient rien de particulier.

1. Ce n'est pas son scepticisme que j'ai reproché à M. F., mais son manque de critique qui lui a fait accepter et imaginer les étymologies les plus fantastiques et invraisemblables, même pour des mots dont l'origine est parfaitement connue; ainsi préchiè (* praedicare), tiré de l'al. sprechen,

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2. Cela ne peut paraître incontestable qu'à quiconque ignore ou a perdu de vue les règles de la dérivation.

3. Enniei, comme le montre le v. fr. anoit, vient de ad+ noctem, et rappelle l'habitude gauloise de compter par nuits.

4. Qu'alle ne peut venir de l'al. Knabe; pour trouver raisonnable cette dérivation, il faut ne rien entendre à la phonétique.

ler,

5. Ceci est inintelligible, et ici, comme dans les dix lignes qui suivent, M. F. a défiguré à dessein ce que j'ai dit, afin de se disculper. Qu'on en juge plutôt. Je lui ai reproché de tirer salae (saler), lequel dérive de salare, de salire; il répond « salire signifie frapper aussi bien que salae »; le verbe latin, autre que salare, qui signifie « saler », est sallire, et n'a rien à faire ici; quant à « sadonner un coup, c'est une simple métaphore; sallire n'aurait donné et n'a donné que saillir. 6. M. F. devrait savoir, d'après Diez, que pleissier il n'est point question de pleichiei dans le Dict. de la Hague. vient de pleis, dérivé de plexus. 7. J'ai dit p. 253 que « le premier i de piscionem n'étant pas accentué, ce mot ne peut servir à établir la règle des transformations de cette voyelle ». M. F. répond que « peisson peut aussi bien venir de piscionem que poisson », essayant ainsi de me prêter une niaiserie qui prouve seulement avec quel peu de scrupule il lit et respecte les textes.

8. Il n'est pas indifférent d'écrire spicus ou spica, puisque le premier mot donne épi, le second épie.

9 Je n'ai nulle part parlé de triflium, j'ai dit que le premier i de trifolium n'était pas accentué, comme paraissait le croire M. Fleury. Quant à triflium, il aurait donné treifle ou troifle, et non trèfle.

10. Je n'ai rien à dire de ce prétendu lapsus, sinon que pulsus pour puls se trouve déjà dans E. Duméril.

11. Est-ce que par hasard les fautes de lecture et d'impression de M. F. seraient de mon fait?

Il veut savoir dans quel Dictionnaire breton j'ai trouvé cok = rouge '. Je ne connais que deux Dictionnaires bretons. Celui de Troude enregistre ce mot p. 357, et le P. Grégoire le mentionne t. II, p. 394. S'il veut se donner la peine d'ouvrir un Dictionnaire islandais, il trouvera mal = fibula, qui signifie une agrafe, aussi bien que le haguais mèle, non loin de malr dont je n'ai que faire. Il trouvera dans le même livre : busk = virgultum, bien qu'il prétende que ce mot n'existe pas 3. S'il prend la peine d'ouvrir un Dictionnaire flamand, il trouvera à son rang : smetten, tacher, salir, haguais émitae, et plus loin smijten, qu'il cite et qui n'a rien à voir ici. Il est vrai qu'il y a dans mon livre une faute d'impression, i pour e. Mais quel livre est exempt de fautes d'impression? J'en relève ici une autre qui est plus grave, une ligne oubliée. Dans mon manuscrit, après treulae, péter, laissé sans étymologie, venait l'article: Treule, haillons, chiffons (ramasse tes trulles), et la racine truill, bret. même signification. Truill, d'ailleurs, ne pourrait pas être un verbe en breton,

C'est aussi une faute d'impression que porte pour perte. 6. Il y en a encore d'autres, sans doute, dans mon livre. Il n'en peut guère être autrement dans un ouvrage imprimé à Chartres pendant que l'auteur demeure à Pétersbourg. Je me propose de faire imprimer un errata, où je confesserai mes fautes avec celles des autres, suivant la pratique ordinaire des confessions.

Je crains, Monsieur, d'avoir abusé de l'hospitalité que j'ai réclamée de vous. Veuillez m'excuser, je vous prie, et me croire

Votre bien sincèrement dévoué,
Jean FLEURY.

1. Je n'ai point demandé dans quel dictionnaire breton se trouvait cok = rouge; j'ai dit que ce mot n'était pas authentique; le fût-il, d'ailleurs, qu'il serait moderne, et il est absurde dès lors d'y chercher le primitif du mot coq, qui n'est autre que le coccus des lois barbares.

2. Je me suis donné cette peine, et le seul mal qu'on trouve dans le plus complet et le plus récent des Dictionnaires islandais, celui de Cleasby-Vigfusson, est le mot que j'ai indiqué; quant au vocable norois qui signifie fibula, c'est malla, et non mal. Mais ne faut-il pas bien aimer l'extraordinaire pour aller chercher dans les idiomes scandinaves l'origine du norm. mèle, fr. maille, lequel, comme tout le monde le sait, vient de macula? Malheureusement pour M. F., trouver une étymologie, ce n'est pas essayer de remonter historiquement à l'origine d'un mot, cela consiste à chercher dans un dictionnaire quelconque un vocable à peu près semblable à celui qu'on veut expliquer : faut-il après cela s'étonner qu'il ait donné des étymologies si étranges?

3. Busk ne se trouve pas dans Cleasby-Vigfusson, ainsi que je l'ai dit; d'ailleurs ce mot n'a rien à faire avec l'étymologie de trabuquiei, lequel vient de trans, nor. bûk-r, ags. buc (tronc). 4. Je n'avais pas à chercher smetten, puisque M. F. a écrit smitten; d'ailleurs il est évident que smetten ne peut donner émitae; si ce mot émitae est exact, ce dont on peut douter, il vient probablement du got. smeitan, nor. smita (?), primitifs de même racine d'ailleurs que le fl. smijten.

5. On comprendra qu'il m'était impossible de deviner cet accident; je ne puis juger que de ce que je vois; mais il est étonnant, il faut en convenir, que treulae, laissé sans étymologie dans le manuscrit, se trouve en avoir une absurde dans le dictionnaire imprimé.

6. Je compatis plus que personne aux fautes d'impression, en ayant beaucoup à me reprocher ; seulement il ne fallait ici mettre ni porte », ni perte, sens donné comme douteux et qui est certainement inexact.

CHRONIQUE

ALLEMAGNE. Le dixième et dernier fascicule des Druckschriften des funfzehnten bis achtzehnten Jahrhunderts in getreuen Nachbildungen (Brockhaus) vient de paraître.

- La librairie K. Baedeker a fait paraître une huitième édition améliorée de la troisième partie de son guide de l'Italie, consacrée à l'Italie méridionale et à la Sicile. Unter-Italien und Sicilien nebst Ausflügen nach den Liparischen Inseln, Sardinien, Malta, Tunis und Korfu (avec 26 cartes et 17 plans, XLVIII et 412 p. 6 mark).

Le 6 octobre 1886 a été fondé à Hanovre un Deutscher Einheitsschulverein dont le but est de créer une école supérieure, une, réunissant en elle et le gymnase et le gymnase réal; avant tout, le grec serait conservé, ainsi que l'anglais, et le nombre des heures de classe ne pourrait être augmenté. Adresser les adhésions (3 mark par an) à M. F. Hornemann, à Hanovre, Marschnerstrasse, 51. L'association se réserve de dresser prochainement un plan d'études.

- La Société des sciences de la Haute-Lusace, dont le siège est à Gœrlitz, décernera un prix de 150 mark à l'auteur du meilleur travail sur « le développement historique de l'instruction publique supérieure dans la Haute-Lusace ». Elle a décerné le prix sur les « traits essentiels de la langue écrite de Luther » (die Grundzüge der Schriftsprache Luthers), à M. C. FRANKE, de Leisnig; ce travail paraîtra l'année prochaine dans le Magazin der Oberlausitzer Gesellschaft.

La société Jablonowski, de Leipzig, avait mis au concours de 1886 la question suivante: Die Laut und Formenlehre der Niedersorbischen (niederlausitzischwendischen) Sprache. Deux travaux ont été envoyés; le prix a été décerné à M. E. MUCKE, professeur au gymnase de Freiberg. La société met au concours pour l'année 1890 la question qui suit (prix de 1,000 mark) : Die Entwickelung, welche der Gewerbfleiss in Polen seit dem Aufhæren der polnischen National selbständigkeit gehabt hat, le développement de l'industrie en Pologne depuis la perte de l'indépendance nationale.

- M. Erich SCHMIDT, a fait le 21 mai, à la réunion de la Société de Goethe, une très importante communication. La grande duchesse de Saxe-Weimar l'avait chargé de fouiller les papiers de Me de Gochhausen qui sont déposés à Dresde. Le savant professeur y a trouvé le Faust de Goethe, tel qu'il avait été composé à Francfort; cette première version du poème, commençant par les mots Habe nun, ach, Philosophey et se terminant par la scène de la prison, en prose, était jusqu'ici regardée comme perdue; elle sera publiée dans l'automne de cette année.

On a recueilli jusqu'ici pour l'érection du monument qui doit être élevé à Walther de la Vogelweide, une somme de 26,000 florins. Il manque encore, d'après la circulaire du comité de Bozen, 10,000 florins; si l'on réunit cette somme, la statue, qui aura près de onze pieds de haut et dont l'exécution a été confiée au sculpteur Henri NATTER, pourra être achevée en l'année 1889; le comité de Bozen fait appel << aux frères du Nord et du Sud, et au-delà de l'Océan », et les prie de « contribuer à l'honorable entreprise ». Au pied de la statue seront gravés les vers de Hugo de Trimberg:

Her Walther von der Vogelweide,

Swer des vergaez', der taet' mir leide.

— L'Académie des sciences de Berlin avait perdu l'année dernière quatre de ses membres de la section philosophique et historique, Ranke, Waitz, Max Duncker et W. Scherer; elle les a remplacés par Max LEHMANN, C. E. SACHAu, J. WeizsäckER et W. DILTHEY.

- M. A. DE DOMASZEWSKI, privat-docent à Vienne, dont la Revue analysait récemment l'ouvrage sur les enseignes de l'armée romaine (1886, no 4, art. 20), a été nommé professeur extraordinaire d'histoire ancienne à l'Université de Heidelberg.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 24 juin 1887.

M. Antoine Thomas, chargé de cours à la Faculté des lettres de Toulouse, fait connaître qu'il est l'auteur du mémoire sur les noms des saints, en langue d'ouï et en langue d'oc, auquel la commission du prix Bordin a décerné une récompense de 2,000 fr.

L'Académie décide au scrutin qu'il y a lieu de pourvoir à la place de membre ordinaire laissée vacante par la mort de M. Benoist. L'examen des titres des candidats est fixé au vendredi 4 novembre.

M. Renan annonce que Hamdy Bey lui a envoyé les estampages, les photographies et la description du sarcophage royal, chargé d'inscriptions hieroglyphiques et phéniciennes, qu'il vient de découvrir à Saïda. Hamdi Bey a voulu que l'Institut de France eût la primeur de cette découverte. « Par reconnaissance, écrit-il, pour un pays où j'ai fait mes études et où l'on m'a enseigné à apprécier ce qui est beau et grand, je tiens à faire hommage à l'Académie des inscriptions et belles-lettres du résultat de mes travaux à Saïda, avant qu'il soit connu du reste du monde archéologique. »

Le sarcophage découvert par Hamdy Bey appartient bien, comme l'avait pressenti M. Renan, à la même dynastie qu'Eschmounazar, dont le sarcophage est connu depuis longtemps: c'est celui du père de cet Eschmounazar, le roi Tabnit, fils d'Eschmounazar Ier. Voici la traduction de l'épitaphe phénicienne de ce roi :

« C'est moi, Tabnit, prêtre d'Astarté, roi des Sidoniens, fils d'Esmounazar, prêtre d'Astarté, roi des Sidoniens, qui suis couché dans cette arche. O homme, qui que tu sois, qui découvriras cette arche, n'ouvre pas ma chambre sépulcrale et ne me trouble pas. Car il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'or, il n'y a pas de trésors à côté de moi. Je suis couché seul dans cette arche. N'ouvre pas cette chambre sépulcrale; car un tel acte est une abomination aux yeux d'Astarté. Si tu ouvres ma chambre sépulcrale et si tu viens me troubler, puisses-tu n'avoir pas de postérité parmi les vivants sous le soleil, ni de lit parmi les morts! >>

M. Bréal, président de l'Académie, fait connaître les décisions des commissions chargées de juger divers concours :

Le prix ordinaire, sur la langue des inscriptions latines, est décerné à M. Loth, à Versailles;

Le même prix, sur la question: Examen de la Bibliothèque de Photius, n'est pas décerné; une récompense de 1,000 fr. sera accordée à l'auteur du seul mémoire qui ait été déposé, s'il juge à propos de se faire connaître; la question ne sera pas maintenue au concours;

Le prix Brunet, sur l'ouvrage arabe intitulé Fihrist, est décerné à M. M. Steinschneider, à Berlin.

M. G. Schlumberger, au nom de la commission des antiquités de la France, annonce que la commission a décidé de décerner ainsi qu'il suit les récompenses dont elle disposait pour cette année :

" médaille M. Delachenal, Histoire des avocats au parlement de Paris;

2 médaille : M. J. Richard, Une petite nièce de saint Louis, Mahaut, comtesse d'Artois et de Bourgogne;

3 médaille: MM. Lespy et P. Raymond, Dictionnaire béarnais ancien et moderne Mentions honorables:

1o M. J. Philippe, Origines de l'imprimerie à Paris;

2o M. B. de Mandrot, Ymbert de Batarnay, seigneur de Bouchage, etc.;

3o M. Haillant, Essai sur un patois vosgien;

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REVUE CRITIQUE d'histoire ET DE LITTÉRATURE

4o M. Georges Guigues, Récits de la guerre de cent ans : les tard-venus en Lyonnais, Forez et Beaujolais;

50 M. Ch. Bémont, De la condamnation de Jean Sans-Terre par la cour des pairs de France en 1202;

6o M. Maurice Faucon, la Librairie des papes d'Avignon.

M. Longnon annonce que la commission du prix La Fons-Mélicocq a décidé de ne pas décerner ce prix cette année et d'attribuer deux récompenses sur les fonds don't elle dispose :

La première, de 1,200 fr, à M. l'abbé Haigneré, pour ses deux publications intitulées, l'une: Cartulaires des établissements religieux du Boulonnais; l'autre : les Chartes de Saint-Bertin;

La seconde, de 600 fr., à M. le baron de Calonne, pour son livre : la Vie agricole sous l'ancien régime dans le nord de la France (2o édition).

M. Oppert commence une communication dans laquelle il donne la traduction d'un document récemment découvert au Musée britannique. C'est une chronique babylonienne, qui va depuis le règne de Nabonassar (an 747 avant notre ère) jusqu'à la première année de celui de Saosduchin (667 avant notre ère). Ce qui fait l'intérêt particulier de cette chronique, c'est qu'elle a été rédigée dans un esprit hostile à la dynastie des Sargonides et qu'elle contredit souvent les récits officiels écrits sous l'influence des rois de cette famille. Sargon, par exemple, se vante, dans ses inscriptions, de ses victoires sur le roi d'Elam; la Chronique affirme que c'est lui qui fut battu. Sennacherib dit qu'il mit son fils Assurpadinsum ou Aparanadisos sur le trône de Babylone: mais la Chronique est seule à nous apprendre que ce fils fut déposé par ses sujets et que son père dut prendre les armes pour le rétablir, etc. Ouvrage présenté, de la part des auteurs, par M. Héron de Villefosse: Jules DE LAURIERE et Eug, MüNTZ, Giuliano da San Gallo et les monuments antiques du Midi de la France au xv° siècle (extrait du t. XLV des Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France.)

Julien HAVET.

SOCIÉTÉ NATIONALE DES ANTIQUAIRES DE FRANCE

Séance du 15 juin 1887.

M. le Président lit une lettre de M. Buhot de Kersers communiquant une note sur une épée en fer et un rasoir en bronze trouvés à Lunery (Cher), en 1887.

M. Pol Nicard offre à la Société une note sur un monogramme d'un prêtre artiste du xe siècle, par M. Desnoyers.

M. de Laurière communique des photographies de monuments qu'il a visités en Corse et en Sardaigne, et il donne des renseignements sur la stèle d'Apriciani. M. Mowat lit une note de M. Lafaye sur un sarcophage antique dont il indique l'existence dans l'église de Sainte-Marie-Majeure, à Bonifacio (Corse).

M. de Geymuller signale de nouvelles découvertes faites à Rome récemment et qui fixent définitivement l'emplacement de la maison de Raphaël et dans laquelle il est

mort.

M. Courajod, se référant à une précédente communication, présente à la Société une sculpture sur bois de la collection de M. Corroyer, marquée de la main coupée tracée au feu et provenant d'un atelier d'Anvers. I rappelle qu'un grand nombre de figurines en bois portent la même marque, et signale en même temps des panneaux peints de l'Ecole d'Anvers, frappés au revers du même fer; ces panneaux font partie des collections Fetis de Bruxelles et Ozenfant de Lille.

Ed CORROYER.

Le Propriétaire-Gérant : ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

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