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(Zwei Jahre nach seinem Tode gemalt von Jules L. Ph. Coignet.)

Sehr versöhnlich berührt angesichts der beiden englischen Werke die kaum zwei Jahre später, gelegentlich einer „Einführung ins hieroglyphische Studium" geschriebene, von seltener Unparteilichkeit inspirierte Kritik des ,,Entzifferers" Young durch Samuel Birch (Siehe Rev. archéol. 1857, Vol. 14 Seite 540 ff.). Dass dieser hier von Champollion sagt: ,,Bis 1821 ahnte er nicht den lautlichen Wert der Hieroglyphen und hatte sogar die Entdeckungen Youngs nicht benutzt," kann nicht befremden, denn Champollion hatte es stets verschmäht, von den Ergebnissen seiner früheren Grenobler Studien zu reden. Und doch sicherten gerade sie ihm einen glänzenden Beweis für seine Priorität über Young. Figeac brachte dies im Jahre 1857 in geschickter Weise zur öffentlichen Kenntnis, indem er in demselben Bande der genannten Revue (S. 591 ff.) einen Teil des Memoire wiedergab, das der 19jährige Champollion einst vor der delphinatischen Akademie gelesen hatte! (Siehe hierzu Anh. II. 7. Aug. 1810.)

Diese Feststellung blieb nicht unbeachtet in England, wo übrigens auch die von Bewunderung für seinen grossen Landsmann förmlich durchglühten Apologien') von Ephrem Poitevin einigen Eindruck machten.

Den Freunden und Verteidigern Champollions kam die Auffindung des zweisprachigen Dekretes von Kanopus im Jahre 1866 zu Hilfe, ein anscheinend kleines Ereignis, das aber von allergrösster Bedeutung war. Denn diese kostbare Inschrift wurde zur endgültigen Beglaubigung für die Ägyptologie. Sie besiegte auch die letzten Bedenken!

Zwar hielt es Le Page-Renouf für nötig, am 2. Juni 1896 vor der Royal Society in London in ausserordentlich nachdrücklicher Weise Champollions Rechte zu wahren, da wieder einmal, zu Gunsten Youngs, Recht in Unrecht, Licht in Finsternis verwandelt werden sollte, und sein mutiger Protest bleibt in den Annalen der Ägyptologie verzeichnet! Aber was auch in Zukunft sich noch ereignen möge, eins steht fest:

1) In einem Artikel der Rev. archéol., Vol. X., p. 350 ff. sagt er: "[Son système], livré au dénigrement et à la raillerie passionnée de l'esprit de parti, a triomphe de toutes les résistances et poursuit glorieusement sa carrière, comme,le Dieu de la montagne solaire du Ciel': Versant des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs."

Keine Umtriebe, keine Angriffe werden den Meister und das von ihm errichtete Entzifferungs-System auf die Dauer schädigen können; sein Werk steht fest, seine Ehre ist fleckenlos, sein Ruhm leuchtet in alle Lande und mit wachsendem Stolz bekennen sich seine Jünger zu ihm. Wissen sie doch, dass Champollion, ob er auch abscheiden musste, lebendig ist in seiner siegreichen Wissenschaft, die ihre Wurzeln immer tiefer treibt in den Boden der Vergangenheit, die ihre Ziele immer höher steckt und ihre Grenzen stetig erweitert, getragen immerdar vom Geiste ihres Begründers.

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Anhang I.

No. 1. Courier (sic!) de l'Egypte. No. 37.

Le 29 fructidor, VIIe année de la République. Rosette, le 2 fructidor an 7.

,Parmi les travaux de fortification que le citoyen Dhautpoul, chef de bataillon du génie, a fait faire à l'ancien fort de Rachid, aujourd'hui nommé Fort-Julien, situé sur la rive gauche du Nil, à trois milles toises du Boghaz de la branche de Rosette, il a été trouvé, dans des fouilles, une pierre d'un très-beau granit noir, d'un grain très-fin, très-dur au marteau. Les dimensions sont de 36 pouces de hauteur, de 28 pouces de largeur, et de 9 à 10 pouces d'épaisseur. Une seule face bien polie offre trois inscriptions distinctes et séparées en trois bandes parallèles. La première et supérieure est écrite en caractères hieroglyphiques; on y trouve 14 lignes de caractères, mais dont une partie est perdue par une cassure de la pierre. La seconde et intermédiaire est en caractères que l'on croit être syriaques; on y compte 32 lignes. La troisième et la dernière est écrite en grec; on y compte 54 lignes de caractères très-fins, très-bien sculptés et qui, comme ceux des deux autres inscriptions supérieures, sont très-bien

conservés.

Le général Menou a fait traduire en partie l'inscription grecque. Elle porte en substance que Ptolomée Philopator fit rouvrir tous les canaux de l'Egypte, et que ce prince employa à ces immenses travaux un nombre très-considérable d'ouvriers, des sommes immenses et huit années de son règne. Cette pierre offre un grand intérêt pour l'étude des caractères hieroglyphiques, peut-être même donnera-t-elle enfin la clef.

en

Le citoyen Bouchard, officier du corps du génie qui, sous les ordres du citoyen Dhautpoul, conduisait les travaux du fort de Rachid, a été chargé de faire transporter cette pierre au Kaire. Elle est maintenant à Boulaq." Zu Bd. I. S. 21.

No. 2. Brief des Lyceumschülers. Sommer 1806.

„Je t'annonce, que les administrateurs commencent à prendre les coutumes des Orientaux. Ils traîtent les parents des élèves comme la Sublime Porte traîte les Juifs. - ... Ils ont follement dépensé tout l'argent et pour remplir le déficit, ils prennent pour prétexte que l'on a cassé à la maison de campagne pour 1033 fr. de vitres et autres choses, plus 400 fr. de dégât dans le Lycée... Leur système de politique (assez semblable à celui de la Porte, qui fait rétablir aux frais des Juifs les endroits de son Sérail qui sont endommagés!), doit être liquidé par tous les élèves à raison de 9 fr. par tête.

Payer, payer! Je crois qu'on ferait bien d'écrire ces mots-là en lettres d'or sur la principale porte... Veux-tu me laisser croupir encore dans ce séjour infernal?" Zu Bd. I. S. 55.

No. 3. Neujahrswunsch.

1. Januar 1807.

„Je ne savais quel don serait la récompense

Des soins que de tes mains a reçus mon enfance;
Balançant, indécis, mille projets confus

Se formaient dans mon cœur; tout-à-coup j'aperçus

Venir de l'Orient un ange de lumière."

(Der himmlische Führer lässt ihn im Fluge alle Herrlichkeit der antiken Kulturstätten Asiens und Afrikas bewundern und stellt ihm für seinen Bruder - sinnenberückende Schätze zur Verfügung.)

„Je vis et j'admirai! Mais leur magnificence

Etait un prix trop vain pour ma reconnaissance!"

(Und er sieht ein, dass nur Gott selber gewähren könne, was er mit inbrünstigem Verlangen sucht:)

,,Maître de l'Univers, Toi, mon Dieu, Toi mon Père,

D'un œil compatissant, si Tu vois ma misère,

Si Tu jettes sur moi des regards de bonté
Ecoute, entends ma voix, que je sois exaucé.
Un frère, Tu le sais, dès ma plus tendre enfance
S'acquiert des droits sacrés à ma reconnaissance.

Fais le vivre content dans la tranquillité!
Oh! fais que mes succès justifient son espoir,
Que je sois vertueux et qu'il puisse le voir.
Fais qu'à mon tour enfin, lui prouvant ma tendresse,
Je puisse, par mes soins, soulager sa vieillesse!"

Zu Bd. I. S. 62.

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