Pagina-afbeeldingen
PDF
ePub

d'État, membre du Conseil municipal de Paris; rue de Bellechasse, 51.

TREFFOUX, à la Banque de France. VACQUER (L.-T.), architecte, chargé

par la Ville de Paris de la surveillance archéologique des fouilles et des démolitions; rue Monsieur-le-Prince, 16. VANEY (Auguste - Emmanuel), substitut du Procureur général; rue Duphot, 14.

VERLAQUE (l'abbé Victor), directeur à l'École des Carmes; rue d'Assas, 19.

VIAN (Louis-Richard), ancien notaire; à Saint-Chéron (Seine-etOise).

VILLARS (baronne de); rue du Colysée, 39.

VILLEPELET (Ferdinand), archiviste

du département de la Dordogne; place de la Clautre, 16, à Périgueux.

VILMORIN (Henri), négociant; impasse Conti, 2.

VIOLLET (Fulgence); rue Bonaparte, 11, à Tours.

VIOLLET (Paul), archiviste aux Archives nationales; rue Bretonvilliers, 1.

VIOLLET-LE-Duc (Eugène-Emmanuel); rue Condorcet, 68. VITU (Auguste), homme de lettres; avenue de Wagram, 36. VITU (Auguste), élève de l'École des Chartes; avenue deWagram, 36.

VUITRY (Adolphe), membre de l'Institut; rue de Téhéran, 13. WAILLY (Natalis de), membre de

l'Institut; rue Raynouard, 30. WALLON (Henri), membre de l'Institut, député à l'Assemblée nationale; boulevard Saint-Michel, 95.

WATTEVILLE (Paul-Oscar, baron de), chef de la division des Sciences et Lettres au Ministère de l'Instruction publique; boulevard Malesherbes, 63. ZOTENBERG (Hermann), employé au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale, avenue des Ternes, 96.

LISTE

DES MEMBRES DU CONSEIL D'ADMINISTRATION.

ALPHAND, directeur des travaux

DU CAMP (Maxime), homme de lettres.

de la Ville de Paris.

ANDRÉ (Alfred), banquier, député DUFOUR (l'abbé Valentin), ancien

de la Seine.

BARTHÉLEMY (Anatole de), secrétaire de la Commission de topographie des Gaules. BOULAY DE LA MEURTHE (Alfred). CHARTON (Édouard), membre de

l'Assemblée nationale, directeur du Magasin pittoresque. CHEREAU (Achille), docteur en médecine.

COCHERIS (Hippolyte), conseiller

général de Seine-et-Oise, conservateur à la Bibliothèque Mazarine.

COURAJOD (Louis), attaché au Musée du Louvre.

COUSIN (Jules), bibliothécaire de la Ville de Paris). DELISLE (Léopold), membre de l'Institut.

DEMAY (Germain), membre de la Société des Antiquaires de France. DESJARDINS (Gustave), sous-chef au bureau des archives au ministère de l'Intérieur. DIDOT (Ambroise-Firmin), membre de l'Institut, libraire-éditeur.

DOUET D'ARCQ (Louis), chef de la section historique aux Archives nationales.

sous-bibliothécaire de la Ville de Paris.

DURUY (Victor), membre de l'Institut, ancien ministre. EGGER (Émile), membre de l'Institut.

FAGNIEZ (Gustave), auxiliaire de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. GAULLE (Joseph de).

GIRY (Arthur), archiviste aux Archives nationales. GUILHERMY (le baron de), con

seiller référendaire de première classe à la Cour des Comptes. GUILLAUME (Eugène), membre de l'Institut, directeur de l'École des Beaux-Arts. HEROLD (Ferdinand), vice-président du Conseil municipal de Paris.

JOURDAIN (Charles), membre de l'Institut.

LABORDE (le marquis de). LAIR (Jules), directeur de la Compagnie des entrepôts et magasins généraux de Paris. LALANNE (Ludovic), membre du Comité des Travaux historiques. LASTEYRIE (Robert de), archiviste aux Archives nationales. LAVERNE (Albert), notaire.

LONGNON (Auguste), attaché aux travaux de la Commission de topographie des Gaules. LONGPÉRIER (Adrien de), membre de l'Institut.

MARION (Jules), membre de la Société des Antiquaires de France.

MAURY (Alfred), membre de l'Ins

titut, directeur général des Archives nationales.

MICHAUX (Lucien), chef de la division des Beaux-Arts et des Travaux historiques à la Préfecture de la Seine. MONOD (Gabriel), directeur adjoint à l'École pratique des Hautes études.

MONTAIGLON (Anatole de), pro

fesseur à l'École des Chartes. PANNIER (Léopold), employé au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale. PARIS (Paulin), membre de l'Institut.

Président.

Vice-Président.

PICHON (le baron), président de la Société des Bibliophiles françois.

PICOT (Georges), juge au tribunal de la Seine. Rathery (E.-J-B.), conservateur sous-directeur adjoint au département des imprimés de la Bibliothèque nationale. ROZIÈRE (Eugène de), membre de l'Institut, inspecteur général des Archives.

TISSERAND (L.-M.), chef du bureau historique de la Ville de Paris.

VIOLLET (Paul), archiviste aux Archives nationales.

VIOLLET Le Duc (Eugène-Emma

nuel), architecte.

VUITRY (Adolphe), membre de

l'Institut, ancien ministre. WATTEVILLE (le baron de), chef de la division des sciences et lettres au Ministère de l'Instruction publique.

BUREAU DE LA SOCIÉTÉ.

DELISLE (Léopold).

GUILHERMY (le baron de).

Trésorier-Bibliothécaire.. LABORDE (le marquis de).

[blocks in formation]

OBJET DE LA SOCIÉTÉ.

Nous croyons utile de reproduire ici la circulaire par laquelle les fondateurs de la Société de l'Histoire de Paris ont annoncé sa formation et indiqué le but qu'elle se propose :

• Il n'est peut-être pas en France une seule province où n'existe une Société savante consacrant à l'histoire locale une louable activité. Par une exception unique, Paris n'est pas le siége d'une Société du même genre. La prépondérance de la capitale, la connexion étroite de ses destinées avec celles du pays, en donnant à son histoire un intérêt général, ont rejeté au second plan ses vicissitudes particulières, et ses nombreux historiens l'ont moins considérée en ellemême et dans son développement propre, que comme le siége de la royauté et le théâtre des plus grands événements de notre histoire. Les auteurs qui, comme l'abbé Lebeuf et Jaillot, ont abordé directement l'histoire de Paris, se sont placés à un point de vue spécial, et n'ont pu dans leurs ouvrages, d'ailleurs si remarquables, traiter de toutes les questions que comporte un aussi vaste sujet. En outre, l'agrandissement et la transformation de Paris au XIXe siècle ont rompu l'unité que notre ville avait encore au siècle dernier, rendu les diverses classes de la population plus étrangères les unes aux autres, et affaibli, avec le sentiment de la solidité et de la tradition, la curiosité du passé.

› Telles sont, sans doute, les raisons qui ont donné à penser que le Parisien était devenu indifférent à l'histoire de sa ville natale, et découragé ceux qui ont pu songer à créer une Société comme la nôtre. Si elles ne nous ont pas arrêtés, c'est que nous croyons cette indifférence moins grande qu'on ne se le figure. Qu'une partie de la population bourgeoise, fixée depuis longtemps à Paris, se considère comme autre chose qu'une agglomération factice et s'intéresse à l'histoire d'une ville où ses ancêtres ont laissé des souvenirs, cela suffit pour que notre Société obtienne dès le début un assez grand nombre d'adhésions et puisse faire les frais d'un volume qui lui en attirera de nouvelles.

› C'est, en effet, par la publication d'un recueil annuel de mémoires et de documents que nous entendons propager le goût de l'histoire parisienne. Mais, bien que la capitale pût à elle seule fournir la matière de ce recueil, nous avons cru qu'il devait embrasser tout le territoire géographique qui a Paris pour centre, en d'autres termes, l'Ile-de-France.

» L'histoire de Paris et de l'Ile-de-France offre tant d'aspects divers que tous ceux qui étudient nos antiquités nationales peuvent, en

restant fidèles à leur spécialité, devenir nos collaborateurs. Histoire proprement dite, archéologie, économie politique, droit public et privé, topographie, philologie, littérature et moeurs populaires, tout cela trouvera sa place naturelle dans notre publication et lui donnera une attrayante variété. La composition du premier volume est déjà assurée; il justifiera, nous osons l'espérer, la confiance de ceux qui nous auront donné leur adhésion. Nous développerons, d'ailleurs, notre programme. Nous comptons publier un jour, concurremment avec notre recueil et dans le même cadre, une collection de documents qui mettra à la portée de tous les travailleurs des trésors inestimables, et préservera à jamais ces richesses de toutes les chances de destruction qui peuvent nous les ravir. La perte récente d'une partie précieuse des archives parisiennes prouve à tous l'utilité d'une semblable entreprise.

» Tel est, en peu de mots, le but de notre Société, tel en est l'esprit; c'est aux Parisiens qu'il appartient de la faire vivre et par leurs souscriptions, et par leur collaboration. De récents malheurs ont dû raviver les sentiments auxquels nous faisons appel. Au jour néfaste des incendies, le Parisien s'est senti atteint, et il a compris que Paris n'était pas pour lui un lieu de passage où il pût se croire indifférent, étranger.

» Paris a des attraits multiples : le savant, l'industriel, le commerçant, l'artiste, s'y attachent à des titres divers : ce grand centre d'études, d'intérêts, les attire, les retient sous un charme puissant; notre Société a le droit de leur demander à tous un concours, un appui, car la connaissance du passé est une des conditions de l'intelligence du présent, une des formes de l'amour du pays. »

JOURS DES SÉANCES

DE LA SOCIÉTÉ

DE L'HISTOIRE DE PARIS ET DE L'ILE-DE-FRANCE

Pendant l'année 1874.

Le Conseil d'Administration de la Société se réunira aux Archives Nationales aux dates ci-dessous indiquées :

[blocks in formation]

Les séances commenceront à quatre heures.

Tous les membres de la Société ont le droit d'y assister et d'y faire les communications qui seraient de nature à intéresser la Société.

« VorigeDoorgaan »