La revue, ou Chronique parisienne, politique, morale, littéraire et théâtrale, Volume 11817 |
Overige edities - Alles bekijken
La revue, ou Chronique parisienne, politique, morale, littéraire ..., Volume 2 Jacques Lablée Volledige weergave - 1817 |
La revue, ou Chronique parisienne, politique, morale, littéraire ..., Volume 3 Jacques Lablée Volledige weergave - 1817 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
actrice Alleluia AMBIGU-COMIQUE applaudi aurait auteurs avez ballet beau Benjamin Constant Bobéchiens boulevard brillant Cardinal de Fleury cause chant charme chars chose comédie comédiens comique Comte et Dunoyer Cosi fan Tutte couplets dire donner doute écrivains ÉPIGRAMME esprit femme Feydeau gaîté genre gens goût hommes intérêts j'ai jardin JARDIN BEAUJON jeune jolie jouer journaux jugement Jupiter justice l'abbé de St.-Pierre l'Académie l'amour l'auteur l'Entre-sol l'esprit l'intérêt Lettres Champenoises liberté Liverpol long-temps lorsqu'on Macbeth madame Catalani mademoi mademoiselle mélodrame ment mérite mieux Monrose montagnes Montagnes russes n'en nouveaux ouvrage pantomime paraît parler pense personnes pièce plaisir politique PORTE SAINT-MARTIN public raison représentation ridicule rien roman ROYALE DE MUSIQUE s'est s'il sais scène serait seul spectacle succès sujet tableau talent Talma tête de singe teurs théâtre théâtre des Variétés théâtre Italien tion Tivoli tragédie traits tribunal trouve Va-t-en Vanglas Variétés Vaudeville vérité Vestale voilà VULCAIN
Populaire passages
Pagina 109 - O mes amis ! ô vous qui me fûtes si chers ! De mes chants imparfaits recueillez l'héritage, Et sauvez de l'oubli quelques-uns de mes vers. Et vous par qui je meurs, vous à qui je pardonne, Femmes, vos traits encore à mon œil incertain S'offrent comme un rayon d'automne, Ou comme un songe du matin. Doux fantômes ! venez, mon ombre vous demande Un dernier souvenir de douleur et d'amour : Au pied de mon cyprès effeuillez pour offrande Les roses qui vivent un jour.
Pagina 29 - Je vois, monsieur , par votre lettre d'hier , que vous vous proposiez, dans vos assemblées, de traiter des ouvrages de politique. Comme ces sortes de matières conduisent ordinairement plus loin qu'on ne voudrait, il ne convient pas qu'elles en fassent le sujet. Il y en a beaucoup d'autres qui ne peuvent avoir les mêmes conséquences , et qui ne sont pas moins dignes d'attention. Ainsi, supposé que vous jugiez à propos de continuer vos assemblées, je vous prie d'avoir attention à ce qu'il n'y...
Pagina 28 - Lors des traités de 1751 . le bruit de ces libres discussions, trop libres pour le temps, vint jusqu'aux oreilles de quelques ministres étrangers, et le cardinal Fleury se crut obligé de prévenir, en ces termes, l'abbé Alary : « Dites à vos messieurs de l'Entresol qu'ils prennent garde à leurs discours et que des étrangers mêmes sont venus s'en plaindre à moi.
Pagina 133 - ... public ; mais la femme , en bien faisant, n'a fait que la moitié de sa tâche, et ce que l'on pense d'elle ne lui importe pas moins que ce qu'elle est en effet.
Pagina 67 - ... de la raifon. Tous les befoins d'un grand Royaume pefent fur celui qui préfide aux Finances. Toutes les maladies de l'Etat ont droit d'aller troubler, fon repos : ou pour mieux dire, elles fe font toutes fentir à lui. Sans...
Pagina 67 - ... au fonds que le fupplice de cet homme condamné par les Dieux à rouler toujours , jufqu'au haut d'une montagne , une pierre d'un poids énorme qui retomboit toujours. Mais ce qui doit le plus coûter à un bon Citoyen, il faut que par les maux particuliers il prévienne ou foulage les maux publics ; qu'il s'attende que ce foin même paroîtra barbare à tout un Royaume, qui fent les coups qu'on lui porte...
Pagina 187 - On n'a pas manqué de dire que si le récipiendaire faisait de sa réception le sujet d'une comédie, ce ne serait pas celle de ses œuvres où il y aurait le moins d'intrigue. Les sots depuis Adam sont en majorité, a dit M.