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* Berger (Philippe). Histoire de l'Ecriture dans l'antiquité. Paris, Imprimerie Nationale, 1891. In-4°. Pl. en héliogr., fig. -Autre édition in-8°.

Cet ouvrage, publié par les soins du ministère de l'Instruction publique, traite des transformations de l'écriture d'une façon générale. Il est extrêmement intéressant à consulter à ce point de vue. Il ne parle qu'incidemment de la sténographie.

Bergh (Van den). - Méthode de Phonographie pour la langue française complétée d'exercices en langues espagnole, italienne, etc.; par Thomas van den Bergh. Prix: 2 fr. 50. — Anvers, imp. J.-J. Ratinckx, 1893. In-8°, 40 p.

* Bertin.

Système universel et complet de sténographie ou manière abrégée d'écrire applicable à tous les idiomes, et fondée sur des principes si simples et si faciles à saisir qu'on peut connaître en un jour les éléments de cet art et se mettre en état dans très peu de tems, de suivre la parole d'un orateur. Inventé par Samuel Taylor, professeur de sténographie à Oxford et dans les Universités d'Ecosse et d'Irlande, et adapté à la langue française par Théodore Pierre Bertin, traducteur des Satires d'Young et autres ouvrages anglais. Prix : six livres. Paris, 1792, de l'imprimerie de P. Didot l'aîné. In-8° de 91 p., 11 pl. et 1 frontispice gravés par Dien, rue du Foin St-Jacques n° 13, pour M. Bertin, rue de la Sonnerie, au coin du quai de la Mégisserie.

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Système universel et complet de sténographie, etc. inventé par Samuel Taylor, etc., et adapté à la langue française

Théodore Pierre Bertin. -2° édition revue et augmentée de deux planches dont l'une présente un index d'adversaria ou de répertoire littéraire plus avantageux que celui de Locke avec lequel il est comparé. - Paris, l'An III de l'Ere françoise. De l'imprimerie de P. Didot l'aîné. Prix huit livres. In-8° de VIII106 p., 12 pl. et 1 frontispice gravés.

Il existe quelques exemplaires de cette édition tirés dans le format in-4°.

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Système universel et complet de sténographie, etc. par Théodore Pierre Bertin. Troisième édition, revue et corrigée, etc. Paris, l'An IV de l'Ere françoise, de l'imprimerie de P. Didot l'aîné. Chez T. P. Bertin, rue de la Sonnerie, au coin du quai de la Mégisserie, n° 1, près le Chatelet, et à Provins-en-Brie, chez sa sœur, rue de la Table Ronde. In-8°, 117 p., 13 pl. et I frontispice gravés.

*Système universel et complet de sténographie, etc. Quatrième édition revue et corrigée, etc. Paris, l'An XII de l'Ere françoise. De l'imprimerie de la République. Chez T.

P. Bertin, au coin du quai de la Mégisserie, n° 1, près le Pont au Change. Prix : 9 francs. In-8° de VIII-132 p., 12 pl. et 2 frontispices gravés.

EN CYCLOPÉDLE
(COMIQUE

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- Fables de La Fontaine, gravées en caractères sténographiques, et ornées du portrait de l'auteur, et de vignettes représentant les attributs de la célérité. - Petit in-12 de 138 p. gravées par Dien. Publié en livraisons de 12 pages, à 3 francs la livraison. La 1 livraison porte: A Paris, chez T. P. Bertin, éditeur et libraire, rue ci-devant Saint-Louis du Palais, bâtiment neuf. An IV, 1796; les autres livraisons: A Paris, chez T. P. Bertin, etc., rue de la Sonnerie, n° 1, où se trouve le système de sténographie.

Cet ouvrage est resté la plus élégante et la plus jolie publication qui ait été faite en écriture sténographique.

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Encyclopédie comique, ou recueil anglais de gaietés, plaisanteries, etc., version libre de l'anglais par T. P. Bertin, etc., ornée de figures et d'une planche gravée en sténographie. Paris, s. d., 2 vol. in-12. (Au t. II, p. 185 à 207 : « Dissertation critique et curieuse sur l'Okygraphie et autres traités d'abréviation. »)

*

Les Rieurs Anglais, ou supplément à l'Encyclopédie comique, traduction libre de l'anglais par T. P. Bertin, ornée de planches en taille douce, dont une présente une maxime sténographique. Paris, An X, 2 vol. in-12.

L'iconographie sténographique est très restreinte, et les gravures qui accompagnent ces deux ouvrages et dont nous donnons la reproduction, en sont de très curieux spécimens.

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Bertin (Théodore Pierre) est né à Provins, rue de la Tableronde, le 2 novembre 1751; il est mort à Paris le 25 janvier 1819.

Son père, avocat au Parlement,_ cumulait à Provins un emploi dans les aides et les fonctions de juge de la Prévôté des Bénédictins de St-Ayoul.

T. P. Bertin se livra particulièrement à l'étude de la langue anglaise; il traduisit et publia en français, dès 1787, les Satires d'Young; en 1788, la Vie de Bacon, de D. Mallet, etc.

Il fut employé dans la Ferme Générale.

Privé de son emploi en 1791, par suite du vote de la Constituante, et resté sans ressources, il sollicita et obtint, de la section de la Butte des Moulins d'être chargé de recopier les registres de recensement de cette section.

L'insuffisance des moyens usités ou connus à cette époque pour noter les discours, lui donna l'idée d'adapter à la langue française la sténographie de l'anglais Taylor. D'après le baron Ernouf et le biographe Michaud, il se serait, dès 1790, servi de cette sténographie pour recueillir des discours, et son talent de sténographe aurait été utilisé par Maret pour la rédaction de son Bulletin de l'Assemblée Constituante.

Deux ans plus tard, il publia la première édition de son adaptation de la sténographie de Taylor à la langue française.

A cette époque, il tenait un magasin de librairie, rue de la Sonnerie ; il en eut un autre rue St-Louis du Palais.

Il fut compris, en 1795 parmi les gens de lettres auxquels la Convention accorda des secours, et reçut 1.500 francs.

Il s'occupait de physique. En 1799, il prit un brevet pour une « Lampe docimastique » dont la flamme est activée par un éolypile. (Description et gravure dans Bibliothèque physico économique, instructive et amusante, Paris, Buisson, An XI, in-12, p. 255.)

etc.

:

Il en prit un second en 1811 pour l'application à la reliure des livres d'un cartonnage verni. Aidé de Frochot, il établit un vaste atelier de reliure dans l'ancien bâtiment du Châtelet. Cette entreprise fut malheureuse et il dut l'abandonner.

Sur la fin de sa carrière Bertin était chef de bureau dans l'administration des Droits réunis.

comme

Ses traductions d'ouvrages anglais sont nombreuses et considérées co imparfaites. En voir la liste dans Quérard, « La France littéraire ». Son œuvre principale est son ouvrage sur la Sténographie.

Bertin ne fut pas à vrai dire un praticien sténographe; mais il en forma plusieurs Breton, Igonel, Lorin, etc. qui exécutèrent dans les dernières années du xvII siècle et dans les premières du xix des travaux sténographiques fort importants.

Le petit fils de Bertin fut en 1852 gérant de la Gazette des Tribunaux. Voir en outre sur Bertin:

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