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rabbatue de vr recepte par noz amez et feaulx les gens de nos comptes, ausquelz nous mandons ainsi le faire sans deffault, car tel est no plaisir, nonobstant l'ordonno par nous faicte sur l'erection de noz coffres du Louvre et distribuon de nos finan. et quelzconques autres ordonne, restrictions, mandemens ou deffen. a ce contres. Donné à Chaulme en Brye, le xxi jour de mars l'an de grace mil cinq cens quarante ung et de n' règne le vingthuit me.

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JUBERT (Jacques), tailleur d'images à Troyes.

Souscrit un marché en 1526 pour la fourniture de six statues ou groupes en pierre de Tonnerre, destinés à l'église de la Maladrerie de Close-Barbe, à Provins, moyennant go livres tournois, plus les dépens de bouche que ledit Jubert, son cheval et ses serviteurs feront pendant l'assiette desd. images.»

La principale statue est une image de Notre-Dame-de-Pitié qui sera assise au milieu de l'autel, tenant sur ses genoux la remembrance de Nostre-Seigneur, faisant même grandes fleurs selon que l'histoire le requiert. »

(Ythier, Histoire ecclésiastique de Provins; manuscrit de la bibliothèque publique de cette ville.)

LECLERC (Lambert), «m esmailleur-patinostrier en émaille,» Honoré Baudouin, maître crispinier en or, argent et soie, Denise Leclerc, sa femme, et autres, de Paris, transigent au sujet de biens situés au Pont-aux-Dames, par contrat devant Berthault, notaire à Couilly, du 8 décembre 1652.

(Archives de Seine-et-Marne, E 1725.)

LE FAUCHEUR (Jean-Ignace), écuyer, valet de chambre horloger du roi, gouverneur de la tour du Palais, à Paris.

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Fils d'Alexandre le Faucheur et de Marie-Étiennette Tiellement. Recueille l'héritage de sa mère décédée en janvier 1750. Get héritage consiste notamment en une ferme aux Ormes et une ferme à Balloy, outre divers autres immeubles situés dans le bailliage de Provins. L'horloger du roi vendit le tout, moyennant 25,000 livres,

le 14 mai 1772, devant Lagrenée, notaire à Paris, à Christ.-Aug. de Biencour de Potrincourt, ancien capitaine au régiment de Na

varre.

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Provins, 1772.)

* LEFEBURE (Jean), peintre à Fontainebleau.

Ce Jean Lefebure ou Lefebvre était fils de Jean, mort à Fontainebleau en 1664 et qualifié «peintre et bourgeois de ce lieu». Il était frère de Claude Lefebvre, peintre de portraits et membre de l'Académie.

Le 4 mars 1675, il fait partie d'un conseil de famille du mineur Bertinet, réuni à la prévôté de Fontainebleau sur la demande de Charlotte de Loisillière, veuve de Jean Colin, sieur de la Grenouillère. Sont également présents: Pierre Mortillon, charpentier du roi, Guignebault, peintre, Pierre Gilbert, peintre, et Michel Hersant.

* LEFEBVRE (Jean), «horlogeur du roi à Fontainebleau. »

En 1741, il poursuit les héritiers Leblanc pour la passation d'un titre nouvel de 60 livres de rente.

LEMOT (François-Frédéric), sculpteur, à Paris, rue de la Loi, n° 155.

Achète, le 29 frimaire an vi, devant Oudinot, notaire à Paris, de Claude-Charles Scoquart, géographe à Paris, et d'Armand-Louis Jumelle, épicier, 2 arpens 10 perches de bois à la Haute-Maison, près Crécy-en-Brie, moyennant 700 livres.

I achète encore la même année, devant Oudinot, 30 arpents 45 perches de terre à Villemareuil, moyennant 3,000 livres.

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Meaux, an vi.)

LEROY (Étienne-Augustin), horloger du roi, à Paris, rue Saint

Denis.

Achète, le 27 mars 1777, devant Chavet, notaire à Paris, la ferme de Vulaines, à Yèbles, de Denis-Louis Château et sa femme, moyennant 72,400 livres.

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Melun, 1777-)

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* LIGER (Jean), architecte, inspecteur des bâtiments de l'École militaire de Paris.

Le 18 mai 1773, Marie Gobin, bourgeoise de Paris, veuve de Jean Liger, tutrice de ses huit enfants mineurs, provoque une réunion de parents à la prévôté de Fontainebleau pour décider si la succession de Jean Liger, maçon dans cette ville, aïeul desdits enfants, doit être acceptée ou répudiée.

LUCE (Vincent-de-Paul), organiste à Paris.

Le 11 février 1792, Guillaume Jurien, premier commis au département de l'intérieur, achète à l'audience des criées, à Paris, le domaine du Petit-Boitron, commune de Châtres, provenant de Jeanne-Josèphe Sejan, veuve de Vincent-de-Paul Luce, et de ses enfants, lesquels le tenaient de Paul Luce. Prix: 76,400*.

*

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Melun, 1792.)

MAILLET (Jacques), graveur et imprimeur en taille-douce à Paris.

Il demande, le 13 avril 1667, au prévôt de Fontainebleau, et en qualité de tuteur des enfants mineurs de Bon Chevallier, la visite d'une maison et dépendances portant autrefois pour enseigne l'image Saint-Paul, à Fontainebleau, afin de réprimer une anticipation commise par Nicolas Chabouillé, sieur de la Motte, propriétaire

voisin.

MARILLIER (Clément-Pierre), peintre-dessinateur, et Marie-Thérèse Brusley, sa femme, demeurant à Paris, cloître et paroisse Saint-Benoist.

Achètent devant Giard, notaire, le 14 juillet 1774, de CatherineMadeleine de Recicour, veuve d'Étienne-Nicolas Lemoine, ancien notaire au Châtelet de Paris, une maison située à Beaulieu, paroisse de Boissise-la-Bertrand, avec parterre, potager, trois terrasses, etc., moyennant 200 de rente envers la paroisse de Boissise et 40 de rente foncière envers l'église de Boissise-le-Roi.

(Collection de l'auteur.)

MERCKEN (Jean-Killen), facteur de clavecins, à Paris, rue du

Chantre, marié à Marie-Sophie Gossens.

Achète, le 1 août 1789 (sentence du Châtelet de Paris), de Léonard Gossens, maître tailleur, et Marie-Louise Dubocq, sa femme, une maison à Fontainebleau, rue des Sablons, moyennant 4,700.

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Melun, 1789.)

* MICHEL (Nicolas), organiste de la paroisse de Fontainebleau et concierge de l'hôtel de Penthièvre.

Poursuit en 1741 la vente d'une maison située dans cette ville, rue des Pins, à l'enseigne de l'Enfant-Jésus, contre Nicolas Passereau, maître d'école.

MOREAU (Pierre), chapelain ordinaire de la chapelle-musique du roi, prieur de Notre-Dame de Rouget, seigneur de Rouget (à Chamigny-en-Brie) et de Vaulx-le-Recellé.

Obtient, le 27 mai 1634, des lettres du roi pour le renouvellement de son terrier.

(Collection de l'auteur.).

*MORTILLON (Pierre), maitre charpentier du roi au château de Fontainebleau.

Le 24 janvier 1670, il présente requête au prévôt pour être payé de ses vacations comme expert des biens des successions de Robert Jamin et de Marguerite Tabouret. Il est taxé à 18 et demande exécutoire contre Robert et Claude Jamin, contre le seigneur de Fortoiseau et le sieur Des Portes.

A la même époque, Marguerite Mortillon, veuve de Bonaventure Testu, poursuit la vente d'une ferme au Crimon, paroisse d'Égreville, et d'autres biens, sur Louis et Pierre Mortillon, ses frères, charpentiers du roi.

NICOLAS, dit LA JEUNESSE, tailleur de pierre, passe marché le 14 avril 1749, pour raccommoder la figure de Neptune qui décore la fontaine de Coulommiers, sur la place du Marché; refaire deux bras, un trident de pierre dure, réparer le corps et le manteau, mettre le tout dans la position et l'attitude convenable d'un Neptune; prix convenu, 30.

(Archives de la ville de Coulommiers, BB 7.)

* NIVELON (Pierre), peintre à Fontainebleau.

Attaque, le 20 octobre 1681, devant le prévôt, Jacques-Louis de Franqueville, bourgeois, qui l'a injurié et battu.

Il avait alors trente et un ans et était occupé aux travaux du château. Fils de feu Pierre Nivelon, peintre, et de Louise Saulnier, et frère de Bonaventure Nivelon, également peintre.

* NIVELON (Jean), « maître joueur d'instruments et à danser à Fontainebleau, lieutenant du roi, maître de tous les maîtres joueurs d'instruments et à danser par tout le royaume."

Présente requête au prévôt de Fontainebleau, le 12 novembre 1669, pour faire enregistrer les lettres par lesquelles Guillaume du Manoir, roi des violons, l'a pourvu de l'office de son lieutenant le 19 octobre 1669.

Le 7 mai suivant, il se plaint au prévôt de Nicolas et Jean Nivelon, ainsi que de Chatin père et fils, lesquels « quoiqu'ignorants et incapables, se mêlent et s'ingèrent au préjudice de la jeunesse de montrer à danser; » défense est faite aussitôt de jouer du violon et de montrer à danser, pour tous ceux qui n'auront pas été agréés par le lieutenant du roi des violons.

"

PAVANT (Gabriel-Jean-Baptiste), architecte à Paris, rue du Chemin de Ménilmontant.

Achète, le 16 novembre 1787 (Dosne, notaire à Paris), de Marie Dabbadie-Canivet, une maison située au Mée, près Melun, moyennant 30,000#.

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Melun, 1787.)

PASSEREAU (Nicolas), organiste de la paroisse de Fontainebleau, en 1760, marié à Marie-Louise Peltier.

Tous deux étaient décédés en 1788; leurs six enfants, parmi lesquels Nicolas-Jules-Henri-Camille-Thierry-Mathurin Passereau, aussi organiste à Fontainebleau, vendent, le 22 novembre 1788, trois maisons situées dans cette ville, rue des Pins.

(Archives de Seine-et-Marne. Lettres de ratification, Melun, 1789.)

* QUENAULT (Michel), graveur et imprimeur en taille-douce à Paris.

Marié à Marguerite Chevalier.

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