Considérations sur les principaux événemens de la révolution françoise, Volume 1Delaunay, libraire ..., Bossange et Masson, libraires, 1818 |
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... nobles , c'est - à - dire les conquérans , se con- sidéroient comme les copartageans de la puis- sance royale de leur chef , tandis que la nation étoit divisée entre les différens seigneurs , qui disposoient d'elle à leur gré . Il n'y ...
... nobles , c'est - à - dire les conquérans , se con- sidéroient comme les copartageans de la puis- sance royale de leur chef , tandis que la nation étoit divisée entre les différens seigneurs , qui disposoient d'elle à leur gré . Il n'y ...
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... nobles alloient à la guerre en personne , amenant avec eux leurs hommes d'armes : ainsi les rois n'avoient pas besoin de lever des impôts , puisqu'ils n'entre- tenoient point d'armée ni d'établissement pu- blic . Tout démontre que ...
... nobles alloient à la guerre en personne , amenant avec eux leurs hommes d'armes : ainsi les rois n'avoient pas besoin de lever des impôts , puisqu'ils n'entre- tenoient point d'armée ni d'établissement pu- blic . Tout démontre que ...
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... nobles que l'état de courtisans au- quel le despotisme royal les a condamnés . C'est une question purement métaphysique maintenant , que de savoir si l'espèce humaine gagneroit à l'indépendance d'une classe plutôt qu'à l'oppression ...
... nobles que l'état de courtisans au- quel le despotisme royal les a condamnés . C'est une question purement métaphysique maintenant , que de savoir si l'espèce humaine gagneroit à l'indépendance d'une classe plutôt qu'à l'oppression ...
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... nobles moins nécessaire ; le besoin des impôts , au contraire , força les souverains à recourir au tiers état ; et , pour en obtenir des tributs directs , il fallut " qu'ils le dégageassent plus ou moins de l'in- fluence des 8 ...
... nobles moins nécessaire ; le besoin des impôts , au contraire , força les souverains à recourir au tiers état ; et , pour en obtenir des tributs directs , il fallut " qu'ils le dégageassent plus ou moins de l'in- fluence des 8 ...
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... nobles ; d'un superbe amour de la patrie , et d'une contrée tout ouverte au pernicieux ascendant des étrangers ; nous dirons seulement que la con- stitution rédigée par des hommes éclairés en 1792 , celle que le général Kosciusko a si ...
... nobles ; d'un superbe amour de la patrie , et d'une contrée tout ouverte au pernicieux ascendant des étrangers ; nous dirons seulement que la con- stitution rédigée par des hommes éclairés en 1792 , celle que le général Kosciusko a si ...
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Populaire passages
Pagina 232 - Sire , nous vous en conjurons au nom de la patrie, au nom de votre bonheur et de votre gloire, renvoyez vos...
Pagina 231 - Ne croyez pas ceux qui vous parlent légèrement de la nation, et qui ne savent que vous la représenter , selon leurs vues, tantôt insolente, rebelle, séditieuse; tantôt soumise, docile au joug, prompte à courber la tête pour le recevoir. Ces deux tableaux sont également infidèles. Toujours prêts à vous obéir, sire, parce que vous commandez au nom des lois , notre fidélité est sans bornes comme sans atteinte.
Pagina 379 - Ce qui rendait au contraire la société française un peu superficielle , c'étaient les loisirs de la monarchie. Mais tout à coup la force de la liberté vint se mêler à l'élégance de l'aristocratie : dans aucun pays ni dans aucun temps , l'art de parler sous toutes ses formes n'a été aussi remarquable que dans les premières années de la révolution. Les femmes en Angleterre sont accoutumées...
Pagina 103 - SaintOuen , à deux lieues de Paris , une procession de carrosses presque continuelle. Des hommes de toutes les classes et de toutes les conditions s'empressèrent à lui porter l'hommage de leurs regrets et de leur sensibilité...
Pagina 256 - Ayant passé toute sa vie, jusqu'à quarante ans qu'il avait alors, dans les procès , les enlèvements et les prisons , il était banni de la bonne compagnie , et son premier désir était d'y rentrer. Mais il fallait mettre le feu à l'édifice social , pour que les portes des salons de Paris lui fussent ouvertes. Mirabeau, comme tous les hommes sans morale, vit d'abord son intérêt personnel dans la chose publique, et sa prévoyance fut bornée par son égoîsme.
Pagina 3 - Les nations grecque et romaine ont disparu du monde à cause de ce qu'il y avait de. barbare, c'est-à-dire d'injuste, dans leurs institutions. Les vastes contrées de l'Asie se sont perdues dans le despotisme; et, depuis nombre de siècles, ce qu'il y reste de civilisation est stationnaire. Ainsi donc , la grande révolution historique dont les résultats peuvent s'appliquer au sort actuel des nations modernes, date de l'invasion des peuples du Nord ; car le droit public de la plupart des États...
Pagina 232 - ... frontières ; renvoyez sur-tout les troupes étrangères , ces alliés de la nation ,. que nous payons pour défendre et non pour troubler nos foyers. Votre majesté n'en a pas besoin. Eh ! pourquoi un monarque adoré de vingt-cinq millions de Français ,. feroit^il accourir à grands frais autour du. trône quelques milliers d'étrangers ? » SIRE , au milieu de vos enfans , soyez gardé par leur amour.
Pagina 231 - Êtes-vous cruel, implacable? Avez-vous abusé de la justice? Le peuple vous impute-t-il ses malheurs? Vous nomme-t-il dans ses calamités? Ont-ils pu vous dire que le peuple est impatient de votre joug, qu'il est las du sceptre des Bourbons?
Pagina 17 - XIV, ont eu la dangereuse habileté d'occuper les esprits par la guerre, il ne s'est pas passé, pendant l'espace de huit siècles, vingt-cinq ans durant lesquels, ou les grands vassaux armés contre les rois, ou les paysans soulevés contre les seigneurs...
Pagina 17 - Anglois pour obtenir la liberté légale, qui seule peut faire jouir une nation du calme, de l'émulation et de la prospérité. Il importe de répéter à tous les partisans des droits qui reposent sur le passé, que c'est la liberté qui est ancienne, et le despotisme qui est moderne.