 | Arnold Hermann Ludwig Heeren - 1827 - 566 pagina’s
...1,1'. COMMENCEMENT DE LA GUERRE AVEC ROME , JUSQU'A LA DESTRUCTION DE CARTHAGE, a()/jl/f6. 1. Lés guerres entre Rome et Carthage étaient la suite inévitable...la Sicile. Première guerre avec Rome, depuis 264 — 341 (a3 ans), pour la possession de la Sicile , et en grande partie décidée , à l'avance , par... | |
 | Arnold Hermann Ludwig Heeren - 1836 - 578 pagina’s
...Carthage étaient la suite inévitable de la rivalité de grandeur entre deux peuples conquérants, aussitôt que leurs conquêtes viendraient à se rapprocher....maximes d'une saine politique, la sûreté de l'Italie pouyait difficilement se concilier avec la domination absolue de Cartilage sur toute la Sicile. Première... | |
 | Jean Jacques Guillemin - 1852 - 706 pagina’s
...Rome étaient la suite inévitable de la rivalité de grandeur entre deux puissances conquérantes , aussitôt que leurs conquêtes viendraient à se rapprocher....domination absolue de Carthage sur toute la Sicile. » (Ileeren.) Au moment où la lutte éclata. , Rome et Carthage éjaient les deux plus grandes puissances... | |
 | 1853 - 412 pagina’s
...déclaré pour eux, leur fit naître l'idée de chasser entièrement les Carthaginois de l'Ile; car la sûreté de l'Italie pouvait difficilement se concilier avec la domination absolue de Carthage en Sicile. La victoire queles Romains remportèrent près d'Agrigente et la prise de cette ville, en... | |
 | Jean Jacques Guillemin - 1858 - 670 pagina’s
...Rome étaient la suite inévitable de la rivalité de grandeur entre deux puissances conquérantes, aussitôt que leurs conquêtes viendraient à se rapprocher. C'est donc une question indifférente de savoir quel fut l'agresseur; et quand même on ne saurait disculper Rome de ce reproche, on ne peut... | |
 | Jean Jacques Guillemin - 1867 - 740 pagina’s
...Rome étaient la suite inévitable de la rivalité de grandeur entre deux puissances conquérantes, aussitôt que leurs conquêtes viendraient à se rapprocher. C'est donc une question indifférente de savoir quel fut l'agresseur; et quand même on ne saurait disculper Rome de ce reproche, on ne peut... | |
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C'est donc une question indifférente que de savoir quel fut l'agresseur; et quand même on ne saurait disculper Rome de ce reproche , on ne peut s'empêcher de remarquer que , d'après les maximes d'une saine politique , la sûreté de l'Italie pouvait... 