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néral Bonaparte.-Nouvelles de France. Conférence avec Aubert Dubayet.-L'au teur quitte Constantinople. Livre VII. Chap. premier. L'auteur traverse la Romélie et la Bulgarie. Il arrive à Bucharest. Il apprend la mort de Catherine 11. Il passe la frontière de Gallicie. Chap. II. Plan conçu par l'auteur avec plusieurs patriotes polonais. Il est décidé qu'avant de retourner à Constantinople il doit se rendre à Paris. Chap. III. Lemberg. - Cracc vie. Dresde.-Berlin.-Paris.-Conférence avec le ministre Charles Delacroix. L'auteur est désigné pour aller trouver Bonaparte en Italie. Signature des préliminaires de Léoben. Projet d'une diète de Pologne à Milan. - Chap. IV. Kosciuszko à Hambourg.. L'auteur arrive à Bruxelles. On le sollicite d'aller à Milan. Il s'y refuse. - Traité de Campo-Formio.-Mort de Frédéric-Guillaume 11. Il revient à Paris. Chap. V. Bonaparte à Paris.- Bal de Talleyrand. -Détails sur Bonaparte.-Observations sur l'état de la France. Chap. VI. Expédition des Français en Egypte. L'auteur obtient la permission de rentrer en Prusse. Traité de Lunéville. Mort de l'empereur Paul. L'auteur part pour Pétersbourg. Livre VIII, Chap. I. Présentation de l'auteur à l'empereur Alexandre. Il habite la campagne. - Résumé des événemens qui se sont passés depuis 1802, jusqu'en 1806.- Chap. II. Adresse à la nation polonaise par Napoléon.-Kosciusko refuse de l'accompagner. thousiasme des Polonais.

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En- Campagne de 1806.-Traité de Tilsitt.-Formation du duché de Varsovie. Chap. III. L'auteur obtient la permission d'aller en Italie. - Il arrive à Venise. Il est présenté à Napoléon. Il va à Florence.-La princesse Elisa.-Entrevue d'Alexandre et de Napoléon à Erfurt.

Campagne de 1809. Capitulation de Varsovie. Paix de Schoenbrunn.L'auteur se rend à Paris. Chap. 17. 11 est présenté à Napoléon. Observations sur Paris. Changemens qu'il y

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trouve. - Réunion de souverains dans cette capitale. il retourne à Pétersbourg avec une députation de Wilna à l'empereur Alexandre.-Il est nommé conseiller privé et sénateur. Il retourne à Paris. Chap. V. Accueil que lui fait l'empereur Napoléon. Il est présenté à l'impératrice Marie-Louise. Conduite de Napoléon avec l'ambassadeur de Russie. Tout fait pré

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sumer la guerre. Espérances des PoJonais. Conversation avec Duroc. Conjecture sur la probabilité des chances de la guerre que l'empereur va déclarer à la Russie.

Après avoir lu cette série de chapitres, tous intéressans pour l'histoire, et qui fourniront de nouveaux exemples dur peu de succès de la modération, toujours attribuée à la faiblesse, on est forcé de déplorer le sort de quinze millions de braves, invoquant en vain la justice, demandant à combattre et à mourir pour la patrie, et ne trouvant partout qu'une pitié stérile, un abandon général. La Pologne anéantie et son roi prisonnier. Un grand nombre de Polonais s'était rallié à l'armée française, et combattait dans ses rangs. Ils n'ont perdu l'espérance que lorsque les flammes de Moscou ont dévoré le titre de leur émancipation. Le lecteur recherchera dans l'ouvrage du comte Oginski et dans celui de M. de Ségur quel rôle l'Angleterre a joué dans cette grande tragédie. Il n'a jamais cessé d'être la même depuis la paix qui lui enleva l'Amérique. On voit d'abord le cabinet de Londres soutenir le Stathouder contre les états - généraux. C'est elle qui a déterminé la Prusse à s'armer pour son allié. Elle emploie tout son crédit pour forcer Stanislas à céder des provinces à la Prusse. La Russie s'y oppose, et l'Angleterre porte le Divan à lui déclarer la guerre. Elle arme le roi de Šuède, et rend inutiles les négociations de la France et les efforts de son ministre à Constantinople. Elle voit enfin partager la Pologne avec d'autant plus de plaisir qu'elle es

père en faire une pomme de discorde pour le Continent. Q'ua fait l'Angleterre pour Louis xvi? Si on en croit des historiens dignes de foi, on a rencontré ses agens dans tous nos troubles civils; et si elle déclare la guerre à la république, cè n'est qu'après la défaite des Prussiens et les grandes catastrophes qui en furent la suite. Constante dans sa haine contre la France, elle a employé tous ses moyens et tout son or pour retarder ses progrès et lui susciter partout des ennemis. Unie aux Espagnols contre la France, l'Angleterre combat pour leur indépendance; ils ne l'ont pas plutôt obtenue, quelle les abandonne aux fureurs du fanatisme et du plus affreux despotisme. Un nouvel effort vient - il les en affranchir ? l'Angleterre consent qu'il soit réprimé, pendant qu'elle dépouillera l'Espagne de toutes ses possessions des Indes occidentales, et elle obtient cette fois deux triomphes complets contre les deux gouvernemens qui ont osé contribuer à lui ravir l'Amérique du nord. Ce n'est pas assez, elle s'emparera des troubles qui désolent le Portugal; elle rapportera du Brésil une constitution et la guerre civile, qui menacera l'Espagne; elle dictera ses arrêts. Le Portugal acceptera la constitution. L'Espagne cessera ses armemens et la France observera une neutralité imposée, et, pour comble d'outrage,le ministère anglais se vantera de sa loyauté au milieu des applaudissemens de toute la nation. De tels faits ne sauraient être trop médités.... Pour en revenir à notre sujet et ne parler que de la Pologne, elle reste un exemple éternel de cette vérité. Stanislas est tombé pour l'avoir méconnu. L'ouvrage de M. le comte Oginski ne laisse aucun doute à cet égard. Il est donc fort utile pour les personnes qui s'occupent de la politique actuelle, et c'est sans doute la raison qui le fait rechercher.

Mémoires ou Souvenirs et anec

dotes. Par M. le comte de Ségur, de l'Académie française, pair de France. in-8. avec portr. Chez Eymery. Tome III. 7 fr. 50 c.

Ce volume de 600 pages n'en contient pas une qu'on ne veuille relice; la magie du style et l'importance du sujet agissent puissammeut sur le lecteur et l'entraînent d'une manière irrésistible. Une bonne carte conduit sur les traces de Catherine II dans la Crimée, et l'au teur nous admet dans la confidence de cette souveraine dont le génie a peuplé des déserts, et appelé à la civilisation des peuplades de barbares et de sauvages. Nous ne suivrons pas les illustres voyageurs marchant vers l'Orient au milieu des féeries, des flottes sortant de la mer, des multitudes d'esca drons de cosaques, de tartares accourus des confins de l'Asie, des routes illuminées, des montagnes en feu, des palais enchantés, des jardins crées dans une nuit, des cavernes sauvages, des temples de Diane, des harems délicieux, des tribus nomades, des chameaux et des dromadaires errans dans les déserts, des hospodars de Valachie, des princes du Caucase'détronés,etc.,etc. Il n'en est pas moins vrai qu'à cette époque, ainsi que le disait l'emphatique Diderot, la Russie n'était encore qu'un colosse aux pieds d'argile; mais on a laissé durcir cet argile, et il s'est changé en bronze.

Après avoir reçu les humbles hommages du roi de Pologne, et l'empereur Joseph 11 ayant pris congé, l’impératrice se décida à suivre la route de Moscou pour rentrer en Russie. A Kritschoff, M. de Ségur vit une école tenue par des jésuites, à Tschrikoff, une autre école de juifs, et la rivière de Saja, que traversa Charles XII pour aller faire une autre école à Pultava. « Partout l'impératrice, loin de se borner à des phrases bannales, questionnait avec soin les autorités, les évêques, les propriétaires, les marchands, our

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leur situation, leurs moyens, leurs E voeux et leurs besoins. » C'était ainsi qu'elle se faisait aimer, et qu'elle laissait à la vérité quelque issue pour arriver près d'elle, pour lui découvrir les énormes abus que tant de gens étaient intéressés à lui cacher. « On apprend plus, » disait elle à l'auteur, en parlant à des ignorans, qu'en s'adressant aux savans qui n'ont que des théories. » A cette occasion elle lui raconta l'histoire de M. Mercier de Larivière, ancien intendant de la Martinique, et c'est en faisant allusion à cette anecdote que l'impératrice écrivait à Voltaire : « M. de Larivière est venu ici pour législater, il nous supposait marcher à quatre pattes, et trèspoliment il était venu de la Martinique pour nous dresser sur nos pieds de derrière. A plus de 300 lieues de Pétersbourg la jeunesse d'Orel joua devant l'impératrice, avec autant d'ensemble que d'intelligence, une comédie dans laquelle la louange n'était pas gâtée par la flatterie. » La manufacture d'Armes de Toula fournit des armes toute l'armée russe on y fait des ouvrages en acier qui pourront rivaliser avec ceux des fabriques anglaises. L'auteur parle peu de Moscou, ce nom retrace de trop tristes souvenirs; d'ailleurs c'est aujourd'hui une nouvelle ville, que les voyageurs auront à visiter et à peindre. On lira, page 242, ce que l'auteur raconte du général Miranda; puis les hautes considérations relatives aux troubles de la Hollande et à l'intervention de la Prusse. Personne n'a parlé avec autant de sincérité de cette révolution qui à précédé celle de la France, et qui pouvait, si non l'empêcher au moins la retarder

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et la modifier. L'intérêt de la France était de soutenir les États généraux contre le Stadhouder, dont le dévouement à l'Angleterre était connu. L'An'gleterre humiliée par le traité qui lai enlevait l'Amérique, s'irritait de voir notre influence en Hollande, en Russie

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lin à Constantinople, etc. Le cabinet de Londres trouva le moyen d'irriter Frédéric Guillaume qui se déclara pour le Stadhouder, et envahit rapidement le territoire de la république. Il se fut arrêté, si une seule division de l'armée française se fut avancée de Givet. L'Angleterre fut aussi habile à entraîner le Divan dans la guerre contre la Russie. Personne n'a pu mieux dépeindre que M. de Ségur, la faiblesse

du cabinet de Versailles dans des circonstances aussi graves. Lisez, page 287, l'anecdote relative aux grands moyens qu'employait M. de Brienne pour empêcher Louis xvi de se prononcer, et déplorez le sort d'une puissante monarchie dont le gouvernement est livré à des gens pareils!

M. de Ségur arrive à l'époque du ministère de M. de Calonne. Il aurait fallu, pour empêcher la chute, employer la force d'un génie prudent et vigoureux; un homme d'un esprit fin et léger l'a précipitée. Les parlemens s'insurgèrent les premiers. Louis XVI voulut parler en maître absolu, les parlemens furent exilés. La cour des aides rappela alors ces paroles de Henri iv. « Les voies irrégulières prises par un gouvernement sont des violences qui ne prouvent que la force et non le droit. Dans cette anarchie la cour défendait les abus, la noblesse ses priviléges, et le clergé ses biens et son' argent. Le gouvernement ne pouvait payer ni ses dettes ni même ses dépenses courantes. On ne devinerait jamais quel moyen M. de Ségur aurait employé pour sortir d'embarras : la guerre, oui, la guerre. Mais, timide contre nos ennemis naturels, audacieux contre la nation, le prêtre - ministre combattit par des coups d'état le peuple et les parlemens; il provoqua la convocation des États- généraux qui sonnèrent l'heure de la révolution, Voyez dans l'ouvrage quel était alors l'esprit des peuples de l'Europe. Les craintes des souverains, les espérances de la noblesse et les frayeurs du clergé

devant la philosophie. Au milieu, les Anglais, et toujours les Anglais, dirigeant à leur gré les destinées du monde; et M. Frazer, chargé des affaires de la cour de Londres en Russie, osait dire, avec la franchise de M. Canning, Catherine II qui se plaignait que l'Angleterre avait allumé la guerre contre elle, en Turquie et en Suède : « que voulez-vous, nous avons l'ordre de faire en tout point le contraire de ce que souhaite la France; elle désire la paix entre vous et la Porte, nous excitons les Turcs à la guerre; si la France avait excité la guerre, nous aurions conseillé la paix. »

M. de Ségur parle ensuite avec détail de Gustave 11; il dit comme il fomenta la division entre la noblesse de Suède et les trois autres ordres; comme il créa une disette factice pour accroître le mécontentement du peuple; comme il sut dissimuler, et comme il parvint enfin à renverser la constitution. Il aurait pu faire trembler Catherine II dans Pétersbourg, mais les Suédois refusèrent le service à l'usurpateur des droits du peuple. Sa fermeté l'a retiré depuis des embarras de la guerre; mais rien n'a pu le sauver du poignard vengeur de son usurpation. Après plusieurs démonstrations tout-à-fait curieuses de la constante impéritie du cabinet français et de l'habileté du ministère de Londres, M. de Ségur est amené à peindre les effets des premières étincelles de la révolution en Europe : « Les remontrances des parlemens, leur résistance', celle des notables. Les écrits de M. Necker, les harangues de M. de Malesherbe, les discours de nos académies excitaient partout une approbation, uno admiration presque universelle; un sentiment naturel attirait ces applaudissemens; c'était l'amour d'une sage liberté; mais lorsque celui de l'égalité leva son redoutable niveau, et que les intérêts privés s'entre choquèrent, alors tout changea, et dans chaque pays, les classes élevées qui gouvernaient, sc

trouvèrent ou se crurent dans une sorte d'état de guerre avec les peuples. « Telle fut la cause de ces longs orages, à peine calmés aujourd'hui, arrivés à cette hau. teur. Etait-il possible de les éloigner, et peut-on désigner avec justice ceux qui les ont excités et grossis par leurs ardentes passions, ou par leur imprudente résistance? C'est ce que la passion affirme et ce que la raison nie. Arrive le 14 juillet. A la cour de Petersbourg l'agitation fut vive, à la ville l'effet fut tout contraire, et quoique la bastille ne fut assurément menaçante pour aucun russe, on ne saurait exprimer l'enthousiasme qui existait parmi les négocians, les marchands, les bourgeois et quelques jeunes gens d'une classe plus élevée. La chûte de cette prison d'état et ce premier triomphe de la liberté semblaieut appartenir en commun aux français, aux russes, aux danois, aux allemands, aux anglais, aux hollandais; tous, dans les rues se félicitaient, s'embrassaient, comme si on les eut délivrés d'une chaîne trop lourde qui pesait sur eux.

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Le 4 août, la noblesse avait renoncé à ses prétendus droits, et à tous ses priviléges, et quelques jours après on apprit, dans les deux mondes, que le régime féodal était aboli. Le 14 juillet pouvait être regardé comme une révolution passagère; mais le 4 août était un ordre nouveau qui s'établissait sur les débris de l'ancien. Que de dissensions, que de combats, que d'orages n'étaient pas amoncelés par ce prompt triomphe de l'égalité sur une fière et antique aristocratie; le siècle, les lumières, la raison même l'exigeaient peut être; mais les passions s'y opposaient, elles allaient probablement chercher des soutiens, des alliés et des armées dans toute l'Europe.

Le desir de revoir sa patrie, à laquelle la liberté semblait sourire, hâta le départ de M. de Ségur. Il arrive à Vienne; il voit l'empereur Joseph 11, c'était après les 5 et 6 octobre; il prie l'empereur de le charger d'une lettre

pour la reine; Joseph lui fait envisager un danger personnel; il demande alors quels étaient les avis qu'un frère adressait à sa sœur, « Eh! quels conseils voulez-vous que je leur donne, répondit l'empereur, lorsque je les vois entourés de gens qui leur persuadent qu'avec un régiment, une compagnie de gardes-du-corps, quelques acclamations et des cocardes arborées au milieu d'une orgie on peut arrêter et anéantir la révolution? »Enfin M. de Ségur arrive en France. Pendant cinq ans d'absence, dit-il, et à huit cents lieues de mon pays, je ne pouvais me faire une idée des changemens extraordinaires que venaient d'éprouver en peu d'années nos caractères, nos esprits et nos mœurs, Sur ma route même, avant de parler à personue, j'éprouvais une vive surprise; les bourgeois, les paysans, les ouvriers, les femmes mêmes me montraient dans leur maintien, dans leurs gestes, et surtout leurs traits quelque chose de vif, de fier, d'indépendant et d'animé que je ne leur avais jamais connu.

Rendu à sa famille, l'auteur nous fait partager ses impressions au milieu de ses amis; il nous admet aux confidences des Lafayette, des Lameth, etc. Il vit aussi la reine et Louis xvI. On lira avec bien de l'intérêt ce que cette princesse lui dit des causes et de l'origine de la révolution, « Rien n'avait pu me faire perdre le souvenir de l'état où j'avais laissé la France »> continue M. de Ségur, aussi ce ne fut pas sans étonnement que je vis pour la première fois, en public et au sein d'une auguste assemblée, les cardinaux, les évêques, les curés, les généraux, les officiers, les grands, les nobles, les magistrats, les légistes, et enfin ce que nous appellerons les bourgeois confondus ensembles et assis pêle-mêle sur les mêmes bancs, sans aucune distinction de rang. Mais après ce court instant de surprise, je tombai dans un autre étonnement, celui de voir que ce spectacle ne suffisait pas pour ouvrir les yeux des par

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tisans de l'ancien régime. Ce n'était pourtant plus un vain mot d'égalité qui retentissait à leurs oreilles ; c'était l'égalité elle-même et vivante qui frappait leurs regards. Cependant ils dontaient, et doutent peut être encore de son existence. La déférence la plus notable qui existe entre eux et ceux dont je partage l'opinion, c'est que nous voyons la révolution irrévocablement faite, tandis qu'eux pensent qu'elle ne l'est pas définitivement; ils oubliert qu'on peut quelquefois abolir ce qui n'est écrit que dans les lois, mais non ce qui est une fois gravé dans les

mœurs. D

Nous en avons dit assez pour mettre le lecteur en état d'apprécier l'ouvrage de M. de Ségur. Nous soupirons avec le public après le moment où paraîtra la seconde partie de ses Mémoires; l'instant que paraît redouter l'auteur est encore bien éloigné, à en juger par ce que nous possédons. Nous faisons cependant des vœux bien sincères pour que Gilblas ne vienne jamais lui soufler à l'oreille le compliment si mal reçu par l'archevêque de Grenade. On s'arrache, on dévore ce troisième volume; son succès est complet.

Collection des chroniques nationales françaises, écrites en langue vulgaire du xì' au xv1° siècle. Par J. B. Buchon. in-8. Chez Verdière. Tomes XI et XII. Prix de chaque volume, 6 fr.; papier vélin, 12 fr.

La collection aura 60 volumes.

Chapelle ducale de Nanci, ou Notice historique sur les ducs de Lorraine, leurs tombeaux, etc. Par le vicomte de Villeneuve Bargemont. in-8. Nanci. Paris. chez Blaise.

Résumé de l'histoire des Juifs anciens. Par Léon Haley, in-18.

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