Annales de philosophie chrétienne, Volume 11Roger et Chernoviz, 1835 |
Inhoudsopgave
287 | |
305 | |
313 | |
321 | |
356 | |
365 | |
372 | |
375 | |
141 | |
157 | |
179 | |
188 | |
202 | |
214 | |
220 | |
261 | |
276 | |
377 | |
389 | |
395 | |
401 | |
411 | |
425 | |
444 | |
465 | |
471 | |
Overige edities - Alles bekijken
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
abonnés anciens Annales antique apôtres article auteurs avaient avons Babylone babylonienne bas-relief Bazard Bérose bétyle briques Camulogène catholique Chaldéens chose chrétienne Christianisme Cité cœur connaître croyances Ctésias culte d'Enfantin d'Hal décrétales destiné Dieu dieux différens divin doctrine donner Dupaix écrivains église égyptienne élevé enfans Enfantin femme figure flamines forme François de Sales Globe Grecs hébreu Hérodote hieroglyphes Histoire hommes Horapollon humaine Ibid idées jeune jour l'abbé l'Eglise l'histoire l'homme lettres livres long-tems main ment Michel Chevalier monde monumens monument morale mort nombre Olinde Rodrigues ouvrage papes Paravey parler Pascal pensée père peuples philosophie pieds pierre Plut pontife premier prêtres principe publié Raoul-Rochette religieux religion reste révélation Rodrigues Romains Rome ruines sacrés saint Saint-Onuphre Saint-Simon Saint-Simoniens savans science sculptée sera serfs Sésostris seulement siècle sorte St.-Simoniens St.-Simonisme statue Ste.-Marie suivant Tasse temple tems tête tête humaine tion Tit.-Liv Traité travaux trouve vérité vestale volume Xochicalco
Populaire passages
Pagina 19 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Pagina 19 - Je puis bien concevoir un homme, sans mains, sans pieds ; et je le concevrais même sans tête , si l'expérience ne m'apprenait que c'est par là qu'il pense. C'est donc la pensée qui fait l'être de l'homme, et sans quoi on ne peut le concevoir.
Pagina 248 - Toutes les institutions sociales doivent avoir pour but l'amélioration du sort moral, physique et intellectuel de la classe la plus nombreuse et la plus pauvre".
Pagina 324 - Dieu est tout ce qui est; tout est en lui, tout est par lui. « Nul de nous n'est hors de lui, mais aucun de nous n'est en lui. « Chacun de nous vit de sa vie, et tous nous communions en lui, car il est tout ce qui est.
Pagina 15 - C'est une chose admirable que jamais auteur canonique ne s'est servi de la nature pour prouver Dieu*. Tous tendent à le faire croire : David, Salomon , etc. , jamais n'ont dit : Il n'ya point de vide, donc il ya un Dieu.
Pagina 20 - La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C'est donc être misérable que de se connaître misérable; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable. Toutes ces misères-là mêmes prouvent sa grandeur. Ce sont misères de grand seigneur, misères d'un roi dépossédé.
Pagina 194 - Le grand mouvement de la croisade ayant un instant tiré les hommes de la servitude locale , les ayant menés au grand air par l'Europe et l'Asie, ils cherchèrent Jérusalem et rencontrèrent la liberté. Cette trompette libératrice de l'archange qu'on avait cru entendre en l'an 1000, elle sonna un siècle plus tard dans la prédication de la croisade.
Pagina 291 - Tu, magnanimo Alfonso, il qual ritogli Al furor di fortuna, e guidi in porto Me peregrino errante, e fra gli scogli E fra l'onde agitato e quasi absorto, Queste mie carte in lieta fronte accogli, Che quasi in voto a te sacrate i
Pagina 20 - Nous avons une si grande idée de l'âme de l'homme, que nous ne pouvons souffrir d'en être méprisés , et de n'être pas dans l'estime d'une âme ; et toute la félicité des hommes consiste dans cette estime.
Pagina 12 - S'il ya un Dieu, il est infiniment incompréhensible, puisque, n'ayant ni parties ni bornes, il n'a nul rapport à nous. Nous sommes donc incapables de connaître ni ce qu'il est, ni s'il est.