Novos annaes das sciencias e das artes, Nummer 1

Voorkant
C. Farcy., 1827

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Populaire passages

Pagina 177 - Aveugle , il mendiait , au prix de son génie , tin pain mouillé de pleurs. Là, le Tasse , brûlé d'une flamme fatale , Expiant dans les fers sa gloire et son amour , Quand il va recueillir la palme triomphale , Descend au noir séjour.
Pagina 175 - Le stérile repos dont son cœur est jaloux: Les dieux ont fait pour lui tous les biens de la terre; Mais la lyre est à nous. Les siècles sont à toi , le monde est ta patrie. Quand nous ne sommes plus , notre ombre a des autels Où le juste avenir prépare à ton génie Des honneurs immortels. Ainsi l'aigle superbe au séjour du tonnerre S'élance , et , soutenant son vol audacieux , Semble dire aux mortels : Je suis né sur la terre, Mais je vis dans les cieux.
Pagina 177 - Expiant dans les fers sa gloire et son amour, Quand il va recueillir la palme triomphale, Descend au noir séjour. Partout des malheureux, des proscrits, des victimes, Luttant contre le sort ou contre les bourreaux ; On dirait que le ciel aux cœurs plus magnanimes Mesure plus de maux. Impose donc silence aux plaintes de ta lyre : Des cœurs nés sans vertu l'infortune est l'écueil; Mais toi, roi détrôné, que ton malheur t'inspire...
Pagina 137 - Oh ! sabem d'esses olhos Languido-azues umas suaves chammas, Um quasi effluvio d'alma, que transpira Que vem do coração, que doce mana, E o ar, eo peito que o respira, imbebe.
Pagina 144 - Nem ha padrão erguido por mãos d'homens, D'alto custo e lavor, que outra recorde Epocha tal aos seculos e edades.
Pagina 175 - L'un conduit au bonheur, l'autre mène à la gloire; Mortels, il faut choisir. Ton sort, ô Manoël, suivit la loi commune ; La muse t'enivra de précoces faveurs, Tes jours furent tissus de gloire et d'infortune, Et tu verses des pleurs ! Rougis plutôt, rougis d'envier au vulgaire Le stérile repos dont son cœur est jaloux...
Pagina 177 - Ici c'est ce vieillard que l'ingrate lonie A vu de mers en mers promener ses malheurs : Aveugle, il mendiait au prix de son génie Un pain mouillé de pleurs. Là le Tasse , brûlé d'une flamme fatale , Expiant...
Pagina 139 - Branca suspira, e incara o dóctor; A fradalhada ri; Gilvaz redobra De enthusiasmo; o confessor declama; E em gritaria tal ninguem se intende. Quando um leigo a correr esbaforido Vem a gritar : 'Misericordia ! acudam . . . Misericordia! Moiros no convento.
Pagina 142 - Tamisa passeiando? Ves? na mimosa face alva de neve Transparecem-lhe as rosas, um suspiro Concentrado no intimo do peito Lhe anceia o coração : talvez a morte Lhe cerceou -dos gosos da existencia A amizade, ou amor n'um caro objecto. Magoada., mas sem lagrymas...
Pagina 141 - Escrupulos, adrede fomentados Por ignorancia interesseira e baixa, Quanta victima cega hão conduzido Ao altar profanado de holocaustos Tam sanguinarios, crus ! A patria, amigos, Casa paterna, maternaes caricias, Doces...

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