Un caractère moral s'attache aux scènes de l'automne ; ces feuilles qui tombent comme nos ans, ces fleurs qui se fanent comme nos heures, ces nuages qui fuient comme nos illusions, cette lumière qui s'affaiblit comme notre intelligence, ce soleil qui... Revue de psychiatrie - Pagina 561901Volledige weergave - Over dit boek
| Maurice Tourneux - 1900 - 714 pagina’s
...heures, ces nuages qui fuient comme nos illusions. « Je voyais avec un indicible plaisir le revenir de la saison des tempêtes, le passage des cygnes et des ramiers, le rassemblement des corneilles en noirs bataillons dans la prairie de l'étang et leur perchée à l'entrée de la nuit sur les plus... | |
| 1903 - 934 pagina’s
...m'arrêtais pour contempler cet homme né parmi les gerbes où il devait être moissonné. (P. i56.) Je voyais avec un plaisir indicible le retour de la saison des tempetes, le passage des cygnes et des ramiers, le rassemblement des corneilles dans la prairie de... | |
| 1906 - 404 pagina’s
...avec moi ; le temps des frimas, en rendant les communications moins faciles, isole les habitants des campagnes ; on se sent mieux à l'abri des hommes....perchée à l'entrée de la nuit sur les plus hauts chônes du grand Mail. Lorsque le soir élevait une vapeur bleuâtre au carrefour des forêts, que... | |
| 1910 - 828 pagina’s
...— Est-ce assez le sentiment que Rousseau éprouvait et qu'il recherchait dans la solitude ? — « Un « caractère moral s'attache aux scènes de l'automne...tempêtes, le passage des cygnes et des ramiers, le rassemble« ment des corneilles dans la prairie de l'étang, et leur perchée à « l'entrée de la... | |
| Régis Michuad - 1910 - 456 pagina’s
...illusions, cette lumière qui s'affaiblit comme notre intelligence, ce soleil qui se refroidit comme 30 nos amours, ces fleuves qui se glacent comme notre...l'étang, et leur perchée à l'entrée de la nuit sur les 35 plus hauts chênes du grand Mail. Lorsque le soir élevait une vapeur bleuâtre au carrefour des... | |
| Émile Faguet - 1911 - 330 pagina’s
...l'âpreté est bien marquée par ce mot sec et brusque : « à la façon d'une joie subite » . L'automne. Je voyais avec un plaisir indicible le retour de la...l'étang et leur perchée à l'entrée de la nuit sur les hauts chênes du mail. Lorsque le soir élevait une vapeur bleuâtre au carrefour des forêts, que... | |
| G. Mera - 1913 - 100 pagina’s
...rapports secrets avec nos destinées. » Parfois la nature est invoquée comme une délivrance. « Je voyais avec un plaisir indicible le retour de la saison des tempêtes Comme Ismen sur les remparts de Jérusalem, j'appelais la foudre, j'espérais qu'elle m'apporterait... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1923 - 654 pagina’s
...amours, ces fleuves qui se glacent comme notre vie, ont des rapports secrets avec nos destinées3. Je voyais avec un plaisir indicible le retour de la saison des tempêtes4, le passage des cygnes et des ramiers, le rassemblement des corneilles dans la prairie de... | |
| Michel Brix - 1999 - 308 pagina’s
...comme notre vie, ont des rapports secrets avec nos destinées. / Je voyais avec un plaisir indicihle le retour de la saison des tempêtes, le passage des cygnes et des ramiers, le rassemhlement des corneilles dans la prairie de l'étang, et leur perchée à l'entrée de la nuit... | |
| 164 pagina’s
...l'âpreté est bien marquée par ce mot sec et brusque : " à la façon d'une joie subite." L'automne. Je voyais avec un plaisir indicible le retour de la...l'étang et leur perchée à l'entrée de la nuit sur les hauts chênes du mail. Lorsque le soir élevait une vapeur bleuâtre au carrefour des forêts, que... | |
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