abondance et sa minutie. South. énergie. Comparaison des prédicateurs en France et en Angleterre. 64 VI. La théologie. - Comparaison de l'apologétique en France et en Angleterre. Sherlock, Stillingfleet, Clarke. La théologie n'est pas spéculative, mais morale. Les plus grands esprits se rangent du côté du christianisme. puissance de la philosophie spéculative. - Berkeley, Newton, Locke, Hume, Reid.-Développement de la philosophie morale. Smith Butler, Price, Hutcheson. La constitution. reconnue. Im Le sentiment du droit. Traité du gouvernement, par Locke. La théorie du droit personnel est Comment le tempérament, l'orgueil et l'intérêt La théorie du droit personnel est appliquée. Comment les élections, les journaux, les tribunaux la mettent en pratique. La tribune. Energie et rudesse de cette éloquence. morale. Comparaison des portraits de Reynold et de ceux de Lely. Doctrines et tendances contraires en France et en Angleterre. Les révolutionnaires et les conservateurs. Jugement de Burke et du peuple anglais sur la Révolution française. II. L'homme. - Son éducation et sa culture. . . . 109 Ses vers latins. Son Epitre à lord Ses Remarques sur l'Italie. - Son Dialogue sur les douceur et sa bonté.- Ses succès et son bonheur. . . . . 118 Ses études solides et son obser Sa connaissance des hommes et sa pratique - Noblesse de son caractère et de sa conduite. - - Élévation de sa morale et de sa religion. Comment sa vie et son caractère ont contribué à l'agrément et à l'utilité vie grossière, sensuelle ou mondaine. Cette morale est pra- tique, et partant banale et décousue. - Comment elle s'appuie la satisfaction en ce monde, et le bonheur dans l'autre. Mesquinerie spéculative de sa conception religieuse. - Excel- V. L'écrivain. — Conciliation de la morale et de l'élégance. Quel style convient aux gens du monde. - Mérites de ce style. Inconvénients de ce style. Addison critique. Son ju- gement sur le Paradis perdu. Accord de son art et de sa critique. Limites de la critique et de l'art classiques. VI. La plaisanterie grave. L'humour. L'imagination sé- rieuse et féconde. Sir Rogers de Coverley. Le sentiment susceptibilité. Sa vie chez sir W. Temple. Chez lord II. Son esprit. Sa puissance et ses limites. L'esprit pro- - - - - Comment il est situé entre la vulga- IV. Le poëte. Comparaison de Swift et de Voltaire. Sérieux et dureté de ses badinages. galanterie. Bickerstaff. Rudesse de sa Cadenus et Vanessa. Sa poésie prosaïque et réaliste. La grande question débattue. - Énergie et tristesse Vers sur sa propre mort. A quels de ses petits poëmes. -- excès il aboutit . . . V. Le conteur et le philosophe. Le Conte du Tonneau. Son jugement sur la religion, la science, la philosophie et la raison. - Comment il diffame l'intelligence humaine. Les Voyages de Gulliver. - Son jugement sur la société, le gouvernement, les conditions et les professions. — Comment il diffame la nature humaine. Derniers pamphlets. struction de son caractère et de son génie. Son énergie, son dévouement, son Son esprit. Différence des réalistes an ciens et des réalistes modernes. dés. Son but. Robinson Crusoé. Sa fougue intérieure. Sa volonté obstinée. Sa patience au travail. Son bon sens méthodique. Ses agitations religieuses. Sa piété finale. . . . .. 277 III. Circonstances qui font naître le roman du dix-huitième siècle. Tous ces romans sont des fictions morales et des études de caractères. Liaison du roman et de l'essai. - Deux idées principales en morale. Comment elles suscitent deux classes IV. Richardson. Sa condition et son caractère. sa perspicacité et de son rigorisme. ses combinaisons. en Angleterre. Lovelace. Le caractère orgueilleux et mi Sa pédanterie, ses scrupules. Inconvénients des héros automates et V. Fielding. Son tempérament, son caractère et sa vie. Joseph Andrews. Sa conception de la nature. 304 Tom Jones. . 318 - Sa conception de la vie. Dureté de ses héros. Crudité de ses peintures. Relief Etude excessive des particularités humaines. Caractère de Sterne. Son excentricité. Sa sensibilité. Ses gravelures. Pourquoi il peint les maladies et les dégénérescences de la nature humaine. . . VIII. Goldsmith. 336 Épuration du roman. Peinture de la vie bourgeoise, du bonheur honnête et de la vertu protestante. L'ecclésiastique anglais. SaSa personne. Ses façons. Le ministre de Wakefield. muel Johnson. - Son autorité. Son jugement sur Voltaire et Son style. Ses œuvres. Hogarth. Sa pein Contraste du tempérament anglais 345 I. Domination et domaine de l'esprit classique. ses œuvres, sa portée et ses limites. Sa personne. Médiocrité de ses pas Grandeur de sa vanité et de son ta Sa fortune indépendante et son travail assidu. . 366 LITT. ANGL. III- 43 deviennent les pas que La Boucle de cheveux enle III. L'Epitre d'Héloïse à Abeilard. Ce sions dans la poésie artificielle. vée. Le monde et le langage du monde en France et en Angleterre. En quoi le badinage de Pope est pénible et déplaisant. La Sottisiade. Saletés et banalités. - En quoi l'imagination anglaise et l'esprit de salon sont inconciliables. IV. Son talent descriptif. Son talent oratoire. didactiques. prit classique. optimisme. . . 371 Ses poëmes Pourquoi ces poëmes sont l'œuvre finale de l'esL'Essai sur l'homme. Son déisme et son Valeur de ces conceptions. Comment elles - sont liées au style régnant. sous les mains de Pope. Comment elles se déforment Procédés et perfection de son style. Excellence de ses portraits. — Pourquoi ils sont supérieurs. Sa traduction de l'Iliade. En quoi le goût a changé depuis un siècle. . . 381 V. Disproportion de l'esprit anglais et des bienséances classiques. Prior. Gay. La pastorale antique est impossible dans les climats du Nord. Le sentiment de la campagne est naturel en Angleterre. - Thompson. .. .. 395 Apparition de l'homme senPourquoi le retour à la nature est plus précoce en Angleterre qu'en France. Sterne. Richardson. Mac - kensie. Macpherson. Gray, Akenside, Beattie, Collins, Young, Shenstone. Persistance de la forme classique. Empire de la période. Johnson. L'école historique. 405 |