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e dintorni in documenti contemporanei a questo con un Πασήμις Πετεχῶντος (155° ο 144 P. Meyer Ostr. 58.) e con un II. Ilάoitos ad Hermonthis (112a P. Meyer Ostr. 43); inoltre a Pathyris c'è una yn llaonμos secondo 109 B.G.U. 995 III 4-5; secondo 102a P. Grenf. II, 29. un Παῆρις Πασήμιος fa un mutuo in Pathyris a Πετεαρεμoεús; cfr. anche Wilck. Ostr. 1189 Il, da Tebe.

3

(7) Ilaveρev[..]s non credo ci sia da dubitare che si tratti di un nome proprio, benchè io non abbia trovato esempî simili : cfr. solo un Ilavepes (nominativo) IIP P. Lond. 899, (III, p. 208); e Ilave[... in 250-249a P.S.I., 368, (Philadelphia). Forse qui era llavepeut[0]s.

(7) Nexoúτns: codesto nome è caratteristico della Tebaide, e non si trova probabilmente altrove; inoltre appare finora esclusivo della età Tolemaica (l'unico esempio del 109 d. Cr. è nella stele di Pathyris edita in Archiv, II, p. 439, n° 44)(); Pathyris poi ha una tradizione di nomi cosiffatti durante alcuni decennî; li dispongo in ordine cronologico: 165a (circa) P. Giss. 3613; 37 II 13: Nexoúons ПlaTouTOS, che è forse lo stesso di 127-6a Wilck. Ostr. 1621, 1622; circa la stessa età è anche in P. Giss. 10811-12 un Nexoúons ETIOτάτηs di Pathyris. Νερούθης επιστάτης Seguono 129a P. Grenf. I, 1910-12 Nexoúτns di Pathyris; 118 Pr. S. 51052 : Νεχούτης ὃς καὶ Εὔνομος ПlatσεO~(TOS); 114a P. Grenf. I, 2515 : Zevooũxos f. di Νεχούτης; 113 P. Lond. 1204, (III, p. 11) : ἆρος f. di Nexoúτns; 111a P. Lond. 2182,15 (II, p. 15-16): Νεχούτης Πετεαρσ[ ] Πέρσης τ. προσγρ.; 1 1 0 P. Grenf. II, 223,6: YεVOWτns f. di Nexoútns; 109a P. Grenf. I, 29 Πατῆς f. di Νεχούτης, Πέρσης; 105 P. Grenf. II, 24 : Ψεμμενχῆς; f. di Νεχούδης; 1 0 4-3 P. Grenf. I, 31316 : Νεχούτης, 104-3 P. Lips. 104, : Πανεβχοῦνις, f. di Νεχούτης; 103 B.G.U. 997 II, : Νεχούτης Πανεχά TOU=101-100 B.G.U. 998 Is; II5; 101a P. Lond. 882 (III, 1, p. 14) : Πετεαρσεμθεὺς f. di Νεχούτης; 99-8 B.G.U.

III 8

6

a

a

89

(1) Nel Fayûm III P. Petrie III 46 (1), trovo un NexúOns ZeμØléws.

4,10

999 14 10 : Εὔνους ὃς καὶ Νεχούτης Πατσεοῦς Πέρσης τ. ἐπ. di 5o anni; 98" P. Grenf. II, 35 4,6,10 : Νεχούτης Σχώτου 98a τοῦ Φιμήνιος ἱερεὺς Σούχου και Αφροδίτης di 55 anni; 89" P. Lond. 1209.7 (III, p. 20-21) : Νεχούτης Πετεαρσεμθέως Πέρσης τ. ἐπ. di anni 35. Ε uscendo da Pathyris troviamo a Crocodilopoli delle Tebaide (che pure fu unita a Pathyris) un Νεχούθης Σαραπίωνος in 99" Pr. S. 428 1g. In altri luoghi esclusivamente della Tebaide compare questo nome secondo i papiri : IIa P. Grenf. I, 44[2]6; 134a Wilck. Ostr. 1150; 100a P. Lond. 67610 (III, p. 15).

(8) τοῦ τους : cfr. 107 P. Strassb. 871 : ἆρου τοῦ τοῦ προγεγραμμένου Πατῆτος πρεσβ. υἱοῦ, dove il testo

è esatto.

a

(8-9) Per la lettura κατὰ ἴσης τρ. μερίδα mi sono servito degli esempi 107" P. Grenf. II, 23 4 10. : ἐπρίατο Πετεαρσεμθεύς ecc. καὶ οἱ τούτου ἀδελφοί, ἑκάτερος κατὰ τὸ ἴσον μέρος χαλκοῦ (ταλάντων) ἐννέα.

(10) È la formula consueta della garanzia per l'evizione: cfr. MITTEIS, Grundz., p. 188-189; MODICA, Introd., p. 141 e seg

QUELQUES REMARQUES

SUR LA SYNTAXE ÉGYPTIENNE,

PAR

M. W. GOLÉNISCHEFF.

Malgré un siècle déjà écoulé, depuis que la géniale découverte de Champollion nous a entrouvert la porte de l'étude des textes égyptiens, et malgré les efforts incessants que les disciples de l'immortel fondateur de l'Égyptologie ont faits, à sa suite, pour pénétrer les mystères de la langue égyptienne, il y a encore dans la grammaire de cette langue pas mal de points qui restent peu clairs et qui jusqu'à ce jour n'ont pu être expliqués d'une manière satisfaisante. C'est surtout la syntaxe égyptienne qui n'a pas suffisamment attiré l'attention des égyptologues, et c'est sur ce domaine que s'est peut-être le plus manifestée l'influence néfaste de l'école égyptologique qui a pris à tâche de démontrer que la langue égyptienne était une langue sémitique et que les règles de grammaire des langues sémitiques pouvaient naturellement lui être appliquées. Et pourtant, si les quelques points de ressemblance, qui réellement existent entre l'égyptien et les langues sémitiques, sont tout au plus suffisants pour nous amener à reconnaître que l'égyptien ait pu provenir de la même langue mère que celle qui, sans doute beaucoup plus tard, a aussi donné jour aux langues sémitiques, combien grandes sont, toutefois, les différences entre l'égyptien et les autres descendants de cette langue proto-sémitique, dans laquelle bien des traits saillants des langues sémitiques n'ont pas dû encore s'être stabilisés au

moment où la langue égyptienne est allée s'isoler, en gardant dans sa composition beaucoup de traits excessivement primitifs, qui ne se retrouvent plus ailleurs. Parmi ces particularités, il faut, en premier lieu, citer la présence dans la langue égyptienne de nombreuses racines d'une ou de deux syllabes et l'absence de système strictement trilitère, qui est si caractéristique des langues sémitiques, et que l'école allemande veut, contre toute évidence, retrouver dans l'ancien égyptien.

Ensuite, il faut relever les deux formes les plus usuelles du verbe égyptien, dans lesquelles la réunion d'une racine verbale avec son sujet se fait absolument de la même façon qu'elle se produit dans la combinaison entre un substantif et le génitif qui lui est annexé : dans les deux cas, ou bien les deux éléments constituants se suivent de près, ou bien la particule est introduite entre eux. Il y a un tel archaïsme dans la structure de ces formes verbales, avec leurs racines verbales qui ressemblent à s'y méprendre aux racines formant des substantifs, qu'il est véritablement difficile de concevoir comment on a pu arriver à donner à ces formes le nom de nouvelles flexions", tandis qu'on assignait le nom d'e ancienne flexion à une forme du verbe qui, au fond, n'est qu'un participe et qui ne peut pas s'employer à l'instar des autres formes verbales pour désigner les modes personnels. Dans cette malheureuse question, c'est encore le sémitisme à outrance, avec lequel on a voulu traiter la grammaire égyptienne, qui a joué un rôle fatal, car rien, absolument rien, dans les inscriptions égyptiennes les plus anciennes, n'indique que les formes verbales, consistant de la racine suivie du sujet, aient fait leur apparition plus tard que d'autres formes réputées sans raison comme plus anciennes : c'est uniquement par des considérations erronées, tirées d'une prémisse vraie en elle-même, que l'on est arrivé à admettre cette classification en tous points fausse, mais bien conforme à l'idée préconçue sur le sémitisme de la langue égyptienne.

Si grâce à la brillante étude du professeur Erman qui,

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