 Je meurs de peur que la petite perfone n'ait commis la même faute avec moi ; & cependant elle me doit bien autant d'égards que votre petite amie vous en doit. Ne le penfez-vous pas ? EMILIE. Mais vous ne caufiez pas tout bas , ma chere Maman , vous...  Les conversations d'Émilie ... - Pagina 368door Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1781Volledige weergave - Over dit boek
 | Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1788 - 570 pagina’s
...faute contre la polit* difcrction ? . • EMI LIE. Sans doute, maman. LA ME B. E, Je meurs de peur que perfone n'ait commis la même faute avec moi; & cependant...caufiez pas tout bas, ma chere maman , vous écriviez. LA MERE. C'eft-à-dire, que je caufais tout bas avec un abfent. L'écriture eu la converfation avec... | |
 | Épinay (Mme d'.) - 1804 - 374 pagina’s
..., maman. LA MERE. Je meurs de peur que la petite personne n'ait commis la même faute avec moi ; et cependant elle me doit bien autant d'égards que votre petite amie vous en doit. Ne le pensez-vous pas ? EMILIE. Mais vous ne causiez pas tout bas , ma chere maman , vous écriviez. LA MERE.... | |
 | 1781 - 746 pagina’s
...politeflc & la dilcrélion ? EMILIE. Sans doute , Maman. LA MERE. Je meurs de peur que la petite perfonne n'ait commis la même faute avec moi; & cependant...d'égards que votre petite amie vous en doit. Ne le penfcz-vous pas ? EMILIE. Mais vous ne caufiez pas tout bas , ma chère Maman , vous écriviez. LA... | |
| |
