Histoire des Chevaliers Malte,Chez Louis Janet, libraire-éditeur, Rue Saint-Jacques, N°.59., 1819 |
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Alexis Amaulry Antioche armée armes Ascalon assiégea avoient avoit barbares bataille Baudouin Baudouin III Boëmond calife chef chevaliers Chré chrétiens Latins Chypre comté d'Édesse comte de Tripoli concile conquête Conrard Constantinople Corasmins courage couronne Courtenay croisade croisés croix d'Acre d'Angleterre d'Ascalon DESMOU devoit différens empereur enfans ennemis épouse ERMENGAR DAPS États étoient étoit eûssent évêques faisoient faisoit fille firent Fréderic frère garnison GEOFFROY Godefroy Grand-Maître des Hospitaliers Grecs GUÉRIN guerre Guy de Lusignan habitans Hugues ibid infidèles Jaffa Jean de Brienne Jérusalem l'église l'empereur l'Ordre légat liers maison maître même-temps mille hommes MONTAIGU mort n'avoit nation Noradin Ordres militaires Palestine Pape passer patriarche pélerins pitaliers place plupart pontife pouvoit princesse principauté principauté d'Antioche prisonniers reine religieux religion royaume royaume de Jérusalem s'étoient s'étoit Saint Saint-Jean Saladin Sarrasins secours seigneurs seroit siége soldats soudan soudan d'Égypte souverain sultan Templiers Terre-Sainte tête tion tître trève troupes Turcomans venoit zèle
Populaire passages
Pagina 136 - Une parole insolente, un ris immodéré, le moindre murmure ne demeure point sans une sévère correction. Ils détestent les jeux de hasard, ils ne se permettent ni la chasse ni les visites inutiles ; ils rejettent avec horreur les spectacles, les bouffons, les discours ou les chansons trop libres ; ils se baignent rarement, sont pour l'ordinaire négligés, le visage brûlé des ardeurs du soleil, et le regard fier et sévère.
Pagina 1 - Verlot, d'abord hospitalier , devenu militaire et depuis souverain, que la charité fit naître , que le zèle de défendre les lieux saints arma ensuite contre les infidèles , et qui , dans le tumulte des armes, et au milieu d'une guerre continuelle , sut allier les vertus paisibles de la religion avec la plus haute valeur dans les combats, fut institue' vers la fin du douzième siècle.
Pagina 52 - Les Hospitaliers et les Hospitalières, par son conseil, et à son exemple, renoncèrent au siècle, prirent l'habit régulier, qui...
Pagina 136 - ... parure ; ils s'en servent avec » courage dans les plus grands périls, sans craindre » ni le nombre ni la force des barbares. Toute » leur confiance est dans le Dieu des armées, et, » en combattant pour sa cause, ils cherchent une » victoire certaine ou une mort sainte et honorable.
Pagina 216 - Saint-Sépulcre, comme une espèce d'investiture , ou du moins comme des gages du droit de protection qu'il devoit acquérir par ses armes. Le roi reçut honorablement le patriarche et le Grand-Maître, et leur donna le baiser de paix (i ), dit Rigord : il ordonna, en même temps, à tous les prélats de son royaume d'exhorter ses sujets à prendre la croix. Il la vouloit prendre luimême...
Pagina 33 - Les lois saliques , bourguignones et wisigothes furent donc extrêmement négligées à la fin de la seconde race; et, au commencement de la troisième, on n'en entendit presque plus.
Pagina 18 - ... de l'un et de l'autre sexe, sains et malades : ce qui étoit le principal objet de cet établissement ; et chaque hospice eut, dans la suite, sa chapelle, l'une consacrée sous l'invocation de Saint-Jean l'aumônier , et l'autre dédiée en l'honneur de SainteMagdeleine.
Pagina 445 - On réduisit ensuite ces commanderies sous différons prieurés. Le prieur étoit chargé d'en faire la visite, et d'envoyer à la Terre-Sainte, en troupes ou en argent, les contributions ordinaires de chaque commanderie de son prieuré...
Pagina 13 - Je né parle point des isles de Chypre, de Rhodes , de Candie , de Sicile , de Malte , et du Goze , qu'ils ravagèrent , ou dont ils se rendirent maîtres; non plus que des Espagnes, où les Arabes, dès le commencement du huitième siècle , fondèrent un nouvel empire sur les ruines de la monarchie des Goths. De grandes provinces de la France , situées au-delà...
Pagina 467 - Grand -Maître des Templiers , Capitaine qui avoit vieilli dans le commandement des armées. Le besoin de l'État, véritable interprète du mérite, lui fit déférer le commandement , du consentement même du roi de Chypre, qui, dans une conjoncture si importante et si pleine de périls, voulut bien oublier la qualité, qu'il affectoit toujours, de roi de Jérusalem. (i) Ghron.