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CHATELLENIE DES BASSES MARCHES.

Messieurs,

Preveraud de l'Aubepierre.

Le Baron d'Estrées.

De Miomandre.

Le comte de Viry, fondé de pouvoir de M. l'Abbé de Chavagnac.

Du Chambon, fondé de pouvoir de M. de Meaublanc de Chizeuil.

Du Buisson, et fondé de pouvoir de M. Micaud de Courbeton.

De Precord fils, et fondé de pouvoir de M. son père. Conny de Toury, faisant pour M. son père.c

CHATELLENIE D'HERISSON.

Messieurs,

Le comte de le Borgue.

De Chabre, fondé de pouvoir de M. de Champdumont. De la Brière, et fondé de pouvoir de M. le Breuil d'Issard. Le chevalier Aubery, fondé de pouvoir de M. le comte de Langeron.

Le baron de Coiffier, fondé de pouvoir de madame de Barre de Taffye.

De la Roche, fondé de pouvoir de M. le comte de lé Borgne du Lac.

De la Brière.

De Bisseret, fondé de pouvoir de M. de Lionne.

Du Buisson de Viellefont, fondé de pouvoir de M. Deschamp. Duchâteau.

Du Peiroux.

Le chevalier du Buisson, fondé de pouvoir de M. Du

verdier.

De Gevaudan, fondé de pouvoir de M. le marquis de Maubeu.

Coiffier de Verfeu.

Jacques de Champfeu.

De la Roche, faisant pour M. de la Roche.

Le Groin de Treignat, et fondé de pouvoir de madame de Fermée.

C

Le vicomte du Prat, et fondé de pouvoir de M. Chabenat de Malmaison, de Fradel de Souligny.

De la Brière, et fondé de pouvoir, de M. de Dreuille de Grand Champ le Groin de la Trolière et fondé de pouvoir de M. de Magnac.

Le Groin de Treignat.

Des Ecures, et fondé de pouvoir de M. le comte de Montbel.

CHATELLENIE DE BOURBON-L'ARCHAMBAULD.

Messieurs,

Coiffier de Moret, fondé de pouvoir de M. des Champs de Pravier.

De Jarsallion de Bigut.

De Pontgibaud, fondé de pouvoir de M. d'Orvilliers. Roi de la Nicière, fondé de pouvoir de M. Chartron des Mauguins.

De Marcelange, fondé de pouvoir de M. Conny de la Fay,
Hautier, et fondé de pouvoir de madame Hugon.
De Brisson.

De Jarsallion de Bigut, et fondé de pouvoir de M. le comte de Saint-Hilaire.

De le Borgne, fondé de pouvoir de M. de Saint-Hilaire de Bouan.

Les héritiers de M. de Bosredon.

De Bordon.

Le comte du Peiroux, fondé de pouvoir de M. de Chambaut.

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Le comte de le Borgne, fondé de pouvoir de M. de Mechatin.

Le comte de Sagonne, fondé de pouvoir de M. Jean de la Trolière de Gozinnière.

BRAUX ; maison ancienne, originaire de Champagne, éteinte depuis le commencement du dix-huitième siècle. Elle a été maintenue au mois de décembre 1667, sur preuves remontées à Jean Braux, anobli avec Jeanne le Roy, sa femme, par lettres du roi Charles V, en forme de charte, données à Paris le 1er. février 1366, en considération des services importants que Jean Braux

avait rendus à ce monarque dans ses guerres contre les Anglais. Il eut trois fils, dont l'aîné. Guillaume Braux, écuyer, épousa Meline Laquette, de laquelle il laissa également trois fils, l'un ecclésiastique, l'autre mort sans postérité au mois de novembre 1476, et Pierre Braux, écuyer, seigneur de Dompmartin-laPlanchette en partie et du bois de Florent, par titre de l'an 1449. Il s'allia avec Marie Aubry, fille de Jean Aubry et de Marguerite le Roy, et en eut Pierre II qui a continué la lignée; Jeanne, femme de Jean Gruyer, bailli de Joinville; et Marie de Braux, épouse 1o. de François Lallemant, 2o. de Pierre Fouacier, morte au mois d'avril 1518.

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Pierre Braux, deuxième du nom, écuyer, seigneur de Dompmartin la-Planchette, de Florent et de l'Etangdu-Ru en partie, épousa Poncette de Dompmartin, fille de Michel. Il fut la tige commune des diverses branches de cette famille, dans l'ordre suivant :

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des

1o. Les seigneurs de Florent, de Maisons, du Mérysur-Seine, de la Croix, de la Chaussée, du MesnilTartarin, de Possesse, de la Queue-en-Brie, marquis d'Anglure par crection de 1657, barons du Pré-duBut, etc., qui, àprès avoir donné un capitaine de deux cents hommes de pied, sous le duc d'Epernon en 1591, et s'être alliés aux maisons et familles de Cardonne d'Anglure, Cuissotte de Gizaucourt, forges de Méry, de Geresme des Essarts, de Godet de Saint-Hilaire, de Goujon de Thuisy, Hennequin l'hôpital de Plivôt, l'hoste de Récy, de Linage de Pichancourt, du Moulinet, de Paris de Branscourt, de Postel du Jars, du Puy de Montigny, de la Tour, du Val de Gueudeville, etc., se sont éteints au milieu du dix-septième siècle. Louise-Angélique Braux, héri– tière de cette branche, épousa, le 11 avril 1640, Antoine de Savigny d'Anglure, comte d'Estoges et marquis du Bellay, fils de Charles Saladin et de Marie Babou, dame de la Bourdaisière ;

2o. Les seigneurs de Saint-Vallery, de la Pagerie et de Fanières, qui furent maintenus lors de la recherche. Les alliances de cette branche sont avec les familles d'Aublin, de Bar de Vauciennes, Hocart de Vaux, Jacobé des Mazalins, Lanier, Morel de Flavigny, Petit, Thibault, etc.;

3. Les seigneurs du Forton, qui se sont alliés aux familles le Besque, Deya de Marcenay, le Gorlier de Verneuil, Horguelin du Chesnoy, de Joibert d'Aunay, Lanisson, le Tartier de Grignon, etc.

Armes de gueules, au dragon d'or.

BRUNEAU D'ORNAC, barons de Verfeuil, famille ancienne et distinguée du diocèse d'Uzès en Languedoc, dont l'ancienne extraction a été reconnue par M. de Basville, intendant de cette province, quí, lors de la recherche des faux nobles, maintint cette famille sur ses preuves filiatives remontées à l'an 1531. Il eût été possible sans doute de remonter bien au-delà de cette époque, sinon l'ascendance directe, du moins les preuves de l'origine chevaleresque de cette famille, si tous ces titres n'eussent été la proie des flammes dans le château de Verfeuil, incendié par les protestants en 1791, ainsi que le constate une attestation légale. Néanmoins, depuis l'an 1531, première date des preuves littérales de cette famille, elle n'a cessé de s'allier aux maisons les plus illustres, et de donner des officiers distingués dans les armées de nos Rois. Charles-Henri Bruneau d'Ornac baron de Verfeuil " seigneur de Saint-Marcel, de Careyret, des Auxiats, de Cadignac, et autres lieux, (fils de Henri Bruneau d'Ornac, seigneur des mêmes terres, et de demoiselle d'Adhémar de Montfalcon, tante de Jean-Balthazar, vicomte de Montfalcon, ministre plénipotentiaire à Bruxelles `puis ambassadeur près S. M. Britannique, et premier écuyer de S. A. R. Madame Elisabeth de France), épousa, par contrat du 12 avril 1742, Marie-Anne de Bec-de-Lièvre du Bouexic, morte le 18 décembre 1745, fille de Pierre de Bec-de-Lièvre, deuxième du nom, vicomte du Bouexic, seigneur du Châtellier, et de Louise Gabard, dame de Theilhac. De ce mariage

est issu:

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Charles-Prudent Bruneau d'Ornac, baron de Verfeuil, seigneur de Saint-Marcel, etc., etc., ancien capitaine au régiment de Navarre, qualifié fils naturel et légitime de haut et puissant seigneur messire CharlesHenri d'Ornac, seigneur de Saint-Marcel de Careyret, des Auxiats de Cadignac et autres lieux, baron de

Verfeuil, et de feu haute et puissante dame Anne de Bec-de-Lièvre, dans le contrat de son mariage, reçu par Brémond, notaire à Bollène, au comtat Venaissin, le 11 avril 1774, avec noble demoiselle MadelaineThérèse-Pauline de Niel, fille naturelle et légitime de messire Gabriel, baron de Niel, écuyer, ancien capitaine d'infanterie, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, et de feu noble dame MarieThérèse, née baronne de Baussier. De ce mariage sont issus :

1o. Henri Bruneau d'Ornac, élevé au collége royal Mazarin en 1786;

2o. Ámédée Bruneau d'Ornac, élevé à l'école royale militaire d'Effiat;

3o. Marie-Henriette-Pauline Bruneau d'Ornac de Verfeuil, mariée, le 11 juillet 1809, à Jean-Baptiste - Joseph, vicomte de Brettes, chevalier honoraire de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, dit de Malte, dont un fils.

:

Armes parti, au 1er. d'argent, au lion de gueules ; au 2o. vairé d'or et de gueules.

C'est ainsi que Joseph Bruneau d'Ornac, baron de Verfeuil, les a fait registrer à l'armorial général, coté Longuedoc, en 1701.

C.

DE CACHELEU; sieurs de Maisoncelles, de Frévent de Tourville, etc.

Cette famille, dont les commencements sont inconnus, a noblement subsisté plusieurs siècles, dans le bailliage d'Amiens, prévôté de Vimeu, jusqu'à ce qu'elle se soit établie au bailliage de Rouen, par suite du mariage, en 1703, d'Antoine de Cacheleu, sieur de Maisoncelles, garde du corps du Roi, avec noble demoiselle Elisabeth Eudes de Tourville, devenue, en 1743, héritière de Tourville-en-Auge, près Pontl'Evêque.

Leur postérité subsiste en deux branches; celle de

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