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3. Jean Jacob Elsevier, né en 1738, décédé le 16 octobre 1783, qui épousa, en 1766, Pétronille Renshuizen, décédée en 1792. De ce mariage:

1.) Adrien-Jean Elsevier, né en 1772, décédé aux Indes.

VIII4. GUILLAUME ELSEVIER-DOM. Né le 10 mars 1728, décédé le 10 juillet 1776.

Il épousa, comme il est dit, à Amsterdam, Gertrude Elsevier, née le 5 août 1731, décédée le 15 juillet 1781.

De ce mariage :

1. Guillaume-Adrien-Jean Elsevier - Dom, décédé à Amsterdam, en 1840, épousa, le 17 juin 1795, Elsje-Marie Stopendael. De ce mariage:

1.) Guillaume Elsevier-Dom, décédé à Amsterdam, le 4 octobre 1847, épousa, en 1800, Jeanne-Catherine-Jacoba Hanssen, fille de Ægidius Hanssen et de N. Trouillart.

De ce mariage:

(1. Elsje-Marie Elsevier-Dom, née le 17 septembre 1822, mariée, en 1847, à F.-N. Berlage, ministre protestant, à Waddenoyen.

(2. Guillaume-Adrien-Jean Elsevier-Dom, né le 17 septembre 1822.

(3. Ægidius Elsevier-Dom, né le 15 janvier 1827.

2. Marie Elsevier-Dom, née le 17 février 1800, décédée le 23 mai 1840, épousa, en 1826, François-Pierre Muysken, né le 17 novembre 1798.

Le capitaine A. DE REUME.

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L'aigle sur un cippe ou demi-colonne, avec un faisceau de sept flèches, et cette devise, qui était celle de la république batave, et où semble être prophétisée la gloire de sa famille : Concordia res parvæ crescunt.

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L'orme embrassé par un cep chargé de raisins, avec le solitaire

et la devise: Non solus.

Marque de Daniel Elsevier.

Daniel Elsevier adopta pour marque, Minerve et l'olivier, avec la devise: Ne extrà oleas.

Les éditions anonymes ou pseudonymes de ce dernier sont ordinairement distinguées par une sphère.

Marque de Louis III.

On trouve dans les éditions imprimées par Louis III, de 1638 à 1652, un bûcher enflammé. Les éléments du nom Elsevier ou Else-vuur, peuvent signifier Feu d'orme.

Le capitaine A. De Reume.

CHRONIQUE ET VARIÉTÉS.

Autographes de Pixerécourt, appartenant à la bibliothèque royale.

François (de Neufchâteau) recourt, pour sortir d'incarcération, à
Champein, dont nous avons déjà vu l'influence.

A Paris, le 24 du 1er mois de l'an 2 (mardi, 15 octobre 1793, vieux style).

Mon cher Orphée-Champein, voici le moment de parler au citoyen Voulland, avec cette chaleur qui distingue votre amitié. Il vient d'arriver de chez moi un nouveau député, expressément chargé par les sociétés populaires de faire réparer l'outrage qu'on m'a fait. Ce député, qui fut jadis constituant et qui se nomme Cherrier, est bien connu du citoyen Voulland. Dites à ce dernier de s'informer à lui de ce qui me concerne et de s'honorer lui-même en me tirant de cette indigne captivité. Les prêtres triomphent de ma détention dans mon département. Les aristocrates seuls s'en réjouissent. Il est affreux d'être traité ainsi par ceux que j'ai servis et d'apprêter à rire à nos ennemis communs. Au surplus, il est très-probable qu'il y aura une place que je pourrai reprendre à la Convention: mais avant d'y songer, il faut être libre, avec honneur. Je n'ai pas besoin de vous en dire davantage. Il y a six semaines ou quatre décades que je languis. Adieu, mon cher Amphion. Mes hommages à la muse qui n'a pas voulu nous confier ses secrets. Chacun ici vous salue, vous embrasse et vous aime.

FRANÇOIS (de Neufchâteau).

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