L'Année littéraire, Volumes 7-8Fréron., 1772 |
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ADELINDE adreffe affez ainfi Arminius auffi avoient avoit Beaune Belle BELRONDE Bourbon BREMIN c'eft c'eſt caufe Caveirac célèbre Chapître Chérufques Chevalier chofe compofé Comte Confeil confervé connoiffances connoître deffein déja Difcours Duc de Bourbon efprit enfuite Epictete eſpèce eſt étoient étoit facrés fagacité faifant fans doute fçais fçait fçavant feconde femble fentiment feroit fervir feul fiècle fieur fille fimple Flavius foin foit font fous fouvent François ftyle fuccès fuis fuite fuivant fujet fur-tout gloire graces hiftoire homme illuftres intéreffant jours jufqu'à jufte Kalem l'Abbé L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'auteur l'efprit l'Hiftoire laiffe Lettres Loix lorfque MADAME MIGNONETTE Mademoiſelle Maifon Monfieur n'eft n'étoit néceffaire ouvrage paffer paroître penfe perfonne Périandre Philofophe plaifir plufieurs Poëte préfente prefque Prince refpect refte Romain Rome rue des Mathurins s'eft Saint Quentin SAINT-DAMASE SAINT-VIGNARD talens tion Tragédie Varus VICTORIN Voltaire volume yeux ככ
Populaire passages
Pagina 317 - C'est à quoi nous sommes sujets ; Le matin je fais des projets , Et le long du jour des sottises.
Pagina 317 - Seigneur, dans cet aveu dépouillé d'artifice, J'aime à voir que du moins vous vous rendiez justice, Et que, voulant bien rompre un nœud si solennel, Vous vous abandonniez au crime en criminel.
Pagina 280 - ... et ne quitteront jamais la ceinture. Ils ne partageront pas leurs cheveux comme les vrais fidèles. Ils ne parleront pas la même langue, ne prendront pas les mêmes noms, et ne se serviront pas de la langue arabe dans les devises de leurs cachets. Ils n'iront point à cheval avec des selles. Ils ne porteront aucune sorte d'armes.
Pagina 359 - Mes ennemis ne me l'accorderaient pas, et je ne veux point différer de mériter la palme que j'espère. Pleurez la perte que vous faites, mais ne pleurez pas ma mort : elle est trop honorable pour exciter des regrets.
Pagina 215 - S'ils renversent des murs, s'ils gagnent des batailles. Ils prennent droit par là de ronger mes entrailles ; Leur retour me punit de mon trop de bonheur, Et mes bras triomphants me déchirent le cœur. A vaincre tant de fois mes forces s'affaiblissent : L'État est florissant, mais les peuples gémissent ; Leurs membres décharnés courbent sous mes hauts faits Et la gloire du trône accable les sujets.
Pagina 266 - ... les jardins vantés par Epicure. Je crois Ferney plus beau. Les regards étonnés Sur cent vallons fleuris doucement promenés, De la mer de Genève admirent l'étendue ; Et les Alpes de loin , s'élevant dans la nue , D'un long amphithéatre enferment ces coteaux, Où le pampre en feftons rit parmi les ormeaux.
Pagina 52 - Lorsqu'il fut au-delà du marais, il cria aux soldats : « Je vais bien voir si je suis aimé.
Pagina 44 - le monde des milliers de perfonnes qui en font » perfuadées de bonne foi , & qui regarderaient » comme le plus téméraire de tous les hommes , » celui qui oferoit en douter. Cependant prenez *, la peine de chercher le Livre de cet Auteur & » indignement & fi injnftement avili.
Pagina 301 - Le ciel, de votre honneur jaloux, Pour la fin garda son prodige, Et que la main du créateur Commença vite par la tige, Pour donner ses soins à la fleur, La comtesse DE BEAUHAKXAIS.
Pagina 311 - Fréron qui aime beaucoup les figures de rhétorique, quoiqu'il n'ait été que régent de sixième, répète souvent dans ses feuilles, Mânes de Despréaux!