| Anne Louise Germaine Staël-Holstein (baronne de.) - 1818 - 438 pagina’s
...pâlissoit, trembloit de colère, lorsqu'un mot qui lui déplaisoit frappoit tout seul ses oreilles, faute d'avoir la patience d'entendre le reste de la phrase....général qui m'accusa publiquement de pitié pour les conspirateurs,me firent quitter Paris pour me retirer à la campagne ; car, dans les crises politiques,... | |
| Jacques-Charles Bailleul, Bailleul - 1818 - 492 pagina’s
...sur lequel j'appelle une attention particulière de la part du lecteur. « Chaque jour accroissait l'effroi des honnêtes gens : quelques mots d'un général qui m'accusa publiquement de pitié pour les conspirateurs , me firent quitter Paris, pour me retirer à. la campagne. J'allai donc dans la maison... | |
| Marie-Joseph Chénier - 1844 - 430 pagina’s
...frappait tout seul ses oreilles, faute d'avoir eu la patience d'entendre la lin de la phrase. C'était néanmoins un homme d'esprit et d'imagination, mais tellement dominé par son amour-propre, qu'il s'étonnait de lui-même , au lieu de travailler à se perfectionner '. » M. Daunou trouvait « peu... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1845 - 682 pagina’s
...frappait tout seul ses oreilles, faute d'avoir la patience d'entendre le reste de la phrase. C'était néanmoins un homme d'esprit et d'imagination , mais tellement dominé par son amour-propre, qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler à se perfectionner. Chaque jour accroissait l'effroi... | |
| Charles Labitte - 1846 - 454 pagina’s
...frappait tout seul ses oreilles, faute d'avoir eu la patience d'entendre la lin de la phrase. C'était néanmoins Un homme d'esprit et d'imagination, mais tellement dominé par son amour-propre, qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler à se perfectionner (1). » M. Daunou trouvait « peu... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 650 pagina’s
...s'exprimer ainsi, qui ressemblent « plutôt à des révérences qu'à des paroles (5). » « C'était un homme d'esprit et d'imagination, « mais tellement dominé par son amour-propre, « qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler « à se perfectionner (6). » J'ai peut-être tort,... | |
| Eugène Crépet - 1861 - 664 pagina’s
...frappait tout seul ses oreilles, faute d'avoir eu la patience d'entendre la fin de la phrase. C'était néanmoins un homme d'esprit et d'imagination, mais tellement dominé par son amourpropre, qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler à se perfectionner... » isn peut relire encore avec... | |
| Anne Louise Germaine Staël-Holstein (baronne de.) - 1877 - 168 pagina’s
...frappait tout seul 20 ses oreilles, faute d'avoir la patience d'entendre le reste de la phrase. C'était néanmoins un homme d'esprit et d'imagination ; mais tellement dominé par son amour-propre, qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler à se perfectionner. 25 Chaque jour accroissait l'effroi... | |
| Charles Henri Schneider - 1879 - 292 pagina’s
...incontestable. 23. Que lui doit-on aussi ? 24. Gomment M™- de Staël le qualifie-t-elle ? "C'est un homme d'esprit et d'imagination, mais tellement dominé par son amour-propre, qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler à se perfectionner." 25. Quand mourut-il l II mourut... | |
| Anne Louise Germaine Staël-Holstein (baronne de.) - 1882 - 230 pagina’s
...frappait tout seul ses oreilles, faute d'avoir la patience d'entendre 25 le reste de la phrase. C'était néanmoins un homme d'esprit et d'imagination, mais tellement dominé par son amour-propre, qu'il s'étonnait de lui-même, au lieu de travailler à se perfectionner. Chaque jour accroissait l'effroi... | |
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