O campo floreça, Murmurem as aguas: Tudo me entristeça, Cresçam minhas maguas. Quizera mostrar O mal que padeço: Não lhe dá logar Em tristes cuidados Nunca pude crer Ah! ventura minha, Triste phantasia Quanta cousa guarda! Que les douces fleurs, Je voudrais conter Celle qui la cause. En sombres soucis Mon temps se consume: Soucis incompris! Temps plein d'amertume! A ce dénoûment Rien ne m'eût fait croire: Triste aveuglement! Bonheur illusoire! Sort cruel! combien J'avais un seul bien, Tout noir souvenir Nul plaisir, nul soin Comme un vent léger Fuit toute espérance; On voit tout changer, Hormis ma souffrance. L'amour nous déçoit, L'amour nous attriste, Soit qu'on cède, ou soit Que l'on y résiste. L'amour a soumis Mon âme abattue; |