 ... c'était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées...  Romans - Pagina 187door Voltaire - 1819Volledige weergave - Over dit boek
 | Voltaire - 1759 - 262 pagina’s
...femmes égorgées, qui tenaient leurs enfans à leurs mammelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques...rendaient les derniers soupirs ; d'autres à demi brulées criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues sur la terre,... | |
 | Voltaire - 1761 - 246 pagina’s
...leur don18 CANDIDE, ner la mort : des cervelles étaient répandues fur la terre , à côté de bras & de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vite dans un autre Village : il appartenait à des Bulgares ; & les héros Abares l'avaient traité de même. Candide toujours marchant fur des membres... | |
 | Voltaire - 1761 - 466 pagina’s
...les befoins naturels de quelques héros , rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi brulées criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur la terre, à côté de bras & de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vite dans un autre village... | |
 | Voltaire - 1766 - 308 pagina’s
...éventrées après avoir aflfouvi les hefoins naturels de quelques héros , rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi brûlées criaient qu'on achevât...donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur la terre, à côté de bras & de jambes coupés, .; ,: ;;, Candide s'enfuit au plus vite dans un... | |
 | Voltaire - 1770 - 442 pagina’s
...les befoins naturels de quelques héros , rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi brulées criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur - la terre à côté de bras & de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vite dans un autre village... | |
 | Voltaire - 1771 - 264 pagina’s
...les bt foins naturels de quelques héros, rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi brulés criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur la terre , à côré de bras & de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vite dans une autre... | |
 | Voltaire - 1771 - 370 pagina’s
...les befoins naturels de quelques héros , rendaient les derniers foupirs; d'autres à demi-brûlées criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur la terre à côté de bras Sc de jambes coupées. Candide s'enfuit au plus vîre dans un autre... | |
 | Voltaire - 1785 - 414 pagina’s
...éventrées , après avoir affouvi les befoins naturels de quelques héros , rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi brûlées criaient qu'on achevât...donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur la terre à côté de bras et de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vite dans un autre village... | |
 | Voltaire - 1789 - 348 pagina’s
...befoins naturels de* quelques héros , rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi-brûle' es , criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur li terre , À côré de bras & de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vîte dans un autre... | |
 | Voltaire - 1792 - 362 pagina’s
...les befoins naturels de quelques héros, rendaient les derniers foupirs ; d'autres à demi-biûlées criaient qu'on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues fur la terre à côté de bras et de jambes coupés. Candide s'enfuit au plus vite dans un autre village... | |
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