Annales, Volume 33 |
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Pagina 59
En 1755 , Duhamel du Monceau publiait son Traité des arbres et arbustes qui se cultivent en France en pleine terre . Cet ouvrage est l'exposition des richesses en ce genre , tant indigènes qu'exotiques , que possédait alors notre pays .
En 1755 , Duhamel du Monceau publiait son Traité des arbres et arbustes qui se cultivent en France en pleine terre . Cet ouvrage est l'exposition des richesses en ce genre , tant indigènes qu'exotiques , que possédait alors notre pays .
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Populaire passages
Pagina 481 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Pagina 37 - Il reste, à coup sûr, beaucoup à faire pour le bon gouvernement des écoles, pour faire dominer dans leur sein les influences de religion et d'ordre, de foi et de loi, qui font la dignité comme la sûreté d'un peuple : mais si, comme j'en ai la confiance, Dieu n'a pas condamné la société française à s'user, tantôt bruyamment, tantôt silencieusement, dans de stériles alternatives de fièvre ou de sommeil, de licence ou d'apathie, ce qui reste à faire pour la grande œuvre de l'éducation...
Pagina 129 - L'Epinay chassé s'en alla en Hollande, où il eut facilement accès chez la reine de Bohème. Comme il y entra avec la réputation d'un homme à bonne fortune , il y fut tout autrement regardé qu'un autre, et, dans l'ambition de n'en vouloir qu'à des princesses ou à des maîtresses de princes , on dit qu'il cajola d'abord la mère, et après la princesse Louise, car les Louises étaient fatales à ce garçon.
Pagina 130 - Haye, il attaque l'Epinay , qui était accompagné de deux hommes, et lui n'en avait pas davantage. Ils se battirent quelque temps: il survint des gens qui les séparèrent. Tout le monde conseilla à l'Epinay de se retirer, mais il n'en voulut jamais rien faire.
Pagina 385 - ... convertir une partie des revenus attribués aux hospices, mais seulement jusqu'à concurrence d'un cinquième, en secours à domicile annuels en faveur des vieillards ou infirmes placés dans leurs familles.
Pagina 97 - Il fallait que la fureur poétique, ou plutôt prophétique le possédât bien pour faire dans le lieu où il était, une prédiction aussi contraire aux intérêts du prince de Condé, qui l'avait reçu chez lui, et qui, par la mort de Louis XIII et de Gaston d'Orléans son frère, était héritier présomptif de la couronne, car il y dit positivement qu'il ne doit plus se repaître de l'espérance de cette succession, et qu'il doit se contenter d'être toute sa vie M. le Duc tout court. Or cette...
Pagina 130 - L'Epinay seul se défendit le mieux qu'il put ; mais il fut percé de tant de coups, que les épées se rencontroient dans son corps. Il voulut tâcher à se sauver, mais il tomba ; toutefois il fit encore quelque résistance à genoux, et enfin il rendit l'esprit. Pour ce qui est de la princesse Louise, elle a changé de religion, et est abbesse de Maubuisson, où elle mène une vie exemplaire.
Pagina 129 - Louises étaient fatales à ce garçon. On dit que cette fille devint grosse, et qu'elle alla pour accoucher à Leyde , où l'on n'en faisait pas autrement la petite bouche.
Pagina 503 - Nous vous le dirons encore, nous n'avons voulu ,,nous ne voulons qu'un roi ; nous l'avons voulu inviolable et sacré dans sa personne , parce que notre intérêt l'exige, parce que la majesté du peuple se réfléchi* sur lui, parce qu'il est.
Pagina 401 - C'était d'ailleurs une démarche politique de nommer un simple paysan pour général en chef, au moment où l'esprit d'égalité et un vif sentiment de jalousie contre la noblesse, contribuaient en grande partie au mouvement révolutionnaire ; . c'était se conformer au desir général, et attacher de plus en plus les paysans au parti qu'ils avaient embrassé d'eux-mêmes.