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Semence

Produit

par hectare. par hectare.

Proportion.

OBSERVATIONS

Villeneuve-de-la-Raho. 182 litres 910 litres. 5.00 Bonne terre arro

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D'après Olivier de Serres les meilleurs domaines en France produisaient de cinq à six pour un . M. Passy a évalué à huit hectolitres par hectare le rendement moyen des terres au commencement du xvIII° siècle.

On comptait que le blé nécessaire pour les semailles était égal, en Roussillon, à un cinquième de la récolte, en d'autres termes qu'une mesure de blé en donnait cinq. En réalité, le rendement était un peu plus fort dans la plaine, si l'on en juge par les chiffres suivants, pris dans les comptes du marquis d'Oms, et qui m'inspirent plus de confiance que les statistiques officielles.

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Dareste, Histoire des classes agricoles en France, p. 516.
Ibid., p. 518.

»

VIII. — La culture du blé s'imposait dans nos pays pour les motifs qui ont été exprimés plus haut; mais elle n'était pas très rémunératrice. La principale raison était l'usage de laisser reposer les terres assolées un an sur deux. C'était une coutume générale dans la plaine et aux environs de Perpignan: « On a lieu de croire, » écrivait l'intendant en 1779, « que dans la seule banlieue de Perpignan il existe environ 6,000 arpens de terre labourable, ce qui ferait 3,000 arpens. » « L'usage commun, disait à cette même époque le viguier de Roussillon et Vallespir, « est de partager les fonds pour les ensemencer moitié chaque année 3. » Bien plus, l'intendant distingue en Cerdagne, vers 1750, deux sortes de terres : « celles du sommet et celles du reste de la montagne. Les premières sont ordinairement laissées en chaume pendant plusieurs années, et on n'y sème jamais que du seigle ou du blé noir; les autres ne restent ordinairement en chaume qu'une année et on n'y fait venir que du seigle ou du méteil*. » En 1779, l'intendant parle « des productions médiocres et momentanées» de la montagne, productions qu'on n'acquiert qu'en changeant continuellement l'assiette de la culture 5.

Cependant certaines terres donnaient après le blé et la même année une récolte supplémentaire ". Ainsi dans

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le Riberal on obtenait deux récoltes l'une de blé, la seconde en millet, fourrages ou haricots '.

Le service des finances a différentes fois calculé le rapport des terres dans le but d'asseoir les impositions. Comme bien l'on pense, ces évaluations ne sont pas très précises.

Le premier élément de ce calcul étant le prix de la denrée, voici le cours des céréales à diverses dates :

Mémoire sur le vingtième, C. 890.

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