| Dominique Bouhours - 1691 - 600 pagina’s
...allegoriquement la plainte du bon parti fous celle d'un •cnicn mort à force de coups. Pour al-oter »« Huguenot. •On m'a. mis en ce piteux être : L'autre jour je mordis »» Prêtre t Ee pir ferme ne m'-en dit mot, Quelquefois atifli fans allégorie iri fans ficlion Ton... | |
| Dominique Bouhours - 1768 - 492 pagina’s
...allégoriquement la plainte du bon parti fous celle d'un chien mort à force de coups : Pour aboyer un Huguenot 3 On m'a mis en ce piteux être : L'autre jour je mordis un Prêtre f Et perfonne ne m en dit mot. Quelquefois aulli fans allégorie , ni fànfl fiction l'on s'explique... | |
| Dominique Bouhours - 1771 - 488 pagina’s
...-là fit allégoricjuement la plainte du bon parri fous celle d'un chien , mort à force de coups : Pour aboyer un Huguenot, On m'a mis en ce piteux être : L'autre jour je mordis un Prêtre, Et perfonne ne m'en dit mot. Quelquefois aufll , fans allégorie, ni fans fiction , l'on s'explique avec... | |
| François-Joseph de Bérardier de Bataut - 1776 - 778 pagina’s
...poète. Elfe eft renfermée dans 1 epitaphe d'un chien. L'animal expofe lui-même la cauic de fa mort. Pour aboyer un Huguenot, On m'a mis en ce piteux être : L'autre jour je mordis un piètre ; Et perfonne ne m'en dit mot. Ces quatre vers , dit alors Timagene, donnent apurement bien... | |
| Gabriel-Henri Gaillard - 1777 - 448 pagina’s
...Ce fut dans ce temps qu'on fit cetrc Epitaphe d'un chien affommé à coups de bâton. Pour abboyer un Huguenot, On m'a mis en ce piteux être ; L'autre jour je mordis un Prêtre a Et pevfonnc ne me dit mot. l'Amiral ; c'efl fans doute pendant ce mécontentement & cette retraite... | |
| Philibert Joseph Leroux - 1786 - 630 pagina’s
...épitaphe d'un chien trouvé pendu à un arbre , daiis le tems où les Huguenots étoient redoutables, Pour aboyer un Huguenot , On m'a mis en ce piteux être. L'autre jour je mordis un Prêtre , Et perfunne ne me dit mot. PITIÉ. Guerre & pitié 'ne s' accordent pas enfemble. C'eft-à-dire , qu'ordinairement... | |
| Gabriel-Henri Gaillard - 1818 - 468 pagina’s
...fut dans ce temps qu'on fit cette épitaphe d'un chien assomm é à coups de bâton : Pour ahboyer un huguenot, On m'a mis en ce piteux être ; L'autre jour je mordis un prêtre, Et personne ne me dit mot. prospérité lui ayant enflé le cœur, il se perdit lui-même dans l'esprit... | |
| 1829 - 440 pagina’s
...nous rappelle l'épitaphe d'un pauvre chien qui se fit tuer un jour en jappant après un protestant ; Pour aboyer un huguenot, On m'a mis en ce piteux être; L'autre jour je mordis un prêtre, Et personne ne me dit mot. — Conformément a la loi du 18 juillet dernier sor la presse pério• dique... | |
| 1829 - 442 pagina’s
...nous rappelle l'épitaphe d'un pauvre chien qui se fit tuer un jour en jappant après un protestant . Pour aboyer un huguenot, . • On m'a mis en ce piteux être; L'autre jour je mordis ил prêtre, Et personne ne me dit mot. — Conformément à la loi du 18 juillet dernier sur la presse... | |
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