existe encore à l'Imprimerie impériale. C'est lui qui traita l'affaire de la suppression de l'imprimerie du cabinet du roi, dont il est question ci-devant, pages 94-951. Ce fut le dernier directeur de l'Imprimerie royale du Louvre. Il fut guillotiné en 1794, comme nous l'avons dit précédemment. Ce n'est pas en 1789, mais en 1787 (le 16 août), que Marie-Nicolle Estienne, veuve de Jean-Thomas Herissant, céda à Jean Anisson Duperon la petite imprimerie qu'elle avait à Versailles pour le service du cabinet du roi. Elle lui céda en même temps la charge d'imprimeur du cabinet et maison de Sa Majesté, qui avait été attribuée à son mari en 1763, avec une gratification annuelle de 100 livres. Cette cession, qui comprenait les presses et les caractères, se fit au prix de 55,000 livres. Voici la liste des poinçons et matrices dont elle se composait, et qui doivent se trouver encore aujourd'hui au cabinet des poinçons de l'Imprimerie impériale : Ronde de 4 points de cicéro (4 cicéros ou 122 poinçons, 133 matrices. 41 38 TABLE GÉNÉRALE. NOTA. Nous avons relevé ici tous les noms de personnes, en indiquant, pour (Jean), son fils, impr. à Lyon, puis directeur de l'Imprimerie royale, 35, 36, (Louis - Laurent), fils de Jean, direc- teur de l'Imprimerie royale, 88 s. 267 s. – (Jacques-Louis-Laurent), frère du pré- cédent, directeur de l'Imprimerie royale, -(Louis-Laurent), fils du précédent, direct. - (Ét.-Al.-J.), fils du précéd. 97 s. 286- 287; invent. d'une presse, 224, 226. Bestiaux, 197, 231 (bis), 235. Betterave champêtre, 235. Biblia, 1642, 125; 1653, 132, 278. BARTHELEMY, Dissert, sur une anc, inser. 253. BLONDIN, Précis de la langue angloise, 255. BAUDET (Ét.), grav. 144. BALDOT, Essais antihydrophobiques, 203. BAUME, Mém, sur le blanch, des cocons jaunes, 246. BOGARD (Jacq.), impr. 7. BOISMONT (L'abbé DE), Sermon, 224. BOIVIN (J.), 150, 155. BONDELMONTE, auteur d'une description de |