Journal de physique théorique et appliquée, Volume 1Société française de physique., 1872 |
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Annales de Poggendorff axes bobine calcul calorimètre capillaires centimètres centre chaleur spécifique circuit Clausius conducteur constante contact corps correspondant couche courant courbes d'eau degrés densité densité électrique déterminer diamètre diapason différence différence de marche disque dissolution distance égale à l'unité électrisé électromagnétique éléments expériences faisceau fente force électromotrice formule galvanomètre indices de réfraction l'action l'aiguille l'air l'angle l'appareil l'axe l'eau l'équation l'étincelle l'intensité l'onde lame longueur d'onde lumière lumineux lunette magnétique masses électriques ment mercure mesure milieu miroir molécule nébuleuse d'Orion nébuleuses négative normale observations ondes parallèles perpendiculaire phénomènes pile plan d'épreuve pôle position potentiel pression prisme proportionnelle quantité d'électricité r₁ raie rayon incident réfléchie réfraction relation résultats rotation seconde sera spectre spectroscope sphère suivant surface d'onde caractéristique tangent tangu température tension superficielle théodolite théorie tion Torricelli tube unité valeur variation vibrations vitesse Weber zéro
Populaire passages
Pagina 270 - Vous voyez déjà, sans doute, que cette expérience est décisive de la question et que, s'il arrive que la hauteur du vif-argent soit moindre au haut qu'au bas de la montagne (comme j'ai beaucoup de raisons pour le croire, quoique tous ceux qui ont médité sur cette matière soient contraires à ce sentiment), il s'ensuivra nécessairement que la pesanteur et pression de l'air est la seule cause de cette suspension du vif-argent et non pas l'horreur du vide, puisqu'il est bien certain qu'il ya...
Pagina 268 - L'observation que les pompes ne tirent point l'eau à plus de dix-huit brasses de hauteur ne se doit point rapporter au vide , mais ou à la matière des pompes , ou à celle de l'eau même qui s'écoule entre la pompe et le tuyau , plutôt que de s'élever plus haut , ou même à la pesanteur de l'eau qui contre-balance celle de l'air.
Pagina 333 - Il faut déterminer cette valeur dans les deux conditions suivantes : i° lorsque les éprouVettes en verre qui baignent dans le mercure des moufles ne renferment qu'une quantité d'eau limitée ; 2° lorsque ces éprouvettes contiennent le maximum d'eau qu'elles peuvent recevoir pendant les opérations. Il est alors facile de calculer la valeur de la calorie, pour chacun des états intermédiaires. Ainsi, pour le calorimètre à sept moufles, dont je me sers le plus habituellement, ces deux valeurs,...
Pagina 333 - L'air doit être complètement expulsé du grand réservoir mercuriel pendant l'opération du remplissage, afin d'éviter la marche par saccades du mercure dans le tube calorimétrique. Cette condition est très-facile à réaliser, à l'aide d'une disposition spéciale qui permet au mercure, lorsqu'il pénètre en filet très-fin dans l'intérieur de l'appareil (où l'on a soin de maintenir le vide à l'aide d'une bonne machine pneumatique), de chasser devant lui la totalité de l'air raréfié....
Pagina 270 - ... s'ils doivent l'être à la pesanteur et pression de l'air; car, pour vous ouvrir franchement ma pensée, j'ai peine à croire que la nature, qui n'est point animée ni sensible, soit susceptible d'horreur, puisque les passions...
Pagina 332 - Le calorimètre doit contenir une quantité de mercure aussi grande que possible. Ainsi, parmi les calorimètres qui sont à ma disposition, il en est un, portant sept moufles verticaux, ayant chacun une capacité de 200 centimètres cubes environ. L'appareil contient 7 litres de mercure, tandis qu'un autre, portant dix moufles également verticaux et de même capacité, n'en contient pas moins de 20 litres. L'emploi d'une quantité considérable de mercure offre le grand avantage d'une faible élévation...
Pagina 27 - C'est ainsi que ces différents changements d'état, caractérisés physiquement par une perte de chaleur latente (qui devient sensible), peuvent être rapprochés très-intimement; le passage du mélange à la combinaison, le passage de l'état gazeux à l'état liquide, de l'état liquide à l'état solide, ayant, comme on le voit, des analogies trèsprochaines.
Pagina 270 - C'est de faire l'expérience ordinaire du vide plusieurs fois en même jour, dans un même tuyau, avec le même vif-argent, tantôt en bas et tantôt au sommet d'une montagne, élevée pour le moins de cinq ou...
Pagina 333 - Pour établir la valeur de la calorie exprimée en longueur de marche du mercure dans le tube calorimétrique, il faut, dans une première opération, versera l'intérieur du calorimètre une quantité de chaleur bien déterminée, et noter la longueur de marche du mercure qui en résulte, en faisant les corrections que comporte ce genre d'observations. Il faut déterminer cette valeur dans les deux conditions suivantes : i° lorsque les éprouVettes en verre qui baignent dans le mercure des moufles...
Pagina 174 - AE et provient du vide ou de cette matière (') extrêmement raréfiée; mais je prétends que la matière est extérieure et que la force vient du dehors. Sur la surface du liquide qui est dans le bassin pèse une quantité d'air qui a cinquante milles de hauteur. Est-il étonnant que le...