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MM. De Becker F. G., à Schelle. Lic. 1784,

De Becker G., à Boom. Lic. 1765.

De Becker Alex. Phil., à Santvliet.
De Jode, à Stabroeck.

Deridder, à Eeckeren.

Fiocco, à Aertselaer. Lic. 1796.

Foucart, à Berchem.

La Frémians, à Bouchout.

Michiels, à Contich.

Van Elsackers, à Brecht. Lic. 1786.

Van den Kieboom, à Boom.

CHIRURGIENS.

MM. Beguinet, rue des Agneaux. 1791.
Cousyns, rue des Menuisiers. 1766.
Cruls, Marché St Jacques. 1774.

De Bie, rue des Oculistes (rue Hochstetters).
De Cleyn, rue des Augustins.

Deckkers, place de Meir. 1762.

Deckkers, rue de Venus. 1791.

De Hont, rue des Tonneliers.

De Horst, canal des Vieux Lions. 1790.

Hauset, rue du Jardin. 1778.

Kums, longue rue Neuve. 1778.

Kennes.

Marckx.

Maerre.

MM. Naveau, près des Dominicains, 1794.

Podor, marché aux Chevaux.

Puyfelyck, rue des Peignes. II Brum. an VIII.
Schaffeneer, rue de la Monnoye. 1786.
Van Camp, rue d'Hoboken. 1792.

Van der Veken, rue du Vieux Cocq. 1782.
Van Loo.

Van Montfort, à Borgerhout. 1788 (accoucheur).

CHIRURGIENS

des Communes du premier Arrondissement.

MM. Brameir, à Wilryck.
Cras, à Brasschaet.

De Jonge, à Wilmarsdonck.
Geyling, à Eeckeren.

Michiels, à s'Gravenwezel.

Mollar, à Schooten.

Snoeck, à Capellen.

Thys, à Santhoven.

Van den Herreweghe, à Boom.

Vendelmans, à Ranst.

OFFICIERS DE SANTÉ

à Anvers.

MM. Beutels.

De Backer.

Piek.

Devergani, seul expert dentiste pour le département, rue de l'Empereur. (On trouve chez lui un petit ouvrage contenant des observations très intéressantes sur les maladies des dents, dont il est l'auteur).

OFFICIERS DE SANTÉ

des Communes du premier Arrondissement.

MM. Deckers, à Brecht.

Decroes, à Loenhout.

MM. Dupont, à Contich.

Verlemans, à Loenhout.
Roberty, à Rumpst.

Valentin, à Santhoven.

SAGES-FEMMES

Mesd. Vermeulen, Jeanne, à Anvers.
Vermeulen, Catherine, id.

Patyn Marie, à Loenhout.

Leemans Jeanne-Catherine, à Niel.

PHARMACIENS

MM. Jean-Baptiste Hubens. rue de Kipdorp. 20. VII, 1793.
H. T. Colins, Pont de la porte aux Vaches. 1818.

H. L. Emeri, père, place de la Monnoye. 16 Brum. XI.
L. C. Emeri, rue des Tanneurs.

C. A. Praet, longue rue Neuve. 22 mars 1807 Paris.

J. De Backer, rue des Claires. 26 Thermidor an 9.

H. Vrancken, rue Klapdorp. 13 Therm. an 9.

F. J. De Buck, pharmacien des pauvres, près de la Bourse.

F. M. Verbert, Petit Marché. Paris 20 Therm, an 9.

J. J. Schobbens, longue rue Neuve. II Fructidor an 9.

P. A. Wouters. id.

J. J. Scaungoux, canal au Sucre. II Fruct. an 9.

G. J. Olislaeger, rue des Tanneurs.

P. J. Leys, rue des Peignes. Paris 21 avril 1810.

De Smet, rempart des Tailleurs de Pierres. 18 Fruct. an 9.

G. Schewyck, Grande Place. Mons 5 mars 1811.

F. Byl, rue du Prince. Paris 16 oct. 1812.

P. Pluyms, canal des Récollets. Anvers 17 Fruct. 1800.

A. H. Colins, rue du Roi. Bois le Duc 14 janvier 1818.

J. B. Cremers, rue de la porte aux Vaches. Anvers 2 prai

rial an 10.

F. C. Janssens, pont de Chaux. Anvers 10 Therm. an 9.
M. J. Van Merstraeten, place de Malines, à l'Hôpital.
M. J. Van Merstraeten, garçon, chez la veuve J. J. Collins,
apothicaire. Marché aux Chevaux. Anvers II Vendém.
an 9.

MM. F. L. De Backer, rue Bonaparte.

Veuve M. J. De Backer, Grande Place, 26 Therm. an 12. MM. J. Pauwels, rue Haute. 12 Fruct. an 12.

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à l'hôpital de St Elisabeth, rue de l'Hôpital.

MM. Hoylaerts, président.

L. H. J. Vrancken, secrétaire
Van Haesendonck

M. J. Beguinet.

MM. P. F. Demarteau.

L. Dom. Leroy.

J. B. Sassenus.
B. Van den Zande.

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LEON GRUEL. Recherches sur les origines des marques anciennes qui se rencontrent dans l'art et dans l'industrie du XVe au XIXe siècle par rapport au chiffre quatre (Paris et Bruxelles, Librairie nationale d'art et d'histoire. G. Van Oest, 1926).

Parmi les marques symboliques employées par les imprimeurs et les libraires depuis le XVe siècle, nous rencontrons très souvent un sigle présentant la forme du chiffre 4, tourné à droite, à gauche ou même renversé. Certains graveurs, des peintres, des sculpteurs, des fabricants de tapis, des peintres verriers, des fabricants de papier dans leurs filigranes, des particuliers dans leurs signatures, leurs armoiries et leurs cachets se sont également servis de ce chiffre énigmatique.

M. Léon Gruel s'est attaché à réunir un nombre considérable de ces sigles dont il nous donne la reproduction, espérant ainsi amorcer l'étude de leur origine et de leur signification.

M. Paul Delalain, dans son inventaire des marques d'imprimeurs et dans d'autres ouvrages, croyait voir dans ce quatre symbolique le signe de la Rédemption. D'après lui c'est la croix combinée avec le monogramme du christ, et la barre qui forme le triangle indiquerait la ligne que trace la main en exécutant le signe de la croix. M. Léon Gruel se rallie à cette interprétation... Je crois, dit il, après avoir très scrupuleusement examiné et pesé les raisons pour lesquelles on peut attribuer une signification réelle à l'usage de ce chiffre 4, alors que, depuis l'ère chrétienne, on le retrouve partout, même dans choses qui se contredisent le plus, qu'il y a des chances pour que M. Paul Delalain ait raison de l'appeler le signe de la Rédemption car, d'abord, il forme un triangle, symbole de la Trinité; ensuite on peut attribuer au chiffre 4 l'idée de la formation du nouveau monde représentée par les quatre éléments, les quatre saisons, les quatre points cardinaux. et moralement par l'origine chrétienne dont la base, après Jésus-Christ, est fondée sur les quatre Evangélistes et représente la vie “. (p. 104).

Cette hypothèse est très ingénieuse, mais peut-être un peu compliquée et les arguments qui pourraient la transformer en une certitude ne nous sont pas encore fournis par les deux auteurs qui se sont occupés de la question.

Nous pouvons constater qu'un très grand nombre de marques d'imprimeurs, du XVIe siècle surtout, sont ornées de la croix sous toutes ses formes. Nous y voyons des croix grecques et latines, des croix de St Antoine et de St André, des croix patriarchales et papales, des doubles croix, et même des croix d'origine héraldique. Ce fait est-il de nature à augmenter les probabilités de l'hypothèse de MM. Delalain et Gruel? Ou bien doit-il nous faire supposer que la croix cachée dans le sigle 4 a une signification encore inconnue pour nous ?

Personnellement nous penchons vers l'hypothèse de la croix, mais au lieu de voir dans la barre qui forme le triangle, la ligne que trace la main en exécutant le signe de la croix, nous préférons y voir la ligne que l'on doit inévitablement tracer quand on veut dessiner le signe de la croix d'un seul trait de plume, ce que l'écrivain est tout naturellement tenté de faire.

L'usage de mettre une ou plusieurs croix au commencement ou à la fin de diplômes ou d'autres manuscrits en remplacement de l'invocation du nom du

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