493. 497. 501. 505. 509. 26 pero en estremo so 27 marauillado quien de su familia no ha buen cuydado 31. LXIII Mas32 por que 33 el vaso santo de elecçion34 3> en el tercio 3 cielo espirementado, no es de 36 dezir ni fazer 37 mencion por que es vna parte de la caridad de la qual Dios + es yntitulado. LXIV Segunt la Escritura, Dios es caridad, 44 z quien esta en Dios 43, Dios esta en aquel +4; 34. U. el santo vaso de la eleccion; D. 36. R. falta 37. E. de fazer 38. P. z; U. 039. SLD. tienen invertida la sucesión de los versos 499 y 500 40. E. falta - 41. P. ha; RS. falta; E. de 42. U. nuestro Dios. 43. R SL. el 44. P U. en el - 45. R. y es no estar - 46. R. falta 47. U. yo fago — 48. U. sy al... van determinando; P. si van... a deter minarlo 49. P. los. 513. 517. 521. 525. LXV La caridad o quando es ordenada, que LXVI Quando la familia es bien proueyda, con buena osadia sienpre mandara aquella que tiene su paga conplida. 55. P. vesitada z guarnida bien; U. bien vista, curada bien; R. vesitada 532. zavn 57 por que 58 cuydado de la pobre gente CONCLUSION 537 541. 545. LXVIII La dueña ynformada 62 como deue onrrar como la familia rregir a ordenar, avn rresta la quinta amonestaçion : 56 las LXIX Tanta 68 perfecçion, muy graue seria, 64 D. て 65. P. 7 como en que - 66. R. forma; R. en qual forma y como; U. falta forma ; D. qual forma 549. 60 toda otra 69 carrne corronpio su via, mas de las virtudes el que mas touiere 7o 69. S. esta falta 70. U. quien mas mas touiere (sic) — 71. U. falta 73. U. añade Deo gracias. 72. U. COMPTES RENDUS My recollections. By the Countess of Cardigan and Lancastre. London: Eveleigh Nash, 1909, in-8°, XII-178 pp., portraits. L'auteur de ce volume est née le 24 décembre 1824. Elle eut pour parents lord Spencer Horsey de Horsey et lady Louisa Maria Judith, fille du premier comte de Stradbroke. C'est à l'âge de quatre-vingt-cinq ans qu'elle écrit ses souvenirs, et que, les ayant écrits, elle a cru devoir les livrer au public. Ils embrassent la vie entière de la noble dame, dont ils décrivent les faits saillants à raison de deux pages par année en moyenne. Les pages sont courtes et les caractères sont gros. Le ton est généralement optimiste, et c'est sans trop d'étonnement qu'on peut lire à l'avant-dernière page du dernier chapitre : << Fortune has been very good in endowing me with health, wealth, and long life. I have seen everything worth seeing, and known every one worth knowing, and although I am sometimes inclined to say, « All is vanity », yet I think life's little, vanities are the sauce piquante of existence. » La plupart de ces personnages « dignes d'être connus » semblent ne devoir laisser dans l'histoire qu'une trace bien peu profonde: on les qualifierait assez bien en les appelant des mondains, car la comtesse de Cardigan et Lancastre n'a fréquenté pendant sa longue existence que des salons dont les habitués n'étaient guère gênés par des préoccupations intellectuelles. Elle a connu des souverains de plusieurs sortes en exercice, en expectative, détrônés, in partibus; elle a vécu au milieu d'aristocrates de plusieurs pays. Elle a entendu et retenu bon nombre d'anecdotes peu exemplaires — le volume a causé quelque scandale en Angleterre et elle nous les transmet sans trop se demander si la fantaisie ou la malignité n'y ont pas eu une part prédominante. Ce sont de ces on-dit que les Français nomment des racontages, et les Parisiens des potins. Le second mari de la comtesse était portugais ; rien ne le signale à l'attention de l'hispanisant. Mais avant son premier mariage, miss de Horsey connut un personnage qui, la chance ou la Providence aidant, aurait pu régner sur l'Espagne par droit de naissance et dont elle faillit devenir la femme. Charles-Louis-Marie de Bourbon, comte de Montemolin, né en 1818, était le fils aîné du premier « don Carlos », frère de Ferdinand VII. Sans l'abrogation de la loi salique il aurait été roi d'Espagne « par la grâce de Dieu » et il n'au |