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493.

497.

501.

505.

509.

26

pero en estremo so 27 marauillado
del santo apostol 28 que dixo: peor
es que 29 ynfiel y deterior 30

quien de su familia no ha buen cuydado 31.

LXIII

Mas32 por que 33 el vaso santo de elecçion34

3>

en el tercio 3 cielo espirementado,

no es de 36 dezir ni fazer 37 mencion
que fablase inpropio ni 38 demasiado 39;
yo cuydo que el 4° aya tan mal nonbre dado
al que a 41 su familia no ha humanidat,

por que es vna parte de la caridad

de la qual Dios + es yntitulado.

LXIV

Segunt la Escritura, Dios es caridad,

44

z quien esta en Dios 43, Dios esta en aquel +4;
quien en Dios no esta, ni Dios esta en el,
z no estar 45 en Dios es 46 ynfieldat;
quien de su familia no ha piedad,

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34. U. el santo vaso de la eleccion; D. 36. R. falta 37. E. de fazer

38. P. z;

U. 039. SLD. tienen invertida la sucesión de los versos 499 y 500 40. E. falta - 41. P. ha; RS. falta; E. de 42. U. nuestro Dios.

43. R SL. el

44. P U. en el - 45. R. y es no estar - 46. R. falta

47. U. yo fago — 48. U. sy al... van determinando; P. si van... a deter

minarlo

49. P. los.

513.

517.

521.

525.

LXV

La caridad o quando es ordenada,
en si mesma deue comienço fazer,
pues los seruidores son de proueer
antes que otra limosna sea dada;

que
52 seria 3 la orden de rrazon turbada,
si fuese a la debda la graçia ante puesta ;
por ende la dueña discreta ʊ onesta
conuiene que sea de aquesto 4 avisada.

LXVI

Quando la familia es bien proueyda,
vestida, z curada bien 55 en sus dolencias,
no solo sin carga seran las 56 conciencias
de los señores, mas muy bien seruida
es siempre la casa, z obedescida
sera la señora que la rregira :

con buena osadia sienpre mandara

aquella que tiene su paga conplida.

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55. P. vesitada z guarnida bien; U. bien vista, curada bien; R. vesitada

532.

zavn 57 por que 58 cuydado de la pobre gente
con otros negocios › el señor no tiene,
ni tan libre mente el seruidor viene
a dar su querella 60 al señor, por quanto
sus duras rrespuestas le ponen espanto,
z con la señora muy 61 mejor se aviene.

CONCLUSION

537

541.

545.

LXVIII

La dueña ynformada 62 como deue onrrar
los suegros, como amar al 63 marido,
como y 64 en que formas le avra obedescido,
z como la casa sabra gouernar,

como la familia rregir a ordenar,

avn rresta la quinta amonestaçion :
que no sea tocada de rreprehension;
en esta quatro pudieran 67 entrar.

56 las

LXIX

Tanta 68 perfecçion, muy graue seria,
avn digo ynposible, fallar se entre nos,
saluo de los onbres el fijo de Dios,
7 de las mugeres la virgen Maria ;

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64 D. て 65. P. 7 como en que - 66. R.

forma; R. en qual forma y como; U. falta forma ; D. qual forma

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549.

60

toda otra 69 carrne corronpio su via,

mas de las virtudes el que mas touiere 7o
z quien de los vicios los 72 menos oviere,
sin rreprehension dezir se podria.

69. S. esta

falta

70. U. quien mas mas touiere (sic) — 71. U. falta 73. U. añade Deo gracias.

72. U.

COMPTES RENDUS

My recollections. By the Countess of Cardigan and Lancastre. London: Eveleigh Nash, 1909, in-8°, XII-178 pp., portraits.

L'auteur de ce volume est née le 24 décembre 1824. Elle eut pour parents lord Spencer Horsey de Horsey et lady Louisa Maria Judith, fille du premier comte de Stradbroke. C'est à l'âge de quatre-vingt-cinq ans qu'elle écrit ses souvenirs, et que, les ayant écrits, elle a cru devoir les livrer au public. Ils embrassent la vie entière de la noble dame, dont ils décrivent les faits saillants à raison de deux pages par année en moyenne. Les pages sont courtes et les caractères sont gros. Le ton est généralement optimiste, et c'est sans trop d'étonnement qu'on peut lire à l'avant-dernière page du dernier chapitre : << Fortune has been very good in endowing me with health, wealth, and long life. I have seen everything worth seeing, and known every one worth knowing, and although I am sometimes inclined to say, « All is vanity », yet I think life's little, vanities are the sauce piquante of existence. » La plupart de ces personnages « dignes d'être connus » semblent ne devoir laisser dans l'histoire qu'une trace bien peu profonde: on les qualifierait assez bien en les appelant des mondains, car la comtesse de Cardigan et Lancastre n'a fréquenté pendant sa longue existence que des salons dont les habitués n'étaient guère gênés par des préoccupations intellectuelles. Elle a connu des souverains de plusieurs sortes en exercice, en expectative, détrônés, in partibus; elle a vécu au milieu d'aristocrates de plusieurs pays. Elle a entendu et retenu bon nombre d'anecdotes peu exemplaires — le volume a causé quelque scandale en Angleterre et elle nous les transmet sans trop se demander si la fantaisie ou la malignité n'y ont pas eu une part prédominante. Ce sont de ces on-dit que les Français nomment des racontages, et les Parisiens des potins.

Le second mari de la comtesse était portugais ; rien ne le signale à l'attention de l'hispanisant. Mais avant son premier mariage, miss de Horsey connut un personnage qui, la chance ou la Providence aidant, aurait pu régner sur l'Espagne par droit de naissance et dont elle faillit devenir la femme. Charles-Louis-Marie de Bourbon, comte de Montemolin, né en 1818, était le fils aîné du premier « don Carlos », frère de Ferdinand VII. Sans l'abrogation de la loi salique il aurait été roi d'Espagne « par la grâce de Dieu » et il n'au

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