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zahlreiche einzelliegende Bacillen und Bacillenhaufen; bei den tuberculösen reichte das von miliaren, käsigen Knötchen durchsetzte Granulom dagegen tief nach unten bis in die Serosa und enthielt Riesenzellen und nur vereinzelte Bacillen. Zur Unterscheidung der Lepra- und Tuberkelbacillen hält Verfasser die raschere Färbbarkeit der ersteren in Karbolsäurefuchsinlösung für ein sehr werthvolles Merkmal.

TUNES 1 E.

SCHEUBE.

FUNARO, Il diabete in Tunisia. Note statistiche. Tunisi 1895. Estratto dal Bollettino medico-chirurgico, organo dell' Ospedale coloniale italiano di Tunisi. Anno II, no. 1 e seguenti.

Le Dr. Funaro a trouvé le diabète maladie relativement très fréquente en Tunisie. Il base ses deductions sur 127 cas de cette maladie, recueillis dans la clientèle de plusieurs médecins. La maladie serait plus fréquente dans la population indigène (Musulmans et Israelites) que chez les chrétiens. Mais l'A. croit que la fréquence chez les premiers est due simplement aux habitudes des indigènes qui font usage d'une alimentation excessive, surtout de substances feculentes et sucrées, qui ont des occupations sedentaires et habitent des maisons dans lesquelles l'air est peu renouvellée et il y a peu de lumière, et qui pour cela sont disposés à l'obésité. L'A. attribue peu d'importance a l'abus des alcooliques comme cause du diabéte.

Il croit que les climats chauds et humides, comme celui de Tunis, favorisent le diabète en favorisant l'obesité. Il trouve que sa statistique parle en faveur de l'heredité comme cause de diabète. Il cite surtout le fait d'une famille dans laquelle ont été verifiés 14 cas de diabète, fait qui confirmerait l'influence non seulement de l'hérédité, mais aussi des habitudes, parce que les cas se sont verifiés aussi dans des membres entrés dans la famille par alliance de mariages. L'obesité a été constatée dans 17 cas de diabète sur 127. L'Auteur trouve que sa statistique parlerait aussi en faveur de la contagiosité de la maladie, parce qu'elle offre 10 cas de diabète conjugal, et entre les autres on a vérifié le diabète dans deux femmes, mariées successivement avec le même individu diabétique. Il y a eu aussi 2 cas de diabète parmi des domestiques en service de personnes attaquées par la même maladie. P. SONSINO.

VARI A.

LA PESTE AUX INDES.

IS THE PLAGUE CONTAGIOUS ?

The members of the Research Comittee, which was convened by order of the Government of India, and consisted of certain medical officers, including Surgeon Major General CLEGHORN, with Professor HAFFKINE and one or two non-professional gentlemen, have arrived at an opinion that the bubonic plague is due to local causes, and is only slightly epidemic or contagious in the ordinary sense of the word. This opinion is arrived at from the immunity from attack enjoyed by the Police and officers and

subordinates of the Health Department who have to enter the worst infected places, and the very general absence of the disease from the better class of houses, to wich it has not spread to any great extent.

MR. HANKIN'S VIEWS OF THE PLAGUE IN BOMBAY.

Mr. HANKIN at Bombay gave an account of his views of the nature of the disease and of the mode in which infection was contracted. He laid stress on the possibility that rats and insects that feed on dead rats are sources of infection, besides emanations, from patients. He was of opinion that either always, or at least in an immense majority of cases, the disease was not due to breathing bad air. It was improbable in the highest degree that it was caused by the opening up and cleaning of the Bombay drains. It was likely that in most cases the disease was not due to food, but to inoculation through the skin. It is more likely that it was due to rats and other animals in insanitary godows than to the grain itself. He further said that it was the damp portions of houses, such as sinks, bath-rooms, etc., that stood most in need of desinfection. As a precautionary measure he advocated the use of chloride of lime in the form of powder, as being less likely to hurt caste feelings than disinfectants in a liquid form. There were grounds for thinking that the disease attached itself to a locality. and until that locality had been sufficiently disinfected, it was advisable to vacate it, but the speaker laid stress on his opinion that it was not necessary to leave Bombay, but merely the place of infection.

A SIMPLE REMEDY FOR THE PLAGUE.

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A correspondent writes to the Madras Mail: The French missio. naries in China use a very simple rem dy to cure bubonic plague, viz., ipecac powder. Father SEQUIN, a missionary of Yunan, says that he personally administered ipecac to more than a thousand patients suffering from the plague, and that all of them recovered. The dose is from 16 to 32 grains, according to circumstances, i.e., the strength of the patient, the greater or less virulence of the case, etc. The powdered ipecac is wel mixed in a tumbler of water, and taken in three doses with an interval of, say, a quarter of an hour between each dose. This will cause both vomiting and purging. To bring on vomithing plenty of tepid water must be given to the patient. I hope that Indian papers wil give publicity to this simple receipt. It would be well also if medical men would try it and make the result known.

It is reported at Quetta that a very large number of deaths have recently occured in Herat from a sickness bel eved to be another form of plague, the symptoms of which are intense irritation of the throat, followed by high fever and almost invariably by death.

Indian Lancet, (1 March 1897).

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'n document inédit sur les ,,Pierres de tête", parvenu depuis

U

peu à ma connaissance, et dont je suis heureux de pouvoir offrir la primeur au „Janus", reproduit la supercherie dont nous avons parlé, avec quelques détails nouveaux, très significatifs. Il s'agit d'une gravure que, vraisemblablement, on peut attribuer à Théodore de Bry.

Cet artiste, né à Liège en 1528, cumulait les professions d'orfèvre, de libraire et de graveur. Il a exécuté un grand nombre d'estampes et de vignettes, à l'eau-forte et au burin, la plupart destinées à illustrer des ouvrages contemporains, tels que le Livre des Emblêmes et le Théâtre de la vie humaine de J. J. Boissard. Il mourut en 1598, à Frankfort-sur-Main. Ses deux fils, Jean-Israel et Jean-Théodore (1561-1623), ont aussi laissé de nombreuses gravures, entre autres les vignettes d'un livre intitulé: Emblemata Soccularia soeculi mores exprimentia.

Notre gravure pourrait trouver sa place dans les illustrations du Livre des Emblèmes ou du Théâtre de la vie humaine, peut-être même dans les Emblemata soecularia, de Jean Théodore. Nous n'avons pas encore pu en faire la vérification.

L'image et la légende sont, d'ailleurs, par elles-mêmes, suffisamment explicites.

La scène s'interprête aisément. La groupe principale, à droite, représente une extraction de pierres de tête."

Le patient, un gros homme, à panse rebondie, est assis de face, sur un lourd fauteuil de bois. Des liens passés autour de son ventre, de ses bras et de ses jambes, le maintiennent solidement. Ainsi ligotté, il ne saurait échapper à l'opérateur.

Celui-ci, debout derrière lui, est vêtu d'un étrange costume: une longue robe fourrée, avec une sacoche au côté, et, autour du cou, un collier fait de grosses molaires et de pierres de tête" alternées, re

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