| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1820 - 378 pagina’s
...le joug. Je les admirois sans restriction à cette époque; mais, voir Paris occupé par eux , le» Tuileries , le Louvre , gardés par des troupes venues...insupportable. Si telle étoit mon impression à moi, qui n'aiirois pu revenir en France sous le règne de Bonaparte, quelle devoit être celle de ces guerriers... | |
| Anne-Louise-Germaine Necker de Staël-Holstein (baronne) - 1820 - 312 pagina’s
...malgré l'âpreté de ma peine , j'estimais les étrangers d'avoir secoué le joug. Je les admirais sans restriction à cette époque ; mais , voir Paris...notre langue, notre histoire, nos grands hommes, tout était moins connu que le dernier Lhan de Tartarie ; c'était une douleur insupportable. Si telle était... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1843 - 676 pagina’s
...malgré l'â prêté de ma peine , j'estimais les étrangers d'avoir secoué le joug. Je les admirais sans restriction à cette époque ; mais , voir Paris...notre langue, notre histoire, nos grands hommes , tout était moins connu que le dernier kan de Tartane , c'était une douleur insupportable. Si telle était... | |
| Amélie (Cyvoct) Lenormant - 1862 - 406 pagina’s
...le .joug. Je les admi« rais sans restriction à cette époque; mais voir « Paris occupé par ejix, les Tuileries, le Louvre « gardés par des troupes...langue, notre histoire, nos « grands hommes, tout était moins connu que le « dernier khan de Tartane, c'était une douleur « insupportable. « Si... | |
| Amélie Cyvoct Lenormant - 1862 - 396 pagina’s
...malgré l'âpreté de ma peine, j'estimais les « étrangers d'avoir secoué le joug. Je les admi« rais sans restriction à cette époque; mais voir « Paris...Tuileries, le Louvre « gardés par des troupes venues des confms de « l'Asie, à qui notre langue, notre histoire, nos « grands hommes, tout était moins connu... | |
| Amélie Cyvoct Lenormant - 1862 - 398 pagina’s
...malgré l'àpreté de ma peine, j'estimais les « étrangers d'avoir secoué le joug. Je les admi« rais sans restriction à cette époque; mais voir « Paris...Tuileries, le Louvre « gardés par des troupes venues /les confms de « l'Asie, à qui notre langue, notre histoire, nos " grands hommes, tout était moins... | |
| Albert Sorel - 1890 - 238 pagina’s
...Tout était trouble en moi ». « J'estimais les étrangers d'avoir secoué le joug. Je les admirais sans restriction à cette époque ; mais voir Paris...notre langue, notre histoire, nos grands hommes, tout était moins connu que le dernier khan de Tartarie, c'était une douleur insupportable. » Elle se... | |
| Hugh Fraser Stewart - 1923 - 388 pagina’s
...part ch. vi. It must be remembered that thé writer was not French either by birth or by marriage. eux, les Tuileries, le Louvre, gardés par des troupes...notre langue, notre histoire, nos grands hommes, tout était moins connu que le dernier kan de Tartane; c'était une douleur insupportable. Si telle était... | |
| 1914 - 1330 pagina’s
...car malgré l'âpretc de ma peine, j'estimais les étrangers d'avoir secoué le joug, je les admirais sans restriction à cette époque. Mais voir Paris...notre langue, notre histoire, nos grands hommes, .tout était moins connu que le dernier khan de Tartarie, c'était une douleur insupportable. » II ya,,... | |
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