| abbé Raynal (Guillaume-Thomas-François) - 1774 - 404 pagina’s
...des Efpagno.s. La perte de plufieurs d'entr'eux, qui furent vift'mes de leur crédulité, n'ébranla pas la confiance des autres. Plutôt que de foupçonner que les premiers avoient péri dans un voyage où la mort étoit ce qu'il y avoit de plus sûr; on penfa que s'ils ne... | |
| Jean Baptiste Robinet - 1779 - 716 pagina’s
...Efpagnols. La perte de plufieurs d'entr'eux , qui furent vi¿umes de leur crédulité , n'ébranla pas la confiance des autres. Plutôt que de foupçonner que les premiers avoient péri dans un voyage où la mort étoit ce qu'il y avoit déplus sûr, on penfa que, s'ils... | |
| abbé Guillaume Thomas François Raynal - 1781 - 378 pagina’s
...des Efpagnols. La perte-de plufieurs d'entr'eux, qui furent victimes de leur crédulité, n'ébranla pas la confiance des autres. Plutôt que de foupçonner que les premiers avoient péri dans un voyage où la mort étoit ce qu'il y avoit de plus fur -, on penfa que s'ils... | |
| abbé Raynal (Guillaume-Thomas-François) - 1783 - 374 pagina’s
...Efpagnols. La perte de plufieurs d'entre eux, qui furens viétimes de leur crédulité , n'ébranla pas la confiance des autres. Plutôt que de foupçonner que les premiers avoient péri dans une voyage où Ja mort étoit ce qu'il y avoit de plus fur ; on penfe que s'ils... | |
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