 J'arrachai les herbes qui couvraient quelques lettres latines, et bientôt je parvins à lire ce premier vers des élégies d'un poète infortuné : "Mon livre, vous irez à Rome, et vous irez à Rome sans moi." Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai...  Les martyrs; ou, Le triomphe de la religion chrétrienne - Pagina 25door François-René vicomte de Chateaubriand - 1810Volledige weergave - Over dit boek
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1822 - 364 pagina’s
...irez à Rome , et vous » irez à Rome sans moi. » » Je ne saurois vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....aujourd'hui des tableaux du plus ingénieux de ses poetes, Rome a vu couler vingt ans d'un œil sec les larmes d'Ovide. Ah ! moins ingrats que les peuples... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 378 pagina’s
...irez à Rome , et vous irez » à Rome sans moi. » » Je ne saurois vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....étoient aussi les miennes , et sur l'inutilité des talents pour le bonheur! Rome qui jouit aujourd'hui des tableaux du plus ingénieux de ses poetes ,... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 368 pagina’s
...vous irez à Rome, et vous irez à a Rome sans moi. » «Je ne saurois vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....étoient aussi les miennes, et sur l'inutilité des talents pour le bonheur ! Rome, qui jouit aujourd'hui des tableaux du plus ingénieux de ses poètes,... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 246 pagina’s
...irez à Rome , et vous irez à « Rome sans moi. » « Je ne saurois vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....étoient aussi les miennes , et sur l'inutilité des talents pour le bonheur ! Rome qui jouit aujourd'hui des tableaux du plus ingénieux de ses poètes... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1840 - 748 pagina’s
...vous irez à Rome , et vous irez à Rome sans moi. » Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....étoient aussi les miennes , et sur l'inutilité des talents pour le bonheur ! Rome, qui jouit aujourd'hui des tableaux du plus ingénieux de ses poètes,... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 554 pagina’s
...irez à Rome , et vous irez à Rome sans « moi. » « Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....réflexions ne fis-je point sur les peines de l'exil , qui étaient aussi les miennes, et sur l'inutilité des talents pour le bonheur ? Rome, qui jouit aujourd'hui... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1852 - 558 pagina’s
...irez à Rome , et vous irez à Rome sans « moi. » « Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....réflexions ne fis-je point sur les peines de l'exil , qui étaient aussi les miennes, et sur l'inutilité des talents pour le bonheur ? Rome, qui jouit aujourd'hui... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 622 pagina’s
...vous irez à Rome", et vous irez à Rome sans moi. « « Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....étoient aussi les miennes, et sur l'inutilité des talents pour le bonheur! Rome, qui jouit aujourd'hui des tableaux du plus ingénieux de ses poètes,... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1843 - 684 pagina’s
...irez à Rome, et vous irez à » Rome sans moi. » « Je ne saurois vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide....fis-je point sur les peines de l'exil, qui étoient au si les miennes, et sur l'inutilité des talents pour le bonheur? Rome, qui jouit aujourd'hui des... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1867 - 642 pagina’s
...vous irez à Rome, et vous irez à Rome sans moi. » « Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide. Quelles tristes réflexions ue lis-je point sur les peines de l'exil, qui étaient aussi les miennes, et sur l'inutilité des talents... | |
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