Nouveaux mélanges philosophiques, historiques, critiques, etc. etc, Volume 141774 |
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affez Aftérie Aftolphe ainfi Amafide ASTER auffi AZÉMON barbare beau Brutus c'eft C'eſt Caffius Calabre Calderon CASCA CASSIUS Céfar CÉSAR cher chofe ciel Cimber Cinna CINTI Cintia cœur Colimaçons confeil Crête Cydon Cydoniens Datame défert deftin déja DICTIM Dieu Dieux difait efprits eft-il enfans eſt facré facrifice fage fang fans doute fauvages favez favoir fcène fecond fecret fens fent fera ferpent fervir feul fiècle fille fils de Maurice foin foit foldats fommes fonge font fous fouvent FREDERIC fuis fuivait furtout grace Grèce HERACLIUS homme j'ai jour jufte Jupiter l'efprit laiffé Léonide Libia loix longtems main Mambrès Memphis MERION Minos Monfieur mort n'eft n'eſt paffé parle penfer père perfonne peuple Pharès philofophe Phocas plaifir plufieurs poiffon préfent prefque princeffe puiffe puifque Ragès raifon refpect refte rien s'eft Seigneur ſes Shakeſpear ſon taureau blanc Temple tems tête TEUCE R trifte vois yeux
Populaire passages
Pagina 45 - Mais sur le point d'être jeté Au fond de la nuit éternelle, Comme tant d'autres l'ont été, Tout ce que je vois me rappelle A ce monde que j'ai quitté. Si vers le soir un triste orage Vient ternir l'éclat d'un beau jour, Je me souviens qu'à votre cour Le temps change encor davantage.
Pagina 77 - Je crois Ferney plus beau. Les regards étonnés, Sur cent vallons fleuris doucement promenés, De la mer de Genève admirent l'étendue ; Et les Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment ces coteaux Où le pampre en festons rit parmi les ormeaux.
Pagina 77 - Enfin cette Comté, franche aujourd'hui de nom, Qu'avec l'or de Louis conquit le grand Bourbon : Et, du bord de mon lac à tes rives du Tibre' Je te dis, mais tout bas : « Heureux un peuple libre ! » Je le suis en secret dans mon obscurité.
Pagina 47 - Rome et d'Athène. On me dit: Partez promptement; Venez sur les bords de la Seine, Et vous en direz tout autant, Avec moins d'esprit et de peine.
Pagina 41 - M"" de Pompadour : Les esprits et les cœurs et les remparts terribles, Tout cède à ses efforts, tout fléchit sous sa loi, Et vous et Berg-op-Zoom, vous étiez invincibles; Vous n'avez cédé qu'à mon roi. Il vole dans vos bras du sein de la victoire, Le prix de ses travaux n'est que dans votre cœur; Rien ne peut augmenter sa gloire, Et vous augmentez son bonheur.
Pagina 81 - J'ai vécu plus que toi; mes vers dureront moins. Mais au bord du tombeau je mettrai tous mes soins A suivre les leçons de ta philosophie, A mépriser la mort en savourant la vie, A lire tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on boit d'un vin vieux qui rajeunit les sens.
Pagina 48 - Et l'art est si laid dans ses vices ! Croyez-moi , vos renards, vos loups, Sont bien moins cruels que les nôtres ; Et nos chiens...
Pagina 42 - Je serais mort de plaisir au premier. Il m'a montré votre portrait ; ne vous fâchez pas , Madame , si j'ai pris la liberté de lui rendre les deux baisers. Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux.
Pagina 81 - Aussi lorsque mon pouls, inégal et pressé, Faisait peur à Tronchin, près de mon lit placé ; Quand la vieille Atropos, aux humains si sévère, Approchait ses ciseaux de ma trame légère, II a vu de quel air je prenais mon congé ; II sait si mon esprit, mon cœur était changé.
Pagina 85 - D'un plus rapide élan fut jamais emporté! Ton génie a voulu, dans ses vastes ouvrages, Embrasser tous les arts, dominer tous les âges. Par-tout il jette au loin des rayons éclatants, Que n'éteindra jamais le long oubli des temps.