3dd G asse ballside ob trom el 102 297 29uplo TT VARIÉTÉS BIBLIOGRAPHIQUES 2926770.29019bom 19 209ezib 2700) -.supitingnil.eauga sups7s breyt ab eo Dive) 91T el we ARCHÉOLOGIE CÉRAMIQUE ET SÉPULCRALE ou l'art de classer les 29 sépallares anciennes à l'aide de la céramique, spari Mo l'abbé Cocust. A -Paris, chez Aubry, in- avec 480 sujets gravés sur bois.3 frinsbro50b His A 18 ildung zij ob poques Lous Le nom de M. l'abbé Cochet est connu de Jecteurs. Ce savant a su tirer de ses infatigables recherches un ordre nouveau de connaissances historiques. H a démontré « que tout ce que nous possédons de plus beau et de mieux conservé, dans les produits de l'art antique, provient des tombeaux Non content de consigner ses propres découvertes dans une longue série de brochures mises au jour à odcasionsdes fouilles qu'il a dirigées, il a encore comparésé tous les travaux analogues des explorateurs ses émules. C'est en coordonnant et en systématisant les notions éparses jusqu'ici qu'il a successivement écrit trois ouvrages qui, bien que se vendant séparément, n'en constituent pas moins un corps de doctrine inséparable. La Normandie souterraine, qui est le premier de ces trois ouvrages, trouve en effet sa continuation dans le volume consacré aux Sépultures gauloises, romaines, franques et normandes, et le Tombeau de Childéric Ler, restitué garde l'aide des découvertes récentes, en donnant la synthèse des deux pre'miers tomes, leur sert de complément. L'auteur, parti de la haute Normandie romaine et franque, a étendu ensuite son sujet dans les divers âges et les divers pays, et ses trois yolumes, imprimés dans un format identique, constituent à vrai dire l'Encyclopédie de l'archéologie sépulcrale dans les diverses contrées de l'Europe, depuis les temps les plus reculés de l'époque celtique jusqu'à l'époque moderne. Mais l'abondance même des matériaux et des documents entassés dans ces trois gros volumes forme un bagage trop encombrant pour Pamateur commençant. Un résumé sommaire était done souhaité par -ceux qu'effrayent une lecture trop longue. Ge tableau d'ensemble vient d'être tracé par Mol'abbé Gochet lui-même.licz 18 Andmezon 1-8 Linné a créé pour la hotahique un système célèbre de classification, fondé sur le nombre des étamines et des pistils. Temminck a établi la classification des oiseaux sur la conformation de leurs pieds: Fabricius Gnventar un système entomologique basé sur les organes de la bouche 8 6,95dif, 580 BULLETIN DU BOUQUINISTE. pour la distribution aus seinement des ordres, et où les caracteres de l'organ sation de la anche voi te Pour reedusation de la bouche, des tarses et des antennes, servent Celement's l'établissement des familles et 'divisions inferieures. naître l'époque des tombeaux et les peuples auxquels apparten nent, divers caractères pouvaient être utilisés : les pièces de monnaies qu'on y rencontre fournissent des dates; les bijoux enterrés avec les morts, les armes qui accompagnent les squelettes, la configuration et la nature des cercueils en plomb, en pierre, en briques, peuvent guider l'antiquaire. M. l'abbé Cochet a préféré la céramiqne comme moyen de classification. L'étude de la céramique lui parait la plus indispersable de toutes les connaissances archéologiques. Il fait de cette étude la rivale de l'étude de la numismatique. Partout, dit-il, où l'homme a séjourné dans ce monde, vous trouverez le débris d'un vase. La potene est donc la trace la plus précieuse du passage de l'humanité sur la ferre..... Mais si je regarde la céramique comme la première de toutes les industries, je considère, dit encore M. Cochet, l'usage de placer des vases dans le tombeau de l'homme, comme la plus ancienne de toutes les pratiques religieuses des funérailles. Cette coutume, qui remonte au berceau de l'humanité, a traversé les siècles avec la grande famille humaine. » En France, la coutume des vases funèbres vit et prospère encore au fond des paroisses reculées du Morvan. Au temps du paganisme, un symbole curieux a figuré l'homme en trant tout entier dans l'urne de la mort, lorsque, placé sous le niveau trant tout entier pay, 12 fatal, la roue de la vie cesse de tourner pour ята йшовОя на Кітя іння. 880 373 Pendant les siècles où régna l'usage de brûler les morts, pas une creature humaine ne de 5411 on of the vel ne descendif dans la terre sans un fragment de tuile Just Top 2012, o de poterie. Les cimetières de cette époque un ritables collections de céramique. Voici de beaux échantillons de vase 1998 vés dans l'Archéologie Provenant de sépultures romaines, qui sont gravés 29119119101 2norvi 20 19 29simst 29b insm9ildels ramique et sépulcra que es to nodot asb supoqo'l suien 29isanom ob 299siq esl : abailitu 91to Insicvnoq 291515160 ovib tom 291 292 291799 Zuojid eole9tsb 29b Jagimool stпo youp is noitsuginos sl,89119l9upa esl Insnga Le premier de ces vases, à la gauche du groupe, est presque identique par sa forme à un autre vase également ansé, trouvé avec une médaille de Gordien III dans le cercueil d'un enfant, et dessiné de grandeur naturelle par M. Guillaume Petit, en tête de son Essai sur un tombeau gallo-romain découvert à Louviers (Eure), en avril 1860. Lorsqu'au temps de Constantin, l'usage revient d'inhumer les corps, 589vin 91 2008 95 super from slab oglaqeb Sépulture gallo-romaine de Saint-Medard-des-Prés, Vendee, Ive siècle. 1903 9b 92293 91V & ob 900r af letet ЗІЛАТА •НЯТАЯНІЛ УЯНЦА .А . 192 mu lgsinsebrq, slogie vix ub lisauasm, ay'b szytsinio sal les vases de terre et de verre entourent pour inst dire Je mort depuis les pieds jusqu'à la tête. Putnu pond gals lete Cette abondance de vases é élégants, gradient de toutes formes, de toutes tailles et de toutes matières, constitue même le caractère des sépultures du ive siècle. Pendant le moyen âge, les vases de terre qui descendent dans la tombe, ont ordinairement servi aux funérailles, les uns pour contenir T'eau bénité, les autres pour déposer l'encens qui brûle autour du cer 'cueil: Ces derniers sont percés de trous par où l'air pouvait alimenter la combustion, et par où aussi sortaient les jets desla fumée odorifé rante. Les nombreuses figures dont les pages de Mis Cocheb sont parsemées représentent un bon nombre de ces pots à feue ob anotlar T2008 no KITILIT Une miniature d'un manuscrit du xive siècle, représentant un serVed fanèbre et reproduite également par notre auteur, montre trois dra mortuaire. pots fores, rangés entre les chandeliers au pied du drap 902915m 2trol sb 19 25 Th Mais ce nouveau travail de M. Cochet n'est pas seulement un résumé de ses travaux antérieurs, c'est en même temps un supplément où il consigne des faits dont il n'a acquis la connaissance que depuis la publication de son troisième volume, le Tombeau de Childeric. Ainsi notre docte abbé fait connaître à ses lecteurs une naïveté vraiment inouïe ! on croyait en Silésie, il n'y a pas cent ans, que ces vases poussaient naturellement en terre! Un écrivain français du xvIIIe siècle, le siècle philosophique, eut la candeur de répéter le fait d'après Martin Zeiler, géographe et voyageur allemand, et il poussa la bonhomie jusqu'à donner la gravure d'un « pot de terre qui croist naturellement en terre avec d'autre vaisselle. » M. l'abbé Cochet n'a point manqué de reproduire cette curieuse image dans laquelle un archéologue réconnaît aisément une urne celtique ou germanique. Si l'auteur avait ajouté quelques détails sur la nature de la pâte, le grain, la couleur et le vernis ou couverte des poteries aux différentes époques, et qu'il eût adopté un format moins grand, il eût aisément fait, au lieu d'une plaquette in-40, un véritable volume in-12, vademequm indispensable aux antiquaires. C'est là une idée que nous nous permettons de suggérer à M. l'abbé Cochet, l'écoulement rapide de ce |