| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 422 pagina’s
...régnait un silence extraordinaire ; on se regardait, on se serrait tristement la main, je dirais, comme à la vue d'une calamité publique , si ces...davantage à la douleur d'une famille désolée qui vient dé perdre l'objet et le sout1en de ses espérances (1). On donnait ce même soir , à la Comédie... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1818 - 566 pagina’s
...été plus imprévue : la consternation étoit peinte sur tous les visages ; ceux qui éprouvoient un sentiment contraire étoient en trop petit nombre...se regardoit, on se serroit tristement la main, je dirais comme à la vue d'une calamité publique, si ces premiers raomens de trouble n'eussent ressemblé... | |
| 1819 - 382 pagina’s
...visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre ; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades , les cafés , tous les lieux publics étaient remplis de monde ; mais il régnait un silence extraordinaire. On se regardait , on se serrait... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1820 - 508 pagina’s
...été plus imprévue : la consternation étoit peinte sur tous les visages ; ceux qui éprouvoient un sentiment contraire étoient en trop petit nombre;...momens de trouble n'eussent ressemblé davantage;, la douleur d'une famille désolée, qui vient de perdre l'objet et le soutien de ses espérances. «... | |
| Anne-Louise-Germaine Necker de Staël-Holstein (baronne) - 1820 - 348 pagina’s
...visages; ceux. gui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre ; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde ; mais il régnait un silence extraordinaire. On se regardait , on se serrait... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1830 - 628 pagina’s
...visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde; mais il y régnait un silence extraordinaire ; on se regardait, on se serrait... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1836 - 882 pagina’s
...visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades , les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde; mais il régnait un silence extraordinaire. On se regardait, on se serrait... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1843 - 676 pagina’s
...visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étalent en trop petit nombre; Ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde , mats 11 régnait un silence extraordinaire. On se regardait , on se serrait... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm, Charles Augustin Sainte-Beuve - 1854 - 400 pagina’s
...visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre ; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde; mais il y régnait un silence extraordinaire; on se regardait, on se serrait... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1880 - 568 pagina’s
...visages; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre ; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde ; mais il y régnait un silence extraordinaire ; on se regardait, on se serrait... | |
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