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16° Mémoires et observations concernant les bons effets du cautère actuel appliqué sur la tête ou sur la nuque, dans plusieurs maladies des yeux, des enveloppes du crâne, du cerveau et du système nerveux; Nancy, 1815, in-8°. -17° Mémoire sur les fluxions de poitrine; Nancy, 1815, in-8°.-18° Voyage en Italie fait en l'année 1820, 2e édition, corrigée et augmentée de nouvelles observations faites dans un second voyage en 1824; Paris (Nancy), 1826, in-8°. La fre édition était de 1822. 19° Notice historique sur le docteur Jenner, auteur de la découverte de la vaccine, suivie de notes explicatives; 2 édition, revue et augmentée; Nancy, 1824, in-8°. La première édition datait de 1823.

trie, il se retira en Angleterre, sous le règne d'Elisabeth, et demeura trois ans à l'université d'Oxford, où il reçut, en 1565, le grade de maître èsarts. Il se maria dans ce pays, et, vers 1582, il entreprit la révision de la version espagnole de la Bible, publiée en 1569, à Bâle, par Cassiodoré de Reyna, autre sectateur de Calvin (édit. connue sous le nom de Bible de l'Ours). Ce travail l'ayant occupé près de vingt ans, il se rendit en Hollande pour en surveiller l'impression. On croit qu'après il revint en Angleterre, où il termina ses jours, on ignore en quelle année. Voici les titres de ses ouvrages: I. Dos tratados: el primero es del Papa y de su autoridad, colegido de st vida y doctrina; el segundo es de la Misa item un Enxambre de los falsos milagros, con que Mariadela

Le 5 février 1807, le docteur Vàlentin avait adressé à la Société de l'Ecole de médecine de Paris un Visitacion...engañò a muy muchos, Mémoire sur l'existence de la lepre y de como fue descubierta e condans la commune de Vitrolles, département des Bouches-du-Rhône. Valentin appartenait à une foule de sociétés savantes, dont il a enrichi les annales par des communications nombreuses et variées. Indépendamment des ouvrages que nous venons de mentionner, il avait concouru à la rédaction de la Nou velle géographie universelle de Guthrie, dont le sixième volume, consacré à la géographie des Etats Unis d'Amérique, est dû tout entier à ses soins. L'éloge historique de ce savant praticien a été prononcé le 14 mai 1829, à la Société royale des sciences de Nancy, par M. du Haldat, secrétaire perpétuel. Z.

VALERA (CYPRIEN de), écrivain espagnol, né vers 1531, embrassa avec ardeur les nouvelles opinions religieuses, surtout celles de Calvin; mais, reconnaissant le danger qu'il y avait à les professer dans sa pa

denada (Amsterdam, en casa de Ricardo Hatfildo, 15-8, in-8°, et 1599, même format, ́en casa de Ricardo del Campo. La seconde édit a 122 pages de plus que la première: Man. du libr.) Cet ouvrage, encore recherché des amateurs, a été tra duit en anglais par Jean Golburn (Londres, 1600, in-4o).—II. Institýcion de la religion christiana, compuesta por Juan Calvin, nuevamente traduzida en romance car tellano (Amsterdam, en casa de Ricardo del Campo, 1597, inCette traduction du fameux traite de théologie hétérodoxe, œuvre capitale du second chef de la réforme, remplit plus de 1100 pages; elle est aujourd'hui d'une grande rareté.— III. La Biblía que es los sacros libros del viejo y nuevo Testamento, trans ladada en español (Amsterdam, en casa de Lorenço Jacobi, 1609, in-folio). Le titre porte segunda edi

¿cion, parce que cette version espa- au milieu des richesses et des grangnole de la Bible n'est, pour ainsi deurs, quand son illustre parent dire, que la reproduction de celle de entreprit de l'en détacher et de Cassiodore de Reyna. Valera avait l'appeler à Dieu, en lui- adressant seulement corrigé le style de son le beau Traité du mépris du monde coreligionnaire, fait quelques chan- qu'il avait composé dans cette ingements, ajouté quelques notes, etc. tention. Il lui écrivit de plus une Ces deux interprètes, dit le père lettre amicale et touchante, dans Richard Simon, ne paraissent pas laquelle il lui peignait la vanité des avoir eu une grande, connaissance plaisirs du siècle et les dangers de la langue hébraïque, bien qu'ils qu'on court en s'y livrant (Voy. une témoignent cependant avoir traduit traduction de cette lettre, par le Vieux Testament sur le texte hé- M. O'M... (O'Mahoni), dans les breu. Cyprien de Valera a suivi assez Opuscules des SS. Pères, faisant souvent la version française de Ge- partie de la Bibliothèque des Dames nève, et, lorsqu'il rencontre bien, on chrétiennes que l'on doit à M. l'abbé le doit plutôt rapporter au hasard de Lamennais) (1). Ces écrits du qu'à un véritable discernement saint prélat touchèrent tellement le qu'il n'était pas capable de faire cœur de Valérien, qu'il prit aussitôt lui-même. » (Hist. crit. du Vieux la résolution d'aller s'enfermer Testam., lix. II, ch. 23.) Six ans dans la solitude de Lérins, où il se avant de mettre au jour la Biblia, livra à l'étude des divines écritures c'est-à-dire en 1596, Valera en avait et à la pratique de toutes les vertus détaché El Testamento Nuevo, et l'avait publié à Amsterdam, in-8°. Cette édition séparée a reparu plus complète dans la même ville, en casa de Henrico Lorenci, 1625, aussi in-8°. On cite encore de notre écriFain El Catholico reformado; nais on ne dil ni où ni quand ce livre a élé imprimé. (Pour plus de détails sur Valera et ses écrits, voy, les Mém. litt. de Paquot, édit. in-8°,XV, 207-212.) B-L-U. VALERIEN (SAINT) (1), évèque el écrivain du n du ve siècle, appar tenait à l'ancienne et noble famille de saint Eucher, évêque de Lyon. Comme l'a dit, à l'art. de ce dernier (XIII, 455), un - ། de cette

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des d

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vivait

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ne sont pas
romain, table qui se trouve à la fin de l'édit. de ce
donnée
par le père Simon Mothier (Pa-
ris,
on voit un saint Valérien, évêque
sur les confins de la Provence, 23 juillet: c'est
Probablement celui dont nous commençons l'ar-

Dans la Table des noms des Saints de France
s des Saints

religieuses. Ce ne fut qu'à force d'instances qu'en 438 on le tira de ce désert pour le placer sur le siège épiscopal de Cémèle (2). On a peu d'autres renseignements sur sa vie, On sait seulement qu'il assista, en 439, au concile de Riez, assemblé pour remédier aux désordres de l'église d'Embrun. En 451, il signa, avec plusieurs évêques des Gaules, une lettre synodale au pape saint Léon-le-Grand. Il se trouva encore au concile d'Arles, tenu en 455 au sujet des immunités de l'abbaye de Lérins. On croit qu'il mourut en 461. Ce qui nous reste de l'évêque de Cémèle, dont le savoir égalait la

(1) Le traité Du Mépris du monde a été traduit par Arnault d'Andilly. On avait déjà de Barthélemy Anneaut Saint Eucher à Valérian, exhortation

Tosophie prophane, à Dieu et à l'estude des sainctes rationale, retirant de la mondanité et de la philettres, traduite en vers français; Lyon, PlacéBonhomme, 1552, in-4.

(2) Cemelium ou Cemenelium, ville détruite par les Lombards, et sur les ruines de laquelle se voit aujourd'hui le hameau de Gimier ou Cimiers, à une lieue nord-ouest de Níce, siège actuel de l'évêché.

piété, a vété publié par le Père aussi les Homéliès de ¿saint Valesi Jacq. Sirmond sous ce titre : Sanctia rien (Voy♪le? Manuel du librÙĻĀ Valerianis episcopi Cémeliensis ho 714). Entin ces Homélies ont étésîn£9 miliæ XX; item Epistola ad mona sérées dans la Bibliothèquo dess chos de virtutibus et ordine doctri- Pères, & ng mol sh 79B÷r+ujáш01 næ apostolicæ, omnia primum, præ- VALERINI ( ADRIEN );μŊd'ung? ter unicam homiliam, post annos noble famille de Vérong était nél plus minus mille ducentos in lucem en cette ville, dans la première edita; Paris, 1612, in-8o, réimprimés moitiés du xvi• siècle♫í Il scultivaits en 1696/dans le 1er vol. des Opera les lettres, et fil-al publié les trois varia du P. Sirmond, avec une let ouvrages suivantsqqui sont assez tre du même (au cardinal François rares, surtout en France $1.Afrø43 Barberin), dans laquelle il réfute' dite, nuova tragedia (eni 5pacteslet une accusation intentée contre saint en vers); Verona Seb. et Giov, dalle Valérien, et renvoie à l'ouvrage Donne fratelli, 1578, in-8¶ de 5 et dont nous allons parler. Un reli- 43 ff., avec le portrait de l'auteur gieux minime nommé Chichon, et M. de Soleinne avait deux exem que Guill. Caves traite assez dure plaires del cette unique édit d'une ment d'obscurus nebulo, s'étant avi- pièce « peu connue, ditale rédac sé d'accuser saint Valérien de semi-teur de son catalogue (no 4343);» et pélagianisme, le père Théophile où figurent l'ombre d'Adonis] Co Raynaud prit vivement sa défense pidon et le roi Liebfronte. L'héroïnel dans le livre suivanti: Valerianus est fille du prêtre Alcéen La scène Gemeliensis episcopus integer vita està Paphos,» [§. Le Belléze di labisque purus. Disquisita theolo- Verona; Ivi. (Haymon'indique (pas? gica quá Massiliensium sive semipe- l'imp.), 1586, in-84 411. Cento lagianorum error circa salutis ini Madrigali. Iví, Gir-Discepoló, 1592, tium accuratè excutitur, et parcus pet. in-8°. On attribue el core à Vas charitatis (1) Valeriani criminatorlerini un écrit sur la mort d'unë) expellitur; Lyon, 1632, in-12. Cette fameuse comédiennemdont on ne apologie, qui, comme son titre, est nous apprend pas le nom. (Voy, le un peu prolixe, se retrouve dans le Dictionnaire de Moréri, dernière. Xvol de la collection des nom- édit.pelary 919imang si TuB4 breuses productions du P. Ray← D VALERIUS) (M) «‹ MAXF) naudu Celjésuite, qui affectionnait beaucoup Valérien, a encore com pris ses Homélies dans un vol in fol. imprimé à Paris en 1661, et contenant des opuscules de saint Léon-le-Grand, de saint Maxime de Turin, de saint Pierre-Chrysologue, de saint Fulgence, de saint Amédée Sa haute naissance 9 lúp valut d et d'Asterins. Les œuvres complètes bonne heure de très-bauis grades, de saint Pierre-Chrysologue, pu que justiblaient au reste toutes les bliées à Venise en 1742, renferment qualités militaires qui charment et 2ply · James jepretol entraînent le soldat. Tribun dele ~(1) Chiche de charité; troide et puérile allusion gion à vingt-deux ans, sous Ca m de Chichon et à la devise des Minimes mille, en 349, lors de la quatrième

au nom Charitas,

2

MUS CORVUS §őü ¿CORVI. NUS¦ Romains célèbre elipar sa bravoure, ses vingt et une magis tratures curules et sa longévité, avait pour père le M. Valerius Maga mus tribuns militaire à puissance consulaire, en 398 et 395 av-C

V

3

P

invasion des Gaulois, un de ces de la course, de la lutte, du pugilat, barbares, d'une taille gigantesque, ne dédaignant aucun des chamet ɲrevêtund'unes armure éclatante, pions, et le même dans la défaiteľ avait défié par interprète de campe que dans la victoire, il était littéra romain entier de fournir un adver- lementbadoré. L'émeutes vaincues, ils same qui(seulcà, seul lui tint tête. fit passer une loi qui consolidait la Autorisé par son général, Valém liberté du peuple (453 av. J.-C.). † rius ne balança pas à le combattress Laristocratie lui en gårda rancune; elifinit par le terrasser et le tuer, et quand, consul pour la quatrième secondé. dirent les Romains, par fois, en 385, il eut battu les Ausones l'intervention expresse des Dieux et pris Calès, de Sénat lui refusa ter car, pendanto de combat, survint un triomphe. Ibofit trève) alors avec corbeaus quin sperché sur le casque, le « high life » politique, se bor du héros, nu cessa d'assaillir du bec nant aux modestes fonctions de et des ongles le visage et les yeux préteur et même d'édile (quatre fois/ de son antagoniste. De là le second celles-ci, six fois les autres). Il fallut surnom de Valérius, surnom qu'il recourir à Jus pourtant, en (302, au transmit à sa postérité. L'issue de temps de la terrible lutte étrusco-p cette lutte sembla marquer d'avance samnite, le nommer dictateur, eti le destinales deux armées : des Gau- recompenser par le triomphe, cette lois, taillés en pièces, ne tentèrent fois-da, T'éclatante victoires qu'ily plus d'invasion. Des Fanée sui remporta sur les Etrusques. Le peu vantes et malgré son âge, ¡Vlérius ple fit plus:althréelut consul deux fub élu consul. Un fait grave signala ans des suite (301 et: 300). Il battit senqpassage au pouмoir če; fut le encore à plate couture les Etrusques Second traité de-commerce entre las première année; la seconde, RootCarthage Consul derechef telle était la peur désormais attachée! en 346 (avec libus mit des Volsques à son nʊm, qu'ils n'osèrent lui tes enderoute et leur prit Satricum. Lai nir tête, set qu'ils préféré ent s'enpremière guerre entre Rome et les Samuites échte en 343: consul pour la troisième fois, c'est lui qui l'augure; à dui la première victoire sur ce people, redoutable joueur qui conur trois quarts de siècle à Rome; à lui la première rentrée triem, phalem Nous le retrouvons encore consul plus tard, mais auparavant nous le voyons, revêtu par le Sénat de la dictature, quand les deux consols Hypsée et Mamersinus ont abdiqué, s'avanter sans grandes forces centre des cohortes révoltées qui marchent sur Rome, et, par l'ascendant de sa parole et le prestige de, sa personne, leur faire poser les ar mes. Familjer avec ses soldats, se melant à leurs jeux, aux exercices

fermer dans leurs villes, après avoir ravagé leurs campages pour que l'armée romane n'y put vivre. Il s'y maintint néanmoins, el laissa vies affaires florissantes aux consuls def 299. Rentrant alors dans la retraite, il survécut, assure-t-on, trente ans encore à ces dernières et magnitio ques campagues: Cicéron le fait mourir plus que centenaire. Val. P

VALGULIO (CHARLES), savant névào Brescia-overs le milieu du quinzième siècle, a droit au souve mir des amis des dettres pour avoir, un des premiers, traduit en latin avec fidélite quelques opuscules de Plutarque, travail d'autant plus difficile qu'il le fit sur le manuscrit le texte grec n'ayant été

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Gafforio (Voy. ce nom, XVI, 255),
son contemporain et son ami. H lui
donne de grands éloges;
et à son
tour le professeur, dans un de ses
traités, qualifie Valgulio d'homo
doctissimo et experto in tutte le
discipline. La quatrième et dernière
version de celui-ci est celle des
Opinions des philosophes (i cân
doxorta THIS DIXOTOCOLS). Elle n'a
· τοῖς φιλοσόφοις).
pas été imprimée séparément, mais
on la trouve réunie aux trois pré
cédentes, à divers autres opuscules
de Plutarque, au De die natali de
C-nsorin, et au tableau de Cébés en
latin, dans un vol. in-fol. publié
en 1514, à Paris, chez 3. Badius

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imprimé pour la première fois qu'en Valgulio s'est quelquefois appuyé -1509, dans l'édition des OEuvres de l'autorité du célèbre professeur Omorales ou plutôt mêlées du phi- de musique Franchino Gaffori ou -Josophe de Chéronée, publiée in ædibus Aldi. Les biographes ne nous ont fait connaître aucune cir¿constance de la vie de Valgulio, pas -même la date de sa naissance ni -celle de sa mort. Nous passons donc tout de suite à l'indication de ses traductions, qui sont au nombre de quatre. La première est celle des Préceptés de mariage (Tamind #apayyμara); la seconde, De la vertu morale (épi tuš ¿petus). Elles ont paru ensemble, suivant Scholl (Hist. de la littérat. gr., v. 96), à -Brescia, chez Bern. Misinta, 1497, -in-4, en latin seul. Le traite De la vertu morale à été réimprimé (avec addition du texte grec), Paris, Guill. Ascensius: volume que nous n'aMorel, 1555 (ad calcem MDLVII), vons point tvu, mais que cite Burette in-4o, sous ce titre : De virtuté mo- d'après Maittaire, et qui est encore rum, etc. (Manuel du libr., dern. mentionné par l'abbé Goujet, p. 10 édit., III, 785). La troisième version du tom. 1er de son Mémoire sur le de Valgulio, et la plus importante, Collège de France. Burette fait reest celle du Dialogue sur la mu- marquer que Fabricius a totalement sique (w) Moves) (Brescia, Ange oublié Valgulio dans le dénombre (repk› Britannicus, 1507, petit in-4°). Elle ment des interprètes latins de Pla est précédée d'une espèce de disser- tarque. B-L-t. tation (1) presque aussi longue que VALHUBERT (JEAN-MARKPouvrage, et qui est adressée à un ROGER), né à Avranches, le 21 that personnage nommé Titus Pyrrhi 1765, d'une famille honorable, mais nus. Pour l'analyse raisonnée de non titrée, se destina de bonne heure cette pièce (qui se compose d'une au métier des armes et reçut, en sorte d'exorde et de deux parties), conséquence, une éducation analo nous renvoyons aux curieuses Ob- gue 婆 ses s goûts. I se présenta aur servations touchant l'histoire litte- examens exiges dans l'artillerie, raire du Dialogue de Plutarque, etc., pour laquelle il avait une prédiled par Burette (Voy son art., VI, tion particulière; mais un édit du 293), insérées dans les Mém. de roi, qui i en excluait les roturiers, l'Acad. des Inseript ( XI, p. 70 s'opposa à son admissión. Celle de l'édit. in-12). Nous dirons seu- circonstance lûî causa un tel delement que, dans sa dissertation, goû, qu'il fút t sur le point de s'erpatrier. Cependant, retenu par l'af← (1) Dans sa dissertation, Valgulio nous apprend fection qu'il portait à sa famille, il qu'il avait aussi traduit l'Histoire de l'expédition renonça à ce projet et tet s'engagea

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Alexandre, par Arrien; mais il paraît que cet ouvrage n'a jamais vu le jour, comme simple soldat dans le regi

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